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astalavista a écrit :Pont-Vert a écrit :ben j'crois pas sinon il devras dire que tout ça n'a rien à voir avec la sécurité routière mais simplement un autre moyen de faire du fric.
Ben tu vois que l'on peut être d'accord!
Sauf que c'est faux , vous oubliez que la baisse de la vitesse génère d'abord une moindre consommation de carburant (et le % est énorme pour 10km), donc moins d'entrée de TIPP L'augmentation du nombre de PV passe essentiellement par la hausse du nombre de radars et leur modernisation (radar embarqué) et ensuite seulement par la baisse de la vitesse. Et puis, on doit reconnaitre que depuis que Chirac a osé s'attaquer à ce fléau national que sont les accidents sur la route, on est passé de 8.000 morts (voir plus avant) à 3.500 depuis les années 2000, chez nous Français, hélas, seuls les politiques répressives marchent, on est les rois de l'indiscipline, si on nous demande de faire un effort, on dit oui, mais que les autres le fasse, pas moi ... Chez nous, tous les conducteurs, quand on leur demande, sont parfaits, ne sont jamais dangereux, c'est toujours de la faute des autres, par contre, si on sanctionne, on rouspète, mais on fini par se plier, et les résultats en matière de sécurité routière sont la pour le prouver.
Dernière modification par Jean-Luc (15/07/2013 18:52:43)
Les nouvelles Mégane avec radar embarqué sont des terreurs à l'arrêt.
Pour mémoire et parce que c'est mieux dans cette rubrique que dans celle du TdF: Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! wink Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
astalavista a écrit :Pour mémoire et parce que c'est mieux dans cette rubrique que dans celle du TdF: Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! wink Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
C'est un tour de rugbyfédéral ................des salaires ?? piting!! on voit que t'es sacrément chagriné!! des salaires de journaleux à 30 000 € mois!! ça me laisse réveur!!
Jean-Luc a écrit :astalavista a écrit :Pont-Vert a écrit :ben j'crois pas sinon il devras dire que tout ça n'a rien à voir avec la sécurité routière mais simplement un autre moyen de faire du fric.
Ben tu vois que l'on peut être d'accord!
Sauf que c'est faux ;) , vous oubliez que la baisse de la vitesse génère d'abord une moindre consommation de carburant (et le % est énorme pour 10km), donc moins d'entrée de TIPP L'augmentation du nombre de PV passe essentiellement par la hausse du nombre de radars et leur modernisation (radar embarqué) et ensuite seulement par la baisse de la vitesse. Et puis, on doit reconnaitre que depuis que Chirac a osé s'attaquer à ce fléau national que sont les accidents sur la route, on est passé de 8.000 morts (voir plus avant) à 3.500 depuis les années 2000, chez nous Français, hélas, seuls les politiques répressives marchent, on est les rois de l'indiscipline, si on nous demande de faire un effort, on dit oui, mais que les autres le fasse, pas moi ... Chez nous, tous les conducteurs, quand on leur demande, sont parfaits, ne sont jamais dangereux, c'est toujours de la faute des autres, par contre, si on sanctionne, on rouspète, mais on fini par se plier, et les résultats en matière de sécurité routière sont la pour le prouver.
Mon cher Jean-Luc, tu dis que c'est faux, sauf que la raison évoquée n'est pas celle que tu prétends. Plus tu roules lentement, moins tu consomme, c'est semble t-il une évidence, le mieux pour ne plus consommer du tout étant de supprimer les automobiles, ça peut se faire mais à ce moment la c'est toute l'organisation de notre société qu'il faut revoir, je ne suis pas contre d'ailleurs. Mais en l'état actuel des choses, le souci premier de ce gouvernement est de faire rentrer de l'argent par tous les moyens possibles dont celui de baisser la vitesse permettant ainsi aux radars d'être encore plus rentable. Lorsque tu sais que la grosse majorité des excès de vitesse sont de moins de 10 kms heure, c'est dire le danger!!! Et puis la première cause de mortalité des accidents de la route n'est pas la vitesse, mais l'alcool, et la que fait-on. Il rapporte plus de placer un radar "au bon endroit" pas la où il est le plus utile, non la où il va "rapporter" le plus en bas d'une belle descente d'une route bien large par exemple. Combien de décès du à la route (tous regrettables bien sur) et du au cancer à l'alcool au tabac, il est bien intéressant de consulter les statistiques la dessus et curieusement de constater que si il y a des efforts à faire ce n'est plus la route la priorité, mais c'est une autre histoire.
