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Attention : retrouvez les sujets de vos équipes préférées dans le forum clubs.
Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.
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quand le président affirme qu il faut changer les contenu des entrainements, je dis : " a quoi sert le staff?"
Moi ,ce qui me choque ,c est que l'on a était une des meilleurs défense la saison derniére et que la on prends des essais a la pelle,je pense que les équipes qu on a rencontrées sont meilleurs que nous,en ce moment,il nous manque quant meme des joueurs ,comme bolakoro ou urruty ,qui sont d excellents plaqueurs ,j ai bien dit plaqueurs ,aux jambes quoi!!! je ne pense pas que le staff en soit la cause,je pense simplement que le niveau cette année est trés élevé,l ailier de GRENOBLE ,Rhul je crois ,nous a mystifier ,ils sont meilleur c est tout ,l année derniére ,on avait raisuqe,ah mais il est la cette année aussi? je plaisante!! les saisons se suivent mais ne se ressemble pas, et tant mieux,allez l uson je m inquiete pas, on va avoir de bons matchs j en suis persuadé,bonne soirée
Raymond Rhule, plus de 80 matchs de super rugby avec les Cheetahs et les Stormers, 7 selections ( récentes en plus; 2016,2017,2018) avec les springboks, pas encore 27 ans, ghanéen d'origine; sans faire injure aux recrues de l'USON, il présente un CV légèrement différent des gars qui arrivent à Nevers, même si le CV ne fait pas toujours tout .
Dernière modification par thierry (23/10/2019 18:49:56)
Les bons joueurs ça coute cher. Faut faire chauffer le carnet de chèque pour les attirer. On a deja beaucoup (trop selon moi) de contrats en cours (et surement revalorisés et une petite prime à la signature pour toutes les prolongations signées au printemps dernier dont certaines me laisse dubitative et perplexe...). Trop de contrats "inutiles" car ne faisant par partie des plans du staff ou pas au niveau qui plombent la masse salariale. Faut déja faire le ménage avant de recruter du "lourd".
Dernière modification par lebaron58 (23/10/2019 19:16:41)
eh bien ,sacrée palmarès cet ailier,,ah oui on a vu avec la star GUILDFORD,qui n est pas rester longtemps a NEVERS !!!!
thierry 18 a écrit :eh bien ,sacrée palmarès cet ailier,,ah oui on a vu avec la star GUILDFORD,qui n est pas rester longtemps a NEVERS !!!!
Guilford est un gars qui avait fini sa carrière internationale depuis 6 ans et qui avait mis le rugby "entre parenthèse" depuis 3, ans. c'était un pari .... raté , mais il a quand même marqué 3 essais en 10 matchs joués et je suis certain qu'avec un autre état d'esprit et une réelle volonté de son sortir , il aurait pu revenir à un très bon niveau.
Rhule est un joueur dans la continuité de sa carrière, international il y a peu et considéré comme un des plus rapides du top 14 la saison dernière ( chronométré à 39 km /h sur un essai de 40 m ( à 5 ou 6 km/h d' Usain Bolt !)
Heu qd Guilford s en va on plonge au classement l an dernier...
J'ai revu fcg uson ce soir. Mais merde !
raisuqe encore nul en défense, y a 2 essais suite à des erreurs de placement Def pour lui. Le gal nul ! 1ere action touche trouvée mais ballon était rentré dans les 22 hop c'est fini comme d hab il sort du match on joue la 20eme secondes !!! ,il bouffe un essai tout fait sur une passe en avant, des erreurs de placement défensif en pagaille, aucune relance sur réception de coup de pied... Njewel mauvais aussi en défense. J aimerai bien connaître son nbre de placage manqué... C'est dingue comme ça passe tout le temps là où il devrait être !
Par contre, énorme match de Derrieux, très bonne rentrée de Vuillemin qui se fait découpe sur la même action que le jaune sur la cathédrale sur Camou. Le réalisateur le montre 2 fois et les commentaires d eurosport ne le souligne même pas !!!
Nos 4 piliers au dessus des 4 grenoblois.
Tain ce match on peut le gagner à 5 minutes de la fin à 15 contre 13 ! Mais non ! C'est nous qui prenons 2 essais !!!
Les mecs ont vraiment pas le fighting spirit. Ils n y croient même pas et font des conneries ! J'ai les boules ! Ce match on doit le gagner à la fin hold up et notre saison est lancée, mais non ! Pim pimpimpim !!!!
lebaron58 a écrit :Les bons joueurs ça coute cher. Faut faire chauffer le carnet de chèque pour les attirer. On a deja beaucoup (trop selon moi) de contrats en cours (et surement revalorisés et une petite prime à la signature pour toutes les prolongations signées au printemps dernier dont certaines me laisse dubitative et perplexe...). Trop de contrats "inutiles" car ne faisant par partie des plans du staff ou pas au niveau qui plombent la masse salariale. Faut déja faire le ménage avant de recruter du "lourd".
disons que cela ressemble en effet à ça. D'un point de vu extérieur, on a l'impression qu'il y a un effectif important donc compliqué de recruter ensuite. De toute façon, il y aura un bilan en fin de saison et je reste persuadé que vous etiez sur un cycle de deux saisons. Reste 3/4 d'une saison avant de juger du coup.
Pour les anglophones une belle interview de Zack Henry a propos de son choix de jouer à l étranger et en l occurrence en France.
