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Fédérale 1

phases finales F1

#29

Avec Google maps c'est facile 

#30

On pourrait egalement pour completer cette analyse de 64PAU avoir les chiffres de ce que l on pourrait appeler “ l exode ” vers le nord des joueurs venant 

de l aquitaine Occitanie etc en effet ils sont nombreux ces joueurs a etre partis vers les clubs des divisions superieures ! i comme ils ne seront pas assez 

nombreux  il y a un recrutement maintenant et demain de joueurs etrangers !

#31

Melsat81 a écrit :

Avec Google maps c'est facile 

c'est sûr et l'année prochaine aux fêtes de Bayonne je leur dis que Castres est dans le SO 😎

le TOP 14  

“ le plus beau Championnat du Monde ”

#32

Pour répondre à 64 Pau, 

à l'instauration du professionnalisme en 1995 et autrefois, l'élite était grosso modo de 48 à 56 clubs ( sauf une expérience à 64 ) et l'on y retrouvait l'équivalent ou le contenu du Top 14 + pro D2 + N1 …

tous les anciens y sont ..quelques nouveaux: Massy, Aix, Vannes, Nevers, Rouen ….

mais il y a aussi des transferts: Oyonnax a succédé au bon vieux St Claude dont le terrain enneigé en hiver donnait des sueurs froides à la FFR.

et puis, le Pt  entrepreneur Dumande de Nevers a fait comme Soula avec Montchanin / le Creusot ….

Massy et Suresnes prospèrent sur le vivier parisien alors que le PUC vivote

le bassin bordelais aussi  a l'air de se réveiller après l'époque Mérignac, le BEC,  avec Lormont un moment puis Floirac, St Médard en ce moment..

pour moi, un certain statu quo au final à quelques nuances près..

je déplore le sinistre ariégeois ( Lavelanet, Foix, St Girons ) …la situation économique est passée par là

#33

delcaro a écrit :
64pau a écrit :

donc si je résume toute mon analyse est fausse

Non c'est un point de vu géographique différent mais 

c'est sûr qu'il faut mailler son territoire avec une pyramide des toutes compétitions du régionale au Top14😀

En fait, la notion de Sud Ouest dans le rugby n'est pas le reflet d'une division en 4 de l'hexagone sur une carte. Elle provient des Comités historiques et de ce fait de l'histoire de la France au XXème siècle et notamment l'impact de la ligne de démarcation de 1940 (aire n'est pas cote basque landes mais armagnac bigorre car de l'autre coté de la démarcation en 1940). Bref un ensemble de faits historico rugbystiques a  façonné la géographie du rugby.  Prenons le comité Languedoc qui s'étend pour faire simple de l'Aude à la Lozère (sud ouest ou sud est?). Il est rattaché historiquement au Sud Ouest dans l'esprit rugby. Dans les années 90 le SO rugbystique était composé des comités CBL Cote d'argent Béarn midi pyrénées Armagnac Bigorre Périgord agenais Roussillon et Languedoc. Donc Castres Albi Béziers … SO. La Rochelle Cognac pas SO. Comme le rugby évolue, difficile de faire une analyse géographique précise. Un fait demeure, l'affaiblissement du SUD et la montée en puissance du NORD. On peut le regarder sur un plan historique depuis les années 50 : affaiblissement très notoire des clubs du sud : Narbonne Albi Béziers Auch Périgueux Biarritz Bagnères Graulhet Lourdes … qui n'ont plus leur statut d'antan et de nouveaux clubs insignifiant voire n'existant pas il y a 70 ans Vannes Massy Bourg en Bresse Rouen …

#34

On pourrait ajouter que le rugby d'élite était décrit comme celui des sous préfectures et correspondant en fait à l'industrialisation des bassins d'emplois de l'époque: Carmaux, Mazamet, Lavelanet, Boucau ( les forgerons ) …. ( Soustons plus avant …), Condom  Armagnac ( à la place de Fleurance, Mésségué ), Decazeville, La Voulte ( qui s'en souvient ! ) … la desindustrialisation hexagonale a précipité le déclin  ….Tyrosse a été longtemps un bastion mais va rejoindre la F1 en septembre.