Xicon64 a écrit :astalavista a écrit :Pour mémoire et parce que c'est mieux dans cette rubrique que dans celle du TdF: Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! wink Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
C'est un tour de rugbyfédéral ................des salaires ?? piting!! on voit que t'es sacrément chagriné!! des salaires de journaleux à 30 000 € mois!! ça me laisse réveur!!
En tout cas ça aide à comprendre certaine chose, perso ils peuvent gagner ce qu'ils veulent ce n'est pas mon souci, par contre leur honnêteté intellectuelle et la taxation à laquelle ils doivent être soumis ça me regarde, comme nous tous d'ailleurs.
astalavista a écrit :Pour mémoire et parce que c'est mieux dans cette rubrique que dans celle du TdF: Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! wink Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
Certains journalistes sont trop payés ? D'accord ! Les journalistes sont de gauche ? Pas d'accord ! Le "journaliste" le plus influent de France (JPP) est notoirement sarkoziste, David Pujadas aussi, Claire Chazal itou, Laurence Ferrari idem; Les hebdos de droite sont plus nombreux que ceux de gauche ! Le Figaro est le quotidien aux ordres le plus lu en France... Alors, à part Canal plus qui est plutôt perçu à gauche, y'a plus de journaleux de droite que l'inverse ! Bref, ton pamphlet tombe bien à plat ...
astalavista a écrit :Xicon64 a écrit :astalavista a écrit :Pour mémoire et parce que c'est mieux dans cette rubrique que dans celle du TdF: Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! wink Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
C'est un tour de rugbyfédéral ................des salaires ?? piting!! on voit que t'es sacrément chagriné!! des salaires de journaleux à 30 000 € mois!! ça me laisse réveur!!
En tout cas ça aide à comprendre certaine chose, perso ils peuvent gagner ce qu'ils veulent ce n'est pas mon souci, par contre leur honnêteté intellectuelle et la taxation à laquelle ils doivent être soumis ça me regarde, comme nous tous d'ailleurs.
C'est la même confiture pour les artistes ou du moins ceux ki le revendikent
Dernière modification par papajoxet (16/07/2013 09:19:09)
la sup a écrit :astalavista a écrit :Pour mémoire et parce que c'est mieux dans cette rubrique que dans celle du TdF: Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! wink Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
Certains journalistes sont trop payés ? D'accord ! Les journalistes sont de gauche ? Pas d'accord ! Le "journaliste" le plus influent de France (JPP) est notoirement sarkoziste, David Pujadas aussi, Claire Chazal itou, Laurence Ferrari idem; Les hebdos de droite sont plus nombreux que ceux de gauche ! Le Figaro est le quotidien aux ordres le plus lu en France... Alors, à part Canal plus qui est plutôt perçu à gauche, y'a plus de journaleux de droite que l'inverse ! Bref, ton pamphlet tombe bien à plat ...
Trop payés, je m'en fout je n'ai jamais regardé ce qu'il y avait dans la poche de mon voisin, ce qui m'intéresse c'est que j'ai un billet qui pousse l'autre, après qu'il y en ai qui gagne des fortunes m'en fout, de toute façon ils ne peuvent conduire qu'une voiture à la fois, dormir que dans un lit à la fois manger peut-être un peu plus mais c'est mauvais pour leur santé, alors à moins que la fortune puisse acheter le don d'ubiquité......!!!!! Par contre tu vas à l'encontre de toutes les statistiques qui disent que globalement les journalistes sont à 85% de gauche. Maintenant tu dis et surtout tu penses ce que tu veux, mais supportes que l'on ne soit pas de ton avis, ce n'est pas un pamphlet que j'ai mis, mais la reproduction d'un article objectif.
papajoxet a écrit :astalavista a écrit :Xicon64 a écrit :C'est un tour de rugbyfédéral ................des salaires ?? piting!! on voit que t'es sacrément chagriné!! des salaires de journaleux à 30 000 € mois!! ça me laisse réveur!!
En tout cas ça aide à comprendre certaine chose, perso ils peuvent gagner ce qu'ils veulent ce n'est pas mon souci, par contre leur honnêteté intellectuelle et la taxation à laquelle ils doivent être soumis ça me regarde, comme nous tous d'ailleurs.
