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Je crois qu'on peut trouver du plaisir sans être un fou du travail. Pour ma part, faire mon job à fond jusqu'à la dernière seconde et ensuite rideau.
la sup a écrit :Certainement pas davantage, mais moi ,je fais pas une fixette sur elle !
Euh... Moi aussi, j'en ai rien à cirer de Martine ou des autres. C'était juste pour le jeu de mots avec Brie-Comte-Robert. Désolé...
C'est quoi un "bonne" anniversaire par rapport à un "mauvaise"?
Claude a écrit :Je crois qu'on peut trouver du plaisir sans être un fou du travail. Pour ma part, faire mon job à fond jusqu'à la dernière seconde et ensuite rideau.
Ouais Claude !!! Mais instit, c'est un métier qu'on choisit, moi, j'avais pas le feeling, j'étais pion pendant mes "études supérieures" et j'aurais fait un très mauvais enseignant... Alors, après dans le cadre de mon bagage culturel, j'ai choisi ce qui payait le plus et ce qui proposait le meilleur plan de carrière.Et ouais, bingo, j'ai gagné du fric, mais quelque part c'était un pacte avec le diable, fallait toujours écraser quelqu'un et au bout d'un moment tu peux plus... Dans ma génération, des patrons d'hyper qui sont arrivés à la retraite, j'en connais aucun, soit mort avant, soit viré avant ou soit démissionnaire avant. Je parle pas même pas de la vie familiale sacrifiée, environ 80% de divorce. Alors, quand je réalise que quand on supporte plus, on passe pour un fainéant, çà... m'agace ? Moi, je voulais être jockey d'obstacle, mon gabarit était déjà un obstacle !
Armand v. a écrit :Claude a écrit :C'est sûr que le plaisir au travail change pas mal de choses.
Certes, mais en général les fous du travail se retrouvent complètement démunis lorsqu'ils partent à la retraite, n'ayant jamais cultivé l'ombre d'une passion autre.
un fou, de travail ou d'autre chose, est un dangereux spécimen.
la sup a écrit :Claude a écrit :Je crois qu'on peut trouver du plaisir sans être un fou du travail. Pour ma part, faire mon job à fond jusqu'à la dernière seconde et ensuite rideau.
Ouais Claude !!! Mais instit, c'est un métier qu'on choisit, moi, j'avais pas le feeling, j'étais pion pendant mes "études supérieures" et j'aurais fait un très mauvais enseignant... Alors, après dans le cadre de mon bagage culturel, j'ai choisi ce qui payait le plus et ce qui proposait le meilleur plan de carrière.Et ouais, bingo, j'ai gagné du fric, mais quelque part c'était un pacte avec le diable, fallait toujours écraser quelqu'un et au bout d'un moment tu peux plus... Dans ma génération, des patrons d'hyper qui sont arrivés à la retraite, j'en connais aucun, soit mort avant, soit viré avant ou soit démissionnaire avant. Je parle pas même pas de la vie familiale sacrifiée, environ 80% de divorce. Alors, quand je réalise que quand on supporte plus, on passe pour un fainéant, çà... m'agace ? Moi, je voulais être jockey d'obstacle, mon gabarit était déjà un obstacle !
on a tous des rêves inaccessibles Mais au moins toi, tu peux dire que tu as tenu bon !
TINOU54 a écrit :la sup a écrit :Claude a écrit :Je crois qu'on peut trouver du plaisir sans être un fou du travail. Pour ma part, faire mon job à fond jusqu'à la dernière seconde et ensuite rideau.
Ouais Claude !!! Mais instit, c'est un métier qu'on choisit, moi, j'avais pas le feeling, j'étais pion pendant mes "études supérieures" et j'aurais fait un très mauvais enseignant... Alors, après dans le cadre de mon bagage culturel, j'ai choisi ce qui payait le plus et ce qui proposait le meilleur plan de carrière.Et ouais, bingo, j'ai gagné du fric, mais quelque part c'était un pacte avec le diable, fallait toujours écraser quelqu'un et au bout d'un moment tu peux plus... Dans ma génération, des patrons d'hyper qui sont arrivés à la retraite, j'en connais aucun, soit mort avant, soit viré avant ou soit démissionnaire avant. Je parle pas même pas de la vie familiale sacrifiée, environ 80% de divorce. Alors, quand je réalise que quand on supporte plus, on passe pour un fainéant, çà... m'agace ? Moi, je voulais être jockey d'obstacle, mon gabarit était déjà un obstacle !
on a tous des rêves inaccessibles Mais au moins toi, tu peux dire que tu as tenu bon !
Les poires font vivre.