Traduction du message ci dessus.
lors que nous nous éloignons des scènes trépidantes du Japon, notre principal écrivain de Premiership, @_TomHome, a rattrapé le demi d'ouverture (Fly-Half ) Zack Henry, arrivé en France en 2016 pour jouer sous les ordres de Richard Hill, Rouen.
Avec plus de 340 000 joueurs de rugby enregistrés en Angleterre seulement, il n’est pas étonnant que nombre de nos talentueuses stars prometteuses se rendent à l’étranger pour obtenir du temps de jeu et se faire une réputation.
Dans le cas de Zack, c’est l’influence de l’ancien attaquant anglais et des Lions - Richard Hill - qui l’a aidé à passer au-dessus de la chaîne pour jouer dans la FED1 française (devenue PROD2). Voici ce que Zack a à dire sur l’opportunité qui lui a été offerte et comment cela l’a aidé sur et hors du terrain.(devenue PRO D2 on voie que le journaliste ne connais pas bien notre championnat ni sa pyramide ou alors j'ai mal traduit)
Q. Pouvez-vous me parler un peu de votre carrière de joueur au Royaume-Uni et à l'étranger?
J'ai grandi dans le Sussex où j'étais avec l'école de rugby des Harlequins de 13 à 17 ans. Je suis ensuite allé au collège Hurst et j'ai joué sur le circuit scolaire. Après cela, j'ai joué à l'Université de Bath pendant trois ans et j'ai réussi à jouer pour les étudiants britanniques aux championnats mondiaux universitaires et à obtenir une médaille d'argent. Pendant mes années à l’Université, j’ai joué pas mal avec des équipes comme Samurai et Jesters. Je me suis entraîné à quelques reprises à la maison Fairleigh avec Bath pour le match de la Ligue ou le 7ème de"Premier League", mais je n'ai jamais vraiment réussi à obtenir de temps de jeu.
À la fin de mes études universitaires, je cherchais un contrat à temps plein j' étais en contact avec quelques clubs de championnat. Les offres et discussions que j’avais à l’esprit me faisaient penser que je n’aurais pas trop d’opportunités pour jouer et que je ne serais pas assez payé pour vivre de manière indépendante. Heureusement pour moi, Richard Hill (ancien demi de mêlée et entraîneur premiership anglaise) était ami avec certains membres entraîneurs à Bath et est l'entraîneur-chef de Rouen Normandy Rugby en France qui était à l'époque en Fed1, mais qui sont maintenant en Prod2. J'ai eu une rencontre très positive avec lui à Bath, au cours de laquelle il m'a montré des opportunités pour une jeune joueur comme moi de jouer en France et j'ai été pris.
J'ai joué à Rouen pendant 2 saisons sous Richard Hill, obtenant beaucoup de précieux temps de jeu et des selections en 1 ère, puis j'ai été repris par l'équipe USON Nevers de Prod2 où je suis maintenant dans ma deuxième saison.
Q. Quels défis avez-vous rencontrés lorsque vous avez commencé à jouer à l'étranger?
Je pense que les deux principaux problèmes que j'ai rencontrés lors de mon arrivée en France étaient la barrière de la langue et les différences de culture. Avant de déménager en France, j’avais l’impression que beaucoup de gens parlaient anglais, mais en arrivant j’ai réalisé que ce n’était pas le cas. Heureusement, il y avait une excellente cohorte anglaise au club et Richard Hill, qui parlait anglais et français, ce qui a grandement facilité la transition et m'a aidé à maîtriser rapidement la langue. Culturellement, j'ai très vite compris que les choses au jour le jour fonctionnaient très différemment ici et qu'il fallait s'y habituer!
Q. Trouvez-vous que les joueurs préfèrent souvent rester dans leur pays d'origine que de jouer à l'étranger?
Après avoir parlé au fil des ans à de nombreux amis qui jouent en Angleterre, j'ai appris que l'idée de jouer à l'étranger à un moment donné est toujours séduisante, mais il est important de faire le grand saut et de déplacer pleinement votre vie dans un autre pays, en particulier est très difficile. De plus, la fédération française imposant des restrictions sur le nombre de joueurs étrangers autorisés dans les ligues françaises, il devient de plus en plus difficile pour les joueurs anglais de franchir le cap. Surtout parce que si ces clubs français disposent de budgets énormes ne sont autorisés qu'à un certain nombre de joueurs étrangers, ils ont tendance à aller chercher des kiwis, des sud-africains ou des insulaires des mers du Sud.
Q. Quelle est selon vous la plus grande différence entre le rugby joué au Royaume-Uni et à l'étranger?
La plus grande différence que j’ai trouvé dans les différents styles de jeu réside dans le fait qu’au Royaume-Uni, le rugby a tendance à être beaucoup plus structuré et orienté vers un plan de jeu déterminé, alors qu’en France, il ya un peu plus de liberté pour jouer. Quand les choses se passent comme prévu sur le terrain, ici en France, cela peut être dynamique et excitant. Inversement, quand il tombe en panne, il peut devenir compliqué. Je trouve toujours cela particulièrement intéressant en raison du nombre considérable de nations représentées dans ces ligues. À Nevers seulement, nous avons des joueurs anglais, irlandais, canadiens, géorgiens, fidjiens, samoans, australiens, kiwis, français et tongans. Il existe donc de nombreux styles de jeu différents que je n’avais pas vu en Angleterre.