Le recul du jeu à XIII a fait tomber dans l'escarcelle du XV Albi vers le milieu des années 90 et aussi Carcassonne qui leur niveau actuel, il s'en faut…

Valence ( Elie Cester ) a sauvé sa peau avec Romans, Vienne ( Jacky Bouquet ) vient de renaître … le rugby reste tenace malgré tout dans ses terres natives

et la greffe est lente au dehors ( échecs anciens à Tours, Poitiers, St Etienne ).

 

#35

ovalie4764 a écrit :

On pourrait ajouter que le rugby d'élite était décrit comme celui des sous préfectures et correspondant en fait à l'industrialisation des bassins d'emplois de l'époque: Carmaux, Mazamet, Lavelanet, Boucau ( les forgerons ) …. ( Soustons plus avant …), Condom  Armagnac ( à la place de Fleurance, Mésségué ), Decazeville, La Voulte ( qui s'en souvient ! ) … la desindustrialisation hexagonale a précipité le déclin  ….Tyrosse a été longtemps un bastion mais va rejoindre la F1 en septembre.

Le recul du jeu à XIII a fait tomber dans l'escarcelle du XV Albi vers le milieu des années 90 et aussi Carcassonne qui leur niveau actuel, il s'en faut…

Valence ( Elie Cester ) a sauvé sa peau avec Romans, Vienne ( Jacky Bouquet ) vient de renaître … le rugby reste tenace malgré tout dans ses terres natives

et la greffe est lente au dehors ( échecs anciens à Tours, Poitiers, St Etienne ).

 

Effectivement le développement au Nord subit (et surtout a subi) des retards, des échecs. C'est également le fait de “l'erreur” du développement Kolkozien voulu par la FFR. Au cours des années 90 et surtout 2000  la volonté de la FFR a été de développer le rugby au nord de l'Adour (oups pardon, au nord de la Loire). Elle a, façon soviet, défini qui serait l'élite du Nord demain et y a mis les moyens : Nantes, Tours, Lille  et Strasbourg. Le pôle France à Tours par exemple. Les joueurs des pôles ont été “incités” à rejoindre ces clubs pour les faire monter rapidement en Pro D2 (est ce que ca s'appelait déjà ainsi?). Mais les échecs ont été cuisants (Tours, Nantes une 1ère fois) Lille plus récemment. ET surtout de sales et vilains canards ont bousculé cette sage programmation : Vannes, puis Nevers … Enfin cette politique soviétique a irrité certains clubs formateurs et développeurs (St Nazaire, Trignac par exemple) qui vouent une défiance pour ne pas dire plus à leur voisin nantais. Une illustration supplémentaire des incohérences d'une FFR voualnt tout régenter

#36

Je ne contester pas l'analyse d'Ovalie. par contre aujourd'hui c'est un mécène qui fait la pluie et le beau temps d'un club dans toute l'hexagone .L'exemple actuel est Biarritz 

#37

En effet, et ce n'est pas d'hier. Quillan champion de France l'a du à un mécène marchand de parapluie. Castres est soutenue depuis des années par un chef d'entreprise… Ne parlons pas de Toulon au cours des 10 dernières années. Le rugby par ses frais et sa professionnalisation vit très largement au dessus de ses moyens et a donc besoin d'une ressource financière indépendante de l'économie. L'Angleterre enregistre des cataclysmes industriels dans plusieurs clubs d'élite, nous la vivons à un niveau plus humble. Nous n'avons pas 1/100ème de l'économie du Football (affluence, merchandising, notoriété) et pourtant à une échelle moindre nous suivons la même course à la puissance. A très haut niveau, impossible de faire sans mécène ou collectif de mécènes. La N1 et la N2 sont gagnées actuellement par la même équation insoluble. La F1 évolue progressivement vers un rugby de moindre niveau par conséquence. C'est bien pourquoi je pense qu'à l'avenir le fossé fédéral national va s'élargir jusqu'à conduire à un dispositif de ligue fermée