Armand v. a écrit :TINOU54 a écrit :la sup a écrit :Ouais Claude !!! Mais instit, c'est un métier qu'on choisit, moi, j'avais pas le feeling, j'étais pion pendant mes "études supérieures" et j'aurais fait un très mauvais enseignant... Alors, après dans le cadre de mon bagage culturel, j'ai choisi ce qui payait le plus et ce qui proposait le meilleur plan de carrière.Et ouais, bingo, j'ai gagné du fric, mais quelque part c'était un pacte avec le diable, fallait toujours écraser quelqu'un et au bout d'un moment tu peux plus... Dans ma génération, des patrons d'hyper qui sont arrivés à la retraite, j'en connais aucun, soit mort avant, soit viré avant ou soit démissionnaire avant. Je parle pas même pas de la vie familiale sacrifiée, environ 80% de divorce. Alors, quand je réalise que quand on supporte plus, on passe pour un fainéant, çà... m'agace ? Moi, je voulais être jockey d'obstacle, mon gabarit était déjà un obstacle !
on a tous des rêves inaccessibles Mais au moins toi, tu peux dire que tu as tenu bon !
Les poires font vivre.
tu parles de rugby ou d'alcool ?
olivier a écrit :La semaine des 35 heures est idéale pour les gens qui considèrent le travail comme une maladie. Après, il y a ceux qui aiment leur boulot, et sont capables de bosser 70 heures par semaine. Le seul truc, on les traite d'abrutis, de capitalistes et de tous les noms d'oiseaux de l'aigreur de personnes qui ont l'impression de rater leur vie.
Jusqu'à ce que je me marie et que j'aie des enfants, j'étais, par définition, célibataire. Pendant cette période et un peu après, j'ai travaillé des week-end, des nuits entières (passage à l'euro, bug de l'an 2000 etc.), je n'ai jamais compté mes heures car, je l'ai dit, j'estime que ça fait partie de mon métier. Puis j'ai démissionné (d'un super job) pour revenir dans la ville de mon enfance (où vivent certains de mes amis et ma famille), en perdant énormément en terme de salaire mais en privilégiant la qualité de vie : 1h de la mer, 1h des pistes de ski, 1 minute de mon boulot etc. J'ai un pouvoir d'achat qui me permet d'utiliser mon temps libre à bon escient (c'est juste pour prouver que je sais bien l'écrire) et profiter de ma famille. Il faut profiter de la vie, se sacrifier pour le travail c'est terminé pour moi. Mais j'ai d'autres raisons plus personnelles pour affirmer cela. Et je fais un métier que j'adore.
TINOU54 a écrit :Armand v. a écrit :TINOU54 a écrit :on a tous des rêves inaccessibles Mais au moins toi, tu peux dire que tu as tenu bon !
Les poires font vivre.
tu parles de rugby ou d'alcool ?
Demande au ci-devant La Sup.
Armand v. a écrit :TINOU54 a écrit :Armand v. a écrit :Les poires font vivre.
tu parles de rugby ou d'alcool ?
Demande au ci-devant La Sup.
Robespierre et St Just le retour !
la sup a écrit :Claude a écrit :Je crois qu'on peut trouver du plaisir sans être un fou du travail. Pour ma part, faire mon job à fond jusqu'à la dernière seconde et ensuite rideau.
Ouais Claude !!! Mais instit, c'est un métier qu'on choisit, moi, j'avais pas le feeling, j'étais pion pendant mes "études supérieures" et j'aurais fait un très mauvais enseignant... Alors, après dans le cadre de mon bagage culturel, j'ai choisi ce qui payait le plus et ce qui proposait le meilleur plan de carrière.Et ouais, bingo, j'ai gagné du fric, mais quelque part c'était un pacte avec le diable, fallait toujours écraser quelqu'un et au bout d'un moment tu peux plus... Dans ma génération, des patrons d'hyper qui sont arrivés à la retraite, j'en connais aucun, soit mort avant, soit viré avant ou soit démissionnaire avant. Je parle pas même pas de la vie familiale sacrifiée, environ 80% de divorce. Alors, quand je réalise que quand on supporte plus, on passe pour un fainéant, çà... m'agace ? Moi, je voulais être jockey d'obstacle, mon gabarit était déjà un obstacle !
Oui Armand les choix qu'on ne fait pas en connaissance de cause. Ne pas se faire avoir par le taf l'usure le contexte. Courageusement je me suis mis là où je suis pour pouvoir jouir d'une liberté quasi totale. Cela me permet de supporter beaucoup de choses. Tout le monde n'a pas ce luxe c'est sûr. Sur les 35 heures et leur impact sur l'économie, jusqu'à aujourd'hui personne ne m'a convaincu d'un impact positif ou négatif.
Il faut peut être considérer le coût de cette loi pour l'Etat et en regard le véritable nombre d'emplois crées et là il n'y a pas photos.Pour le secteur hospitalier cette loi a été une catastrophe. Il y a des aspects positifs surement mais depuis les salaires ont été bloqués ou presque, alors avoir du temps libre pour des loisirs sans pouvoir d'achat, est ce vraiment un progrès ? Pour ne pas m'attirer les foudres de nombreux Rfistes , je n'insisterais pas sur l'aspect "culturel" de cette loi par rapport à la valeur travail.
Faire une loi ok,mais faire une loi de merde que personne ne réclamait juste pour laisser son nom ! vraiment pas l'etoffe de son pere.