Q. Pourquoi pensez-vous que certains joueurs excellent lorsqu'ils partent à l'étranger alors qu'ils n'ont pas eu autant de succès lorsqu'ils jouent au Royaume-Uni?
Je pense que cela dépend du style de jeu et de ce qui convient à chaque individu. Le style de jeu ici en France me convient vraiment et m'a aidé à me développer en tant que 10.
Q. Quelle motivation donne-t-on aux joueurs étrangers de jouer à l’extérieur de leur ligue natale?
Pour moi, c’est très facile de comparer jouer en Angleterre et en France parce que j’ai non seulement beaucoup d’Amis qui jouent dans la Championship rugby ou la premiership, mais aussi que mon frère joue en Championship rugby depuis 6 ans.
Premièrement, la différence d’investissement entre la deuxième division anglaise et la deuxième division française est considérable. L’investissement en France est nettement supérieur, chaque match étant retransmis à la télévision, une foule nombreuse, de gros budgets pour les clubs, les terrains et installations de formation professionnelle et, par conséquent, des salaires plus élevés, une couverture médicale et des avantages pour les joueurs.
Deuxièmement, je pense que la possibilité d'apprendre une langue, de faire l'expérience d'une autre culture et de rencontrer / jouer avec des joueurs du monde entier est extrêmement attrayante.
Troisièmement, une des choses que j'aime ici en France, c'est la passion des supporters pour le rugby. De la troisième division à la première division, le rugby est un sport énorme ici et chaque match à l'extérieur vous permet de ressentir l'atmosphère hostile, tandis que chaque match à domicile vous fait véritablement sentir le soutien des tribunes.
Q. De quelles manières les joueurs peuvent-ils se développer davantage en jouant à l'étranger, ce qu'ils ne pourraient peut-être pas rester en restant au Royaume-Uni?
Pour moi, et ce n'est peut-être pas le cas pour tout le monde, mais le temps de jeu est le moyen le plus important de se développer. Jouer en France m’a permis d’obtenir un temps de jeu régulier et je suis presque certain que je n’aurais pas pu quitter l’université en Angleterre. Ce temps de jeu normal dans des matchs sous pression devant de grandes foules / à la télévision m'a aidé à évoluer en tant que joueur et à me préparer à ma progression de carrière. Et comme mentionné précédemment, jouer avec des internationaux et des joueurs expérimentés du monde entier a vraiment aidé mon jeu.
Q. Le cas échéant, était-il difficile pour les membres de votre famille de s’adapter à la vie dans un pays étranger?
Quand je suis arrivé en France, j'étais un jeune garçon célibataire sortant tout droit de l'université, je n'avais donc aucune inquiétude à l'égard des enfants, etc. Ma famille et mes amis l'adoraient / l'adorent toujours parce qu'ils profitent de leurs visites comme de petites vacances. . J'ai cependant vu des coéquipiers déménager avec de jeunes enfants et des épouses et lutter pour s'adapter à la vie en France, mais personnellement, la décision de déménager en France était sans doute la meilleure de ma vie.
Dernière modification par Gadget5863 (23/10/2019 22:36:23)
Gadget5863 a écrit :Traduction du message ci dessus.
lors que nous nous éloignons des scènes trépidantes du Japon, notre principal écrivain de Premiership, @_TomHome, a rattrapé le demi d'ouverture (Fly-Half ) Zack Henry, arrivé en France en 2016 pour jouer sous les ordres de Richard Hill, Rouen.
Avec plus de 340 000 joueurs de rugby enregistrés en Angleterre seulement, il n’est pas étonnant que nombre de nos talentueuses stars prometteuses se rendent à l’étranger pour obtenir du temps de jeu et se faire une réputation.
Dans le cas de Zack, c’est l’influence de l’ancien attaquant anglais et des Lions - Richard Hill - qui l’a aidé à passer au-dessus de la chaîne pour jouer dans la FED1 française (devenue PROD2). Voici ce que Zack a à dire sur l’opportunité qui lui a été offerte et comment cela l’a aidé sur et hors du terrain.(devenue PRO D2 on voie que le journaliste ne connais pas bien notre championnat ni sa pyramide ou alors j'ai mal traduit)
Q. Pouvez-vous me parler un peu de votre carrière de joueur au Royaume-Uni et à l'étranger?
J'ai grandi dans le Sussex où j'étais avec l'école de rugby des Harlequins de 13 à 17 ans. Je suis ensuite allé au collège Hurst et j'ai joué sur le circuit scolaire. Après cela, j'ai joué à l'Université de Bath pendant trois ans et j'ai réussi à jouer pour les étudiants britanniques aux championnats mondiaux universitaires et à obtenir une médaille d'argent. Pendant mes années à l’Université, j’ai joué pas mal avec des équipes comme Samurai et Jesters. Je me suis entraîné à quelques reprises à la maison Fairleigh avec Bath pour le match de la Ligue ou le 7ème de"Premier League", mais je n'ai jamais vraiment réussi à obtenir de temps de jeu.
À la fin de mes études universitaires, je cherchais un contrat à temps plein j' étais en contact avec quelques clubs de championnat. Les offres et discussions que j’avais à l’esprit me faisaient penser que je n’aurais pas trop d’opportunités pour jouer et que je ne serais pas assez payé pour vivre de manière indépendante. Heureusement pour moi, Richard Hill (ancien demi de mêlée et entraîneur premiership anglaise) était ami avec certains membres entraîneurs à Bath et est l'entraîneur-chef de Rouen Normandy Rugby en France qui était à l'époque en Fed1, mais qui sont maintenant en Prod2. J'ai eu une rencontre très positive avec lui à Bath, au cours de laquelle il m'a montré des opportunités pour une jeune joueur comme moi de jouer en France et j'ai été pris.
