Annonce

Attention : retrouvez les sujets de vos équipes préférées dans le forum clubs.

Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.

3° mi-temps

1er budget de la nation,l'éducation nationale,completement larguée

#1

Et hop!!! encore une bonne nouvelle pour Hollande,mais pour une fois il n'est pas responsable de ce bordel.. tongue

Rien ne vaut le rugby en F3-Retour aux clochers des villages et des valeurs du maillot,les vraies.....

#2

Ben ouai, mais va expliquer ça aux profs. Dés que l'on propose une modification, un changement, c'est la grève. Pourtant, les profs ne sont pas formés aux méthodes pédagogiques, le système est toujours basé sur la pédagogie de l'échec et pour la plupart, ils ne comprennent pas que lorsqu'ils font redoubler un enfant, c'est leur échec. Les bons profs sont rare (mais il y en a), la gestion est lamentable et les programmes sont d'une calamité...

#3

Je partage totalement cet avis, le mammouth existe d'abord pour lui et éventuellement après pour les élèves. J'ai entendu ce matin l'info suivante: Xavier Darcos avait demandé qu'on lui fournisse le nombre exact de cadres de l'EN quand il était ministre. Il attend encore la réponse.....

fidèle supporter de la tribune NORD de l'USM ( celle ou l'hiver nous ne sommes que 4 ou 5) peu mais de qualité, le froid conserve. ALLEZ LES PETITS VERTS

#4

Quelques chiffres qui montrent que là on s'attaque à un gros morceau. Brasser 840 000 gus inféodés à leur propre système, va y avoir du job. On a longtemps comparé l'EN à l'Armée Rouge ! L'une a perdu sa guerre contre l'Afghanistan, l'autre la perd contre l'alphabétisation ! C'est du même niveau en termes de productivité...Aucune efficacité...c'est dire ! Après ça on peut déjà se poser la simple question de l'existence concomittante de deux obédiences : la laique et la privée ! C'est l'aveu qu'on n'a pas voulu traiter le problème des moyens et de l'engagement de la République sur ses propres valeurs : laique, gratuite et obligatoire. Enfin c'est ce que j'ai retenu de mon passage dans l'écrémeuse ! Et maintenant des marioles comme Gaudin qui font de la résistance : pagnolesque !

L'idéal serait que vous sachiez déjà ce que j'essaie de vous expliquer !

#5

C'est d'autant plus con,que j'ai adoré l'école avec certains de mes profs...!!l'école obligatoire,c'est une des plus belles choses ,mais c'est devenu une machine infernale,incapable de s'adapter avec un budget de pourtant ....

Rien ne vaut le rugby en F3-Retour aux clochers des villages et des valeurs du maillot,les vraies.....

#6

La question de la formation, de l'évaluation et des programmes est évidemment essentielle. La formation est laissée à l'abandon. L'évaluation doit être un outil au service des apprentissages. Le redoublement est pour moi un non sens. Les programmes qui placent des apprentissages trop tôt font perdre des élèves en route si l'on n'y prend pas garde. alors que souvent l'apprentissage proposé au bon moment est réussi. Cela suppose du temps, de la formation solide et étayée et des effectifs raisonnables. Après on peut s'engager dans la caricature : profs immobiles, mammouth, grossir le trait d'une institution en manque d'efficacité mais pas larguée. Tout cela est un autre non-sens. L'école sans doute comme la société est habitée par la peur, la crainte. Tout cela chapeauté par une gestion comptable absurde et improductive. Une grande partie du système repose sur les bonnes volontés individuelles. L'an dernier, on nous a fermé une classe après une semaine d'école. Cela a conduit à la mise en place de classe à trois niveaux de 27 et 29 élèves. Le DASEN s'est déplacé en personne pour se donner bonne conscience. Quand je lui ai dit que créer une classe de 29 GS/CP/CE1 mettait l'enseignant(moi) dans une situation impossible, il m'a mis la main sur l'épaule et dit :"Monsieur, vous faites pour le mieux." Je vous laisse méditer sur l'ambition du système pour les élèves qui m'étaient confiés.

#7

Claude a écrit :

La question de la formation, de l'évaluation et des programmes est évidemment essentielle. La formation est laissée à l'abandon. L'évaluation doit être un outil au service des apprentissages. Le redoublement est pour moi un non sens. Les programmes qui placent des apprentissages trop tôt font perdre des élèves en route si l'on n'y prend pas garde. alors que souvent l'apprentissage proposé au bon moment est réussi. Cela suppose du temps, de la formation solide et étayée et des effectifs raisonnables. Après on peut s'engager dans la caricature : profs immobiles, mammouth, grossir le trait d'une institution en manque d'efficacité mais pas larguée. Tout cela est un autre non-sens. L'école sans doute comme la société est habitée par la peur, la crainte. Tout cela chapeauté par une gestion comptable absurde et improductive. Une grande partie du système repose sur les bonnes volontés individuelles. L'an dernier, on nous a fermé une classe après une semaine d'école. Cela a conduit à la mise en place de classe à trois niveaux de 27 et 29 élèves. Le DASEN s'est déplacé en personne pour se donner bonne conscience. Quand je lui ai dit que créer une classe de 29 GS/CP/CE1 mettait l'enseignant(moi) dans une situation impossible, il m'a mis la main sur l'épaule et dit :"Monsieur, vous faites pour le mieux." Je vous laisse méditer sur l'ambition du système pour les élèves qui m'étaient confiés.