C'est la même confiture pour les artistes ou du moins ceux ki le revendikent
La tu t'attaques à une autre vache sacré de la gauche, la fameuse exception culturelle française, avec des intermittents du spectacle qui nous coûtent une fortune, alors que la plupart ont d'artistique que le nom.
astalavista a écrit :papajoxet a écrit :astalavista a écrit :En tout cas ça aide à comprendre certaine chose, perso ils peuvent gagner ce qu'ils veulent ce n'est pas mon souci, par contre leur honnêteté intellectuelle et la taxation à laquelle ils doivent être soumis ça me regarde, comme nous tous d'ailleurs.
C'est la même confiture pour les artistes ou du moins ceux ki le revendikent
La tu t'attaques à une autre vache sacré de la gauche, la fameuse exception culturelle française, avec des intermittents du spectacle qui nous coûtent une fortune, alors que la plupart ont d'artistique que le nom.
+ facile de s'attaker aux sportifs évoluant en France pizkil sont pour moitié étrangers
astalavista a écrit :la sup a écrit :astalavista a écrit :Pour mémoire et parce que c'est mieux dans cette rubrique que dans celle du TdF: Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! wink Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
Certains journalistes sont trop payés ? D'accord ! Les journalistes sont de gauche ? Pas d'accord ! Le "journaliste" le plus influent de France (JPP) est notoirement sarkoziste, David Pujadas aussi, Claire Chazal itou, Laurence Ferrari idem; Les hebdos de droite sont plus nombreux que ceux de gauche ! Le Figaro est le quotidien aux ordres le plus lu en France... Alors, à part Canal plus qui est plutôt perçu à gauche, y'a plus de journaleux de droite que l'inverse ! Bref, ton pamphlet tombe bien à plat ...
Trop payés, je m'en fout je n'ai jamais regardé ce qu'il y avait dans la poche de mon voisin, ce qui m'intéresse c'est que j'ai un billet qui pousse l'autre, après qu'il y en ai qui gagne des fortunes m'en fout, de toute façon ils ne peuvent conduire qu'une voiture à la fois, dormir que dans un lit à la fois manger peut-être un peu plus mais c'est mauvais pour leur santé, alors à moins que la fortune puisse acheter le don d'ubiquité......!!!!! Par contre tu vas à l'encontre de toutes les statistiques qui disent que globalement les journalistes sont à 85% de gauche. Maintenant tu dis et surtout tu penses ce que tu veux, mais supportes que l'on ne soit pas de ton avis, ce n'est pas un pamphlet que j'ai mis, mais la reproduction d'un article objectif.
Ki dit çà ? Les droitistes ? Je peux t'assurer que selon que tu lise le figaro ou Libé t'as pas les mêmes infos...
la sup a écrit :astalavista a écrit :la sup a écrit :Certains journalistes sont trop payés ? D'accord ! Les journalistes sont de gauche ? Pas d'accord ! Le "journaliste" le plus influent de France (JPP) est notoirement sarkoziste, David Pujadas aussi, Claire Chazal itou, Laurence Ferrari idem; Les hebdos de droite sont plus nombreux que ceux de gauche ! Le Figaro est le quotidien aux ordres le plus lu en France... Alors, à part Canal plus qui est plutôt perçu à gauche, y'a plus de journaleux de droite que l'inverse ! Bref, ton pamphlet tombe bien à plat ...
Trop payés, je m'en fout je n'ai jamais regardé ce qu'il y avait dans la poche de mon voisin, ce qui m'intéresse c'est que j'ai un billet qui pousse l'autre, après qu'il y en ai qui gagne des fortunes m'en fout, de toute façon ils ne peuvent conduire qu'une voiture à la fois, dormir que dans un lit à la fois manger peut-être un peu plus mais c'est mauvais pour leur santé, alors à moins que la fortune puisse acheter le don d'ubiquité......!!!!! Par contre tu vas à l'encontre de toutes les statistiques qui disent que globalement les journalistes sont à 85% de gauche. Maintenant tu dis et surtout tu penses ce que tu veux, mais supportes que l'on ne soit pas de ton avis, ce n'est pas un pamphlet que j'ai mis, mais la reproduction d'un article objectif.
Ki dit çà ? Les droitistes ? Je peux t'assurer que selon que tu lise le figaro ou Libé t'as pas les mêmes infos...
ça c'est une évidence, ce n'est pas nouveau. :