J'ai joué à Rouen pendant 2 saisons sous Richard Hill, obtenant beaucoup de précieux temps de jeu et des selections en 1 ère, puis j'ai été repris par l'équipe USON Nevers de Prod2 où je suis maintenant dans ma deuxième saison.
Q. Quels défis avez-vous rencontrés lorsque vous avez commencé à jouer à l'étranger?
Je pense que les deux principaux problèmes que j'ai rencontrés lors de mon arrivée en France étaient la barrière de la langue et les différences de culture. Avant de déménager en France, j’avais l’impression que beaucoup de gens parlaient anglais, mais en arrivant j’ai réalisé que ce n’était pas le cas. Heureusement, il y avait une excellente cohorte anglaise au club et Richard Hill, qui parlait anglais et français, ce qui a grandement facilité la transition et m'a aidé à maîtriser rapidement la langue. Culturellement, j'ai très vite compris que les choses au jour le jour fonctionnaient très différemment ici et qu'il fallait s'y habituer!
Q. Trouvez-vous que les joueurs préfèrent souvent rester dans leur pays d'origine que de jouer à l'étranger?
Après avoir parlé au fil des ans à de nombreux amis qui jouent en Angleterre, j'ai appris que l'idée de jouer à l'étranger à un moment donné est toujours séduisante, mais il est important de faire le grand saut et de déplacer pleinement votre vie dans un autre pays, en particulier est très difficile. De plus, la fédération française imposant des restrictions sur le nombre de joueurs étrangers autorisés dans les ligues françaises, il devient de plus en plus difficile pour les joueurs anglais de franchir le cap. Surtout parce que si ces clubs français disposent de budgets énormes ne sont autorisés qu'à un certain nombre de joueurs étrangers, ils ont tendance à aller chercher des kiwis, des sud-africains ou des insulaires des mers du Sud.
Q. Quelle est selon vous la plus grande différence entre le rugby joué au Royaume-Uni et à l'étranger?
La plus grande différence que j’ai trouvé dans les différents styles de jeu réside dans le fait qu’au Royaume-Uni, le rugby a tendance à être beaucoup plus structuré et orienté vers un plan de jeu déterminé, alors qu’en France, il ya un peu plus de liberté pour jouer. Quand les choses se passent comme prévu sur le terrain, ici en France, cela peut être dynamique et excitant. Inversement, quand il tombe en panne, il peut devenir compliqué. Je trouve toujours cela particulièrement intéressant en raison du nombre considérable de nations représentées dans ces ligues. À Nevers seulement, nous avons des joueurs anglais, irlandais, canadiens, géorgiens, fidjiens, samoans, australiens, kiwis, français et tongans. Il existe donc de nombreux styles de jeu différents que je n’avais pas vu en Angleterre.
Q. Pourquoi pensez-vous que certains joueurs excellent lorsqu'ils partent à l'étranger alors qu'ils n'ont pas eu autant de succès lorsqu'ils jouent au Royaume-Uni?
Je pense que cela dépend du style de jeu et de ce qui convient à chaque individu. Le style de jeu ici en France me convient vraiment et m'a aidé à me développer en tant que 10.
Q. Quelle motivation donne-t-on aux joueurs étrangers de jouer à l’extérieur de leur ligue natale?
Pour moi, c’est très facile de comparer jouer en Angleterre et en France parce que j’ai non seulement beaucoup d’Amis qui jouent dans la Championship rugby ou la premiership, mais aussi que mon frère joue en Championship rugby depuis 6 ans.
Premièrement, la différence d’investissement entre la deuxième division anglaise et la deuxième division française est considérable. L’investissement en France est nettement supérieur, chaque match étant retransmis à la télévision, une foule nombreuse, de gros budgets pour les clubs, les terrains et installations de formation professionnelle et, par conséquent, des salaires plus élevés, une couverture médicale et des avantages pour les joueurs.
Deuxièmement, je pense que la possibilité d'apprendre une langue, de faire l'expérience d'une autre culture et de rencontrer / jouer avec des joueurs du monde entier est extrêmement attrayante.
Troisièmement, une des choses que j'aime ici en France, c'est la passion des supporters pour le rugby. De la troisième division à la première division, le rugby est un sport énorme ici et chaque match à l'extérieur vous permet de ressentir l'atmosphère hostile, tandis que chaque match à domicile vous fait véritablement sentir le soutien des tribunes.Q. De quelles manières les joueurs peuvent-ils se développer davantage en jouant à l'étranger, ce qu'ils ne pourraient peut-être pas rester en restant au Royaume-Uni?
Pour moi, et ce n'est peut-être pas le cas pour tout le monde, mais le temps de jeu est le moyen le plus important de se développer. Jouer en France m’a permis d’obtenir un temps de jeu régulier et je suis presque certain que je n’aurais pas pu quitter l’université en Angleterre. Ce temps de jeu normal dans des matchs sous pression devant de grandes foules / à la télévision m'a aidé à évoluer en tant que joueur et à me préparer à ma progression de carrière. Et comme mentionné précédemment, jouer avec des internationaux et des joueurs expérimentés du monde entier a vraiment aidé mon jeu.
