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3° mi-temps

L'autre histoire de Pépito!!!!

#1

Tout a débuté en 1961, je suis le descendant direct de celui qu’on appelait l’abuelo de l’abuelo de los abuelos pépitos, celui-là même qui combattant pour une épaisseur plus conséquente de chocolat sur le dessus de notre galette de farine, tel un William Wallace au fin fond de l’Ecosse, un Martin Luther King marchant sur Washington…bon ok, tel un Richie Mc Caw sur le côté d’un ruck (j’insiste, pas dans l’axe mais sur le côté du ruck) s’écria « AY PEPITO » . Une légende était née, l’histoire était en marche. Alors maintenant, vous vous attendez au récit d’un merveilleux voyage, une histoire épique, héroïque…. Et bien non !!!!! A peine sorti du four, installé dans un rayon, je trainais avec mes frères, j’attendais jours après jours le départ vers une destination fabuleuse. C’était le temps de l’insouciance, on se chamaillait avec les PETITS ECOLIERS, on faisait la cour à la barquette de LU. Le temps passait inéluctablement, et ce qui devait arriver, arriva. Un soir d’’hiver pluvieux et froid, on me retira sans une explication du rayon, jeté au rebus dans un container, j’avais dépassé la limite de consommation. J’aurais aimé connaître Olivier, découvrir New York, traverser les océans, mieux peut être aurais-je pu consoler un enfant.

#2

2ème pépite à propos de pepitos. Ne vous arrêtez pas continuez.

#3

ALEJANDRO GONZALES I a écrit :

Tout a débuté en 1961, je suis le descendant direct de celui qu’on appelait l’abuelo de l’abuelo de los abuelos pépitos, celui-là même qui combattant pour une épaisseur plus conséquente de chocolat sur le dessus de notre galette de farine, tel un William Wallace au fin fond de l’Ecosse, un Martin Luther King marchant sur Washington…bon ok, tel un Richie Mc Caw sur le côté d’un ruck (j’insiste, pas dans l’axe mais sur le côté du ruck) s’écria « AY PEPITO » . Une légende était née, l’histoire était en marche. Alors maintenant, vous vous attendez au récit d’un merveilleux voyage, une histoire épique, héroïque…. Et bien non !!!!! A peine sorti du four, installé dans un rayon, je trainais avec mes frères, j’attendais jours après jours le départ vers une destination fabuleuse. C’était le temps de l’insouciance, on se chamaillait avec les PETITS ECOLIERS, on faisait la cour à la barquette de LU. Le temps passait inéluctablement, et ce qui devait arriver, arriva. Un soir d’’hiver pluvieux et froid, on me retira sans une explication du rayon, jeté au rebus dans un container, j’avais dépassé la limite de consommation. J’aurais aimé connaître Olivier, découvrir New York, traverser les océans, mieux peut être aurais-je pu consoler un enfant.

Quelle coïncidence, en 1961 on pouvait découvrir wink

#4

Il y a pas de hasard dit Ravachol.

#5

Claude a écrit :

Il y a pas de hasard dit Ravachol.

Oui!! bon m'enfin c'est pas parole d’évangile,il lui arrive souvent de raconter des conneries et celle là n'est pas des moindres.... bien sur que le hasard existe il est l'essence meme de notre existence sur terre...

Rien ne vaut le rugby en F3-Retour aux clochers des villages et des valeurs du maillot,les vraies.....

#6

Oh pit1, oh pit1 ! Si on dérape sur "l'essence de l'existence, est-ce là l'expression du hasard" ? Ben, déjà on n'est pas rendu, mais ya peu de chances kon parle de bouffe neutral

"L'homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois

Nemo auditur propriam turpitudinem allegans

#7

Bartassaïre a écrit :

Oh pit1, oh pit1 ! Si on dérape sur "l'essence de l'existence, est-ce là l'expression du hasard" ? Ben, déjà on n'est pas rendu, mais ya peu de chances kon parle de bouffe neutral

Ravachol n'est pas cartésien et moi je joue au tarot...... cool cool cool cool cool cool cool cool cool cool

Rien ne vaut le rugby en F3-Retour aux clochers des villages et des valeurs du maillot,les vraies.....

#8

'Pas quartésien', ça veut dire qu'il ne mise pas sur les courses de chevaux ?

"L'homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois

Nemo auditur propriam turpitudinem allegans

#9

Bartassaïre a écrit :

Oh pit1, oh pit1 ! Si on dérape sur "l'essence de l'existence, est-ce là l'expression du hasard" ? Ben, déjà on n'est pas rendu, mais ya peu de chances kon parle de bouffe neutral

là tu t'avances un peu non ?

#10

Pour la bouffe ?

"L'homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois

Nemo auditur propriam turpitudinem allegans

#11

Bartassaïre a écrit :

'Pas quartésien', ça veut dire qu'il ne mise pas sur les courses de chevaux ?

Non ses origines ne sont pas uniquement liées à l'Artois. La sup n'est pas quaveyronnais par exemple.

Dernière modification par Claude (17/06/2013 17:32:41)

#12

Bartassaïre a écrit :

'Pas quartésien', ça veut dire qu'il ne mise pas sur les courses de chevaux ?

C'est plus fin que ça..... wink

Rien ne vaut le rugby en F3-Retour aux clochers des villages et des valeurs du maillot,les vraies.....

#13

Xicon64 a écrit :
Bartassaïre a écrit :

'Pas quartésien', ça veut dire qu'il ne mise pas sur les courses de chevaux ?

C'est plus fin que ça..... wink

Le cheval ou le hasard ?

"L'homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois

Nemo auditur propriam turpitudinem allegans

#14

arnaud anguera a écrit :
ALEJANDRO GONZALES I a écrit :

Tout a débuté en 1961, je suis le descendant direct de celui qu’on appelait l’abuelo de l’abuelo de los abuelos pépitos, celui-là même qui combattant pour une épaisseur plus conséquente de chocolat sur le dessus de notre galette de farine, tel un William Wallace au fin fond de l’Ecosse, un Martin Luther King marchant sur Washington…bon ok, tel un Richie Mc Caw sur le côté d’un ruck (j’insiste, pas dans l’axe mais sur le côté du ruck) s’écria « AY PEPITO » . Une légende était née, l’histoire était en marche. Alors maintenant, vous vous attendez au récit d’un merveilleux voyage, une histoire épique, héroïque…. Et bien non !!!!! A peine sorti du four, installé dans un rayon, je trainais avec mes frères, j’attendais jours après jours le départ vers une destination fabuleuse. C’était le temps de l’insouciance, on se chamaillait avec les PETITS ECOLIERS, on faisait la cour à la barquette de LU. Le temps passait inéluctablement, et ce qui devait arriver, arriva. Un soir d’’hiver pluvieux et froid, on me retira sans une explication du rayon, jeté au rebus dans un container, j’avais dépassé la limite de consommation. J’aurais aimé connaître Olivier, découvrir New York, traverser les océans, mieux peut être aurais-je pu consoler un enfant.

Quelle coïncidence, en 1961 on pouvait découvrir wink

Et aussi la 4L et Sophie la girafe ! lol

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