J'ai le cas dans mon entourage d'une professeur des écoles débutante à qui on confia une classe à trois niveaux.......... bienvenue dans le monde de l'enseignement

Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru

#8

Claude a écrit :

La question de la formation, de l'évaluation et des programmes est évidemment essentielle. La formation est laissée à l'abandon. L'évaluation doit être un outil au service des apprentissages. Le redoublement est pour moi un non sens. Les programmes qui placent des apprentissages trop tôt font perdre des élèves en route si l'on n'y prend pas garde. alors que souvent l'apprentissage proposé au bon moment est réussi. Cela suppose du temps, de la formation solide et étayée et des effectifs raisonnables. Après on peut s'engager dans la caricature : profs immobiles, mammouth, grossir le trait d'une institution en manque d'efficacité mais pas larguée. Tout cela est un autre non-sens. L'école sans doute comme la société est habitée par la peur, la crainte. Tout cela chapeauté par une gestion comptable absurde et improductive. Une grande partie du système repose sur les bonnes volontés individuelles. L'an dernier, on nous a fermé une classe après une semaine d'école. Cela a conduit à la mise en place de classe à trois niveaux de 27 et 29 élèves. Le DASEN s'est déplacé en personne pour se donner bonne conscience. Quand je lui ai dit que créer une classe de 29 GS/CP/CE1 mettait l'enseignant(moi) dans une situation impossible, il m'a mis la main sur l'épaule et dit :"Monsieur, vous faites pour le mieux." Je vous laisse méditer sur l'ambition du système pour les élèves qui m'étaient confiés.

Sais-tu pourquoi ils ont fermé une classe ? Quid des 50 000 enseignants qui ne voient pas un cours ? Et comment fait-on pour changer ? Parce que certains ont essayé et à chaque fois les profs ont fait grève. Le constat est clair, l'école ne forme pas correctement, alors même avec de bonnes volontés individuelles, la conclusion est là.

#9

LOUIS2 a écrit :
Claude a écrit :

La question de la formation, de l'évaluation et des programmes est évidemment essentielle. La formation est laissée à l'abandon. L'évaluation doit être un outil au service des apprentissages. Le redoublement est pour moi un non sens. Les programmes qui placent des apprentissages trop tôt font perdre des élèves en route si l'on n'y prend pas garde. alors que souvent l'apprentissage proposé au bon moment est réussi. Cela suppose du temps, de la formation solide et étayée et des effectifs raisonnables. Après on peut s'engager dans la caricature : profs immobiles, mammouth, grossir le trait d'une institution en manque d'efficacité mais pas larguée. Tout cela est un autre non-sens. L'école sans doute comme la société est habitée par la peur, la crainte. Tout cela chapeauté par une gestion comptable absurde et improductive. Une grande partie du système repose sur les bonnes volontés individuelles. L'an dernier, on nous a fermé une classe après une semaine d'école. Cela a conduit à la mise en place de classe à trois niveaux de 27 et 29 élèves. Le DASEN s'est déplacé en personne pour se donner bonne conscience. Quand je lui ai dit que créer une classe de 29 GS/CP/CE1 mettait l'enseignant(moi) dans une situation impossible, il m'a mis la main sur l'épaule et dit :"Monsieur, vous faites pour le mieux." Je vous laisse méditer sur l'ambition du système pour les élèves qui m'étaient confiés.

J'ai le cas dans mon entourage d'une professeur des écoles débutante à qui on confia une classe à trois niveaux.......... bienvenue dans le monde de l'enseignement

Une classe à 3 niveaux c'est passionnant et à mon avis une très bonne solution. Mais pas avec un effectif ingérable. Dans certaines écoles au moment de la création des cycles (cycle 1 : TPS, PS, MS) cycle 2 (GS, CP, CE1) cycle 3 (CE2, CM1, CM2) on avait créé des classes de cycle plutôt que des classes à un niveau. Initiative marginale hélas qui aurait pu être soutenue. Mais encore une fois une classe à plusieurs niveaux ça fait peur : aux enseignants, aux parents... Sachant que la classe à un niveau n'existe pas, tous les élèves d'une même année de naissance n'ayant pas les mêmes facultés et capacités. Changer le regard...

#10

C'est pas parce que c'est le boss mais il a raison : "Parce que certains ont essayé et à chaque fois les profs ont fait grève." Donc nous voilà au coeur du sujet et la comparaison avec l'armée (mission et effectifs) s'impose ! L'armée est restructurée et pourtant elle devient efficiente (elle remplit aux yeux des citoyens qui la financent son rôle : en bref, protéger le pays et gagner des guerres)...L'EN change seulement de ministre et n'est pas efficace (elle ne remplit pas son rôle : instruire la jeunesse) ! Pour ceux que ça intéresse bien distinguer efficience et