Q. Le cas échéant, était-il difficile pour les membres de votre famille de s’adapter à la vie dans un pays étranger?
Quand je suis arrivé en France, j'étais un jeune garçon célibataire sortant tout droit de l'université, je n'avais donc aucune inquiétude à l'égard des enfants, etc. Ma famille et mes amis l'adoraient / l'adorent toujours parce qu'ils profitent de leurs visites comme de petites vacances. . J'ai cependant vu des coéquipiers déménager avec de jeunes enfants et des épouses et lutter pour s'adapter à la vie en France, mais personnellement, la décision de déménager en France était sans doute la meilleure de ma vie.
Merci Gadget ....c'est sympa
riton58 a écrit :Gadget5863 a écrit :Traduction du message ci dessus.
lors que nous nous éloignons des scènes trépidantes du Japon, notre principal écrivain de Premiership, @_TomHome, a rattrapé le demi d'ouverture (Fly-Half ) Zack Henry, arrivé en France en 2016 pour jouer sous les ordres de Richard Hill, Rouen.
Avec plus de 340 000 joueurs de rugby enregistrés en Angleterre seulement, il n’est pas étonnant que nombre de nos talentueuses stars prometteuses se rendent à l’étranger pour obtenir du temps de jeu et se faire une réputation.
Dans le cas de Zack, c’est l’influence de l’ancien attaquant anglais et des Lions - Richard Hill - qui l’a aidé à passer au-dessus de la chaîne pour jouer dans la FED1 française (devenue PROD2). Voici ce que Zack a à dire sur l’opportunité qui lui a été offerte et comment cela l’a aidé sur et hors du terrain.(devenue PRO D2 on voie que le journaliste ne connais pas bien notre championnat ni sa pyramide ou alors j'ai mal traduit)
Q. Pouvez-vous me parler un peu de votre carrière de joueur au Royaume-Uni et à l'étranger?
J'ai grandi dans le Sussex où j'étais avec l'école de rugby des Harlequins de 13 à 17 ans. Je suis ensuite allé au collège Hurst et j'ai joué sur le circuit scolaire. Après cela, j'ai joué à l'Université de Bath pendant trois ans et j'ai réussi à jouer pour les étudiants britanniques aux championnats mondiaux universitaires et à obtenir une médaille d'argent. Pendant mes années à l’Université, j’ai joué pas mal avec des équipes comme Samurai et Jesters. Je me suis entraîné à quelques reprises à la maison Fairleigh avec Bath pour le match de la Ligue ou le 7ème de"Premier League", mais je n'ai jamais vraiment réussi à obtenir de temps de jeu.
À la fin de mes études universitaires, je cherchais un contrat à temps plein j' étais en contact avec quelques clubs de championnat. Les offres et discussions que j’avais à l’esprit me faisaient penser que je n’aurais pas trop d’opportunités pour jouer et que je ne serais pas assez payé pour vivre de manière indépendante. Heureusement pour moi, Richard Hill (ancien demi de mêlée et entraîneur premiership anglaise) était ami avec certains membres entraîneurs à Bath et est l'entraîneur-chef de Rouen Normandy Rugby en France qui était à l'époque en Fed1, mais qui sont maintenant en Prod2. J'ai eu une rencontre très positive avec lui à Bath, au cours de laquelle il m'a montré des opportunités pour une jeune joueur comme moi de jouer en France et j'ai été pris.
J'ai joué à Rouen pendant 2 saisons sous Richard Hill, obtenant beaucoup de précieux temps de jeu et des selections en 1 ère, puis j'ai été repris par l'équipe USON Nevers de Prod2 où je suis maintenant dans ma deuxième saison.
Q. Quels défis avez-vous rencontrés lorsque vous avez commencé à jouer à l'étranger?
Je pense que les deux principaux problèmes que j'ai rencontrés lors de mon arrivée en France étaient la barrière de la langue et les différences de culture. Avant de déménager en France, j’avais l’impression que beaucoup de gens parlaient anglais, mais en arrivant j’ai réalisé que ce n’était pas le cas. Heureusement, il y avait une excellente cohorte anglaise au club et Richard Hill, qui parlait anglais et français, ce qui a grandement facilité la transition et m'a aidé à maîtriser rapidement la langue. Culturellement, j'ai très vite compris que les choses au jour le jour fonctionnaient très différemment ici et qu'il fallait s'y habituer!
Q. Trouvez-vous que les joueurs préfèrent souvent rester dans leur pays d'origine que de jouer à l'étranger?
Après avoir parlé au fil des ans à de nombreux amis qui jouent en Angleterre, j'ai appris que l'idée de jouer à l'étranger à un moment donné est toujours séduisante, mais il est important de faire le grand saut et de déplacer pleinement votre vie dans un autre pays, en particulier est très difficile. De plus, la fédération française imposant des restrictions sur le nombre de joueurs étrangers autorisés dans les ligues françaises, il devient de plus en plus difficile pour les joueurs anglais de franchir le cap. Surtout parce que si ces clubs français disposent de budgets énormes ne sont autorisés qu'à un certain nombre de joueurs étrangers, ils ont tendance à aller chercher des kiwis, des sud-africains ou des insulaires des mers du Sud.
