Bartassaïre a écrit :

Sophiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiien oh pit1 mieux qu'une madeleine ! Comme le Pepito.

Ayé ! c'est l'heure de la bouffe.

Ravachol a écrit :

Xicon64 a écrit :

Claude a écrit :

Il y a pas de hasard dit Ravachol.

Oui!! bon m'enfin c'est pas parole d’évangile,il lui arrive souvent de raconter des conneries et celle là n'est pas des moindres.... bien sur que le hasard existe il est l'essence meme de notre existence sur terre...

Celui qui ne comprend rien attribue tout au hasard, Celui qui comprend tout n' attribue rien au hasard, Celui qui comprend qu' il ne comprend pas tout ne peut croire au hasard, Celui qui ne comprend pas qu' il ne comprend rien est fan des jeux de grattage. Prends des notes, je ne répèterai pas.

T'as eu Philo ce matin, tu repasses ton BAC ? Ou t'as juste révisé par nostalgie ?

Bartassaïre a écrit :

Je me souviens

Tu es Québécois ?

la sup a écrit :

Ravachol a écrit :

arnaud anguera a écrit :

Tu es Québécois ?

Non, Alzeihimerien.

Non, Georgespérécien ! Et sinon, dans les années 50/60, y'avait aissi une BD qui s'appelait Pépito.

Le money time, La Sup , tu es le roi du money Time. Tu laisses tout le monde s'essouffler et au bon moment tu sors du bois, vers la 60 ème et pose ton post qui mine de rien rafle la mise. Chapeau bas l'artiste.

ALEJANDRO GONZALES I a écrit :

Tout a débuté en 1961, je suis le descendant direct de celui qu’on appelait l’abuelo de l’abuelo de los abuelos pépitos, celui-là même qui combattant pour une épaisseur plus conséquente de chocolat sur le dessus de notre galette de farine, tel un William Wallace au fin fond de l’Ecosse, un Martin Luther King marchant sur Washington…bon ok, tel un Richie Mc Caw sur le côté d’un ruck (j’insiste, pas dans l’axe mais sur le côté du ruck) s’écria « AY PEPITO » . Une légende était née, l’histoire était en marche. Alors maintenant, vous vous attendez au récit d’un merveilleux voyage, une histoire épique, héroïque…. Et bien non !!!!! A peine sorti du four, installé dans un rayon, je trainais avec mes frères, j’attendais jours après jours le départ vers une destination fabuleuse. C’était le temps de l’insouciance, on se chamaillait avec les PETITS ECOLIERS, on faisait la cour à la barquette de LU. Le temps passait inéluctablement, et ce qui devait arriver, arriva. Un soir d’’hiver pluvieux et froid, on me retira sans une explication du rayon, jeté au rebus dans un container, j’avais dépassé la limite de consommation. J’aurais aimé connaître Olivier, découvrir New York, traverser les océans, mieux peut être aurais-je pu consoler un enfant.

Ah ben on t'invitera quand il faudra plomber l'ambiance.

Et t'as pas eu d'expériences érotik avec des poissons ?

et les biscuits de l'Alsascienne tu t'en rappelle?