#38

Je partage et crains également cette évolution qui a une logique économique inéluctable mais qui fera perdre de la saveur ..

c'est comme les grandes multinationales et les articles des producteurs locaux en agro alimentaire , pour prendre une image !

Les mécènes ont toujours existé depuis le  père Bourrel à Quillan … A . Béguère a fait le grand Lourdes, S. Kampf ( les Barbarians ) a bien soutenu le BO et Grenoble aussi, Soula à Montchanin …la liste n'est pas exhaustive jusqu'à Sarlat il y a peu “qui s'y voyait ” avec un personnage pas trop recommandable….

L'avenir est aux grandes métropoles , ce qui patent en Top 14 …

J'avais listé il n'y a pas longtemps les affluences mais mon article a été perdu car mon écran est très ( trop ) sensible et je perds souvent des données. Je ne recommence donc pas, tant pis, mais je mettais en lumière le poids bien médiocre des affluences pour pouvoir peser sur les ressources des clubs. A  Oloron, on “tourne ” à 500 spectateurs en moyenne, il y a des poules moins bien loties  … ce sont heureusement les derbies qui font le métier ( comme Castelsrrasin,/ valence d'Agen ou encore Dijon /Macon, les nôtres bien sûr )… et cà n'ira pas en s'améliorant …

#39

Effectivement l'assistance aux matchs est un GROS Problème aux conséquences multiples. Pour le sponsor, quel retour sur investissement? Ce n'est pas avec 200 ou 600 spectateurs que le sponsoring apportera des retombées. C'est uniquement de l'engagement, parfois la satisfaction personnelle d'afficher son soutien. Pour la municipalité, quand les assistances sont équivalentes quelque soit le club voir l'asso de loisir, aucune justification à renforcer son soutien. Pour les spectateurs, les “affiches” derby deviennent le seul intérêt de voir le match. Pour les joueurs, c'est un peu moins de kérozène dans la motivation.

Et en plus c'est un sport…. d'hiver. Sympa d'aller se geler dans les tribunes, surtout si le niveau de jeu est peu digne de la division, surtout si on ne gagne pas beaucoup.

Or le rugby, comme beaucoup de sports, a du mal à se réinventer : Le repas d'avant match, la bourriche (pas attractive pour le non spectateur, c'est un acte de soutien)… Difficile en plus d'afficher mieux avec des moyens limités. 

Alors que faire. Moi j'ai peu d'idées. Regarder un peu la NBA (concours de drop, snacking plus pro, animations, nocturnes - rugby repas …) mais bon ca ne va pas révolutionner le monde. Le public rugby est un public familial, de pratiquants et de parents. 

#40

c'est parti pour les barrages : 

 

Peyrehorade 4 / 0 Drancy

Nuit St Georges 5 / 0 Bagnères

Saint Denis 1 / 4 Nantes

Mauléon 4 / 1 Beauvais

St Sulpice 4 / 0 Chateaurenard

Agde 4 / 0 Pamiers

Issoire 1 / 4 Isle Jourdain

Mazamet 5 / 0 Gruissan

#41

Les matches entre équipes de la poule 1 et la poule 4 semblent joués d'avance quand on voit la longueur des déplacements ! Nantes a une chance à St-Denis mais pour Beauvais, Bagnères et Drancy, les km vont peser très lourds.

#42

Sur un match rien n'est joué

Des résultats très serrés et je pense des surprises qui ne changeront rien a l'issue finale de ce championnat

Très peu de candidats à la montée 

Fédérale 1