Q. Quelle est selon vous la plus grande différence entre le rugby joué au Royaume-Uni et à l'étranger?
La plus grande différence que j’ai trouvé dans les différents styles de jeu réside dans le fait qu’au Royaume-Uni, le rugby a tendance à être beaucoup plus structuré et orienté vers un plan de jeu déterminé, alors qu’en France, il ya un peu plus de liberté pour jouer. Quand les choses se passent comme prévu sur le terrain, ici en France, cela peut être dynamique et excitant. Inversement, quand il tombe en panne, il peut devenir compliqué. Je trouve toujours cela particulièrement intéressant en raison du nombre considérable de nations représentées dans ces ligues. À Nevers seulement, nous avons des joueurs anglais, irlandais, canadiens, géorgiens, fidjiens, samoans, australiens, kiwis, français et tongans. Il existe donc de nombreux styles de jeu différents que je n’avais pas vu en Angleterre.
Q. Pourquoi pensez-vous que certains joueurs excellent lorsqu'ils partent à l'étranger alors qu'ils n'ont pas eu autant de succès lorsqu'ils jouent au Royaume-Uni?
Je pense que cela dépend du style de jeu et de ce qui convient à chaque individu. Le style de jeu ici en France me convient vraiment et m'a aidé à me développer en tant que 10.
Q. Quelle motivation donne-t-on aux joueurs étrangers de jouer à l’extérieur de leur ligue natale?
Pour moi, c’est très facile de comparer jouer en Angleterre et en France parce que j’ai non seulement beaucoup d’Amis qui jouent dans la Championship rugby ou la premiership, mais aussi que mon frère joue en Championship rugby depuis 6 ans.
Premièrement, la différence d’investissement entre la deuxième division anglaise et la deuxième division française est considérable. L’investissement en France est nettement supérieur, chaque match étant retransmis à la télévision, une foule nombreuse, de gros budgets pour les clubs, les terrains et installations de formation professionnelle et, par conséquent, des salaires plus élevés, une couverture médicale et des avantages pour les joueurs.
Deuxièmement, je pense que la possibilité d'apprendre une langue, de faire l'expérience d'une autre culture et de rencontrer / jouer avec des joueurs du monde entier est extrêmement attrayante.
Troisièmement, une des choses que j'aime ici en France, c'est la passion des supporters pour le rugby. De la troisième division à la première division, le rugby est un sport énorme ici et chaque match à l'extérieur vous permet de ressentir l'atmosphère hostile, tandis que chaque match à domicile vous fait véritablement sentir le soutien des tribunes.Q. De quelles manières les joueurs peuvent-ils se développer davantage en jouant à l'étranger, ce qu'ils ne pourraient peut-être pas rester en restant au Royaume-Uni?
Pour moi, et ce n'est peut-être pas le cas pour tout le monde, mais le temps de jeu est le moyen le plus important de se développer. Jouer en France m’a permis d’obtenir un temps de jeu régulier et je suis presque certain que je n’aurais pas pu quitter l’université en Angleterre. Ce temps de jeu normal dans des matchs sous pression devant de grandes foules / à la télévision m'a aidé à évoluer en tant que joueur et à me préparer à ma progression de carrière. Et comme mentionné précédemment, jouer avec des internationaux et des joueurs expérimentés du monde entier a vraiment aidé mon jeu.
Q. Le cas échéant, était-il difficile pour les membres de votre famille de s’adapter à la vie dans un pays étranger?
Quand je suis arrivé en France, j'étais un jeune garçon célibataire sortant tout droit de l'université, je n'avais donc aucune inquiétude à l'égard des enfants, etc. Ma famille et mes amis l'adoraient / l'adorent toujours parce qu'ils profitent de leurs visites comme de petites vacances. . J'ai cependant vu des coéquipiers déménager avec de jeunes enfants et des épouses et lutter pour s'adapter à la vie en France, mais personnellement, la décision de déménager en France était sans doute la meilleure de ma vie.Merci Gadget ....c'est sympa
de rien..... d'ailleurs je viens de relire et il y a un erratum, j'ai traduit par dessus la chaine au lieu de chanel (la manche) mais bon il était tard
Gadget5863 a écrit :riton58 a écrit :Gadget5863 a écrit :Traduction du message ci dessus.
lors que nous nous éloignons des scènes trépidantes du Japon, notre principal écrivain de Premiership, @_TomHome, a rattrapé le demi d'ouverture (Fly-Half ) Zack Henry, arrivé en France en 2016 pour jouer sous les ordres de Richard Hill, Rouen.
Avec plus de 340 000 joueurs de rugby enregistrés en Angleterre seulement, il n’est pas étonnant que nombre de nos talentueuses stars prometteuses se rendent à l’étranger pour obtenir du temps de jeu et se faire une réputation.
Dans le cas de Zack, c’est l’influence de l’ancien attaquant anglais et des Lions - Richard Hill - qui l’a aidé à passer au-dessus de la chaîne pour jouer dans la FED1 française (devenue PROD2). Voici ce que Zack a à dire sur l’opportunité qui lui a été offerte et comment cela l’a aidé sur et hors du terrain.(devenue PRO D2 on voie que le journaliste ne connais pas bien notre championnat ni sa pyramide ou alors j'ai mal traduit)
Q. Pouvez-vous me parler un peu de votre carrière de joueur au Royaume-Uni et à l'étranger?
J'ai grandi dans le Sussex où j'étais avec l'école de rugby des Harlequins de 13 à 17 ans. Je suis ensuite allé au collège Hurst et j'ai joué sur le circuit scolaire. Après cela, j'ai joué à l'Université de Bath pendant trois ans et j'ai réussi à jouer pour les étudiants britanniques aux championnats mondiaux universitaires et à obtenir une médaille d'argent. Pendant mes années à l’Université, j’ai joué pas mal avec des équipes comme Samurai et Jesters. Je me suis entraîné à quelques reprises à la maison Fairleigh avec Bath pour le match de la Ligue ou le 7ème de"Premier League", mais je n'ai jamais vraiment réussi à obtenir de temps de jeu.
À la fin de mes études universitaires, je cherchais un contrat à temps plein j' étais en contact avec quelques clubs de championnat. Les offres et discussions que j’avais à l’esprit me faisaient penser que je n’aurais pas trop d’opportunités pour jouer et que je ne serais pas assez payé pour vivre de manière indépendante. Heureusement pour moi, Richard Hill (ancien demi de mêlée et entraîneur premiership anglaise) était ami avec certains membres entraîneurs à Bath et est l'entraîneur-chef de Rouen Normandy Rugby en France qui était à l'époque en Fed1, mais qui sont maintenant en Prod2. J'ai eu une rencontre très positive avec lui à Bath, au cours de laquelle il m'a montré des opportunités pour une jeune joueur comme moi de jouer en France et j'ai été pris.
J'ai joué à Rouen pendant 2 saisons sous Richard Hill, obtenant beaucoup de précieux temps de jeu et des selections en 1 ère, puis j'ai été repris par l'équipe USON Nevers de Prod2 où je suis maintenant dans ma deuxième saison.
Q. Quels défis avez-vous rencontrés lorsque vous avez commencé à jouer à l'étranger?
Je pense que les deux principaux problèmes que j'ai rencontrés lors de mon arrivée en France étaient la barrière de la langue et les différences de culture. Avant de déménager en France, j’avais l’impression que beaucoup de gens parlaient anglais, mais en arrivant j’ai réalisé que ce n’était pas le cas. Heureusement, il y avait une excellente cohorte anglaise au club et Richard Hill, qui parlait anglais et français, ce qui a grandement facilité la transition et m'a aidé à maîtriser rapidement la langue. Culturellement, j'ai très vite compris que les choses au jour le jour fonctionnaient très différemment ici et qu'il fallait s'y habituer!
Q. Trouvez-vous que les joueurs préfèrent souvent rester dans leur pays d'origine que de jouer à l'étranger?
Après avoir parlé au fil des ans à de nombreux amis qui jouent en Angleterre, j'ai appris que l'idée de jouer à l'étranger à un moment donné est toujours séduisante, mais il est important de faire le grand saut et de déplacer pleinement votre vie dans un autre pays, en particulier est très difficile. De plus, la fédération française imposant des restrictions sur le nombre de joueurs étrangers autorisés dans les ligues françaises, il devient de plus en plus difficile pour les joueurs anglais de franchir le cap. Surtout parce que si ces clubs français disposent de budgets énormes ne sont autorisés qu'à un certain nombre de joueurs étrangers, ils ont tendance à aller chercher des kiwis, des sud-africains ou des insulaires des mers du Sud.
Q. Quelle est selon vous la plus grande différence entre le rugby joué au Royaume-Uni et à l'étranger?
La plus grande différence que j’ai trouvé dans les différents styles de jeu réside dans le fait qu’au Royaume-Uni, le rugby a tendance à être beaucoup plus structuré et orienté vers un plan de jeu déterminé, alors qu’en France, il ya un peu plus de liberté pour jouer. Quand les choses se passent comme prévu sur le terrain, ici en France, cela peut être dynamique et excitant. Inversement, quand il tombe en panne, il peut devenir compliqué. Je trouve toujours cela particulièrement intéressant en raison du nombre considérable de nations représentées dans ces ligues. À Nevers seulement, nous avons des joueurs anglais, irlandais, canadiens, géorgiens, fidjiens, samoans, australiens, kiwis, français et tongans. Il existe donc de nombreux styles de jeu différents que je n’avais pas vu en Angleterre.
Q. Pourquoi pensez-vous que certains joueurs excellent lorsqu'ils partent à l'étranger alors qu'ils n'ont pas eu autant de succès lorsqu'ils jouent au Royaume-Uni?
Je pense que cela dépend du style de jeu et de ce qui convient à chaque individu. Le style de jeu ici en France me convient vraiment et m'a aidé à me développer en tant que 10.
Q. Quelle motivation donne-t-on aux joueurs étrangers de jouer à l’extérieur de leur ligue natale?
Pour moi, c’est très facile de comparer jouer en Angleterre et en France parce que j’ai non seulement beaucoup d’Amis qui jouent dans la Championship rugby ou la premiership, mais aussi que mon frère joue en Championship rugby depuis 6 ans.
Premièrement, la différence d’investissement entre la deuxième division anglaise et la deuxième division française est considérable. L’investissement en France est nettement supérieur, chaque match étant retransmis à la télévision, une foule nombreuse, de gros budgets pour les clubs, les terrains et installations de formation professionnelle et, par conséquent, des salaires plus élevés, une couverture médicale et des avantages pour les joueurs.
Deuxièmement, je pense que la possibilité d'apprendre une langue, de faire l'expérience d'une autre culture et de rencontrer / jouer avec des joueurs du monde entier est extrêmement attrayante.
Troisièmement, une des choses que j'aime ici en France, c'est la passion des supporters pour le rugby. De la troisième division à la première division, le rugby est un sport énorme ici et chaque match à l'extérieur vous permet de ressentir l'atmosphère hostile, tandis que chaque match à domicile vous fait véritablement sentir le soutien des tribunes.Q. De quelles manières les joueurs peuvent-ils se développer davantage en jouant à l'étranger, ce qu'ils ne pourraient peut-être pas rester en restant au Royaume-Uni?
Pour moi, et ce n'est peut-être pas le cas pour tout le monde, mais le temps de jeu est le moyen le plus important de se développer. Jouer en France m’a permis d’obtenir un temps de jeu régulier et je suis presque certain que je n’aurais pas pu quitter l’université en Angleterre. Ce temps de jeu normal dans des matchs sous pression devant de grandes foules / à la télévision m'a aidé à évoluer en tant que joueur et à me préparer à ma progression de carrière. Et comme mentionné précédemment, jouer avec des internationaux et des joueurs expérimentés du monde entier a vraiment aidé mon jeu.
Q. Le cas échéant, était-il difficile pour les membres de votre famille de s’adapter à la vie dans un pays étranger?
Quand je suis arrivé en France, j'étais un jeune garçon célibataire sortant tout droit de l'université, je n'avais donc aucune inquiétude à l'égard des enfants, etc. Ma famille et mes amis l'adoraient / l'adorent toujours parce qu'ils profitent de leurs visites comme de petites vacances. . J'ai cependant vu des coéquipiers déménager avec de jeunes enfants et des épouses et lutter pour s'adapter à la vie en France, mais personnellement, la décision de déménager en France était sans doute la meilleure de ma vie.Merci Gadget ....c'est sympa
de rien..... d'ailleurs je viens de relire et il y a un erratum, j'ai traduit par dessus la chaine au lieu de chanel (la manche) mais bon il était tard
Quand je pense que je lisais en mai-juin 2018, quelques phrases sur votre forum de l'USON comme celle-ci : " L'USON, qui va recruter un 10 en féd 1, le club est tombé bien bas ou n'a plus d'ambition ". Je suis content pour lui qu'il se plaise à Nevers, mais je n'aurai rien contre un retour en Normandie, même si nos deux n°10 sont très bien. Mais Zack, c'est encore une autre façon de jouer....Hâte de jouer la J12, Zack de retour chez les Normands...
Pour en revenir a nôtre équipe, on se pose beaucoup de questions mais le bilan est loin d'être négatif pour l'instant.
Il y a eu la défaite à la maison contre le SAXV mais bon on ne peut en tirer trop de conclusions ou plultôt mettre cela sur le compte de Nb d'absents, d'intégration des nouveaux joueurs, du fait que l'on avait encore le doute suite à la fin de saison 2018/2019.
si je prend tous les matchs :
Nevers SAXV ====> je viens de le dire ont a été ceulli a chaud
Oyonnax Nevers ==> une défaite mais combien vont aller gagner à Oyo. OK lourdes défaites mais de toute façon gagner à l'époque ou même faire un résultat (bonus def) aurait été une grosse surprise
Nevers Biarritz =====> une victoire encourageante car on a bien tenuen defense, on marque, on joue puis en seconde on se pose des questions, on regarde jouer biarritz ou plutôt on ne maitrise plus notre jeu.
Montauban Nevers ==> victoire à l'extérieur et celle la combien l'avait noté sur les tablettes .....Ok on raméne 4pts mais aussi une saloperie qui nous casse la synergie et nous met 10 joueurs sur le carreau
Nevers Béziers ===> pas joué a cause de ..... donc 4 pts (ou 5 ) qui trainent (normalement) soit une 10 ou 11éme place au chpnat. mais surtout un delta de -5 (-4)par rapport à la 6éme place.
Carcassonne Nevers ==> pour moi le seul regfet c'est de ne pas ramener un pt car la, on se troue encore une fois en seconde on valait mieux sur ce match
Grenoble Nevers ==> qui a parié sur une victoire de Nevers .....pas beaucoup donc défaite logique mais, il est vrai qu'il manque la maniére comme je l'ai dit on a le symdrome EDF en seconde on ne joue plus, on est attentiste.Les 2 essais en 15 minutes de grenoble en 1ére mettent un coup sur le tête mais on revient et on est dans les clous a la mi temps 17 / 14 .Aprés, on se marche dessus, on ne fait pas l'effort en plus, on joue a qui perd perd avec un ou deux éclairs mais aussi avec 4 ou 5 ratés en défense et cela ca fait mal très mal Grenoble en a bien profité mais, ils n'en avaient pas besoin, ils se sont nourris de nos erreur défensive et notre incapacité a marquer ou même a jouer a 15 contre 13 et la ca me fait ...... mais c'est juste cette "démotivation" ce manque "d'ambition" qui m'a marqué le reste c'est un peu annecdotique.
Aprés la pause, il y a le bloc de 8 matchs, la on sera vraiment si l'on veut tater une fois de plus le haut de tableau ou, si on sera dans le ventre mou voire..... je pense que l'on peut prendre 28 pts sur ce bloc en espérant qu'il n'y ai pas de casse + le retour des "blessés" + retour des CDM va nous donner plus de souplesse dans le choix des joueurs.
Dernière modification par Gadget5863 (24/10/2019 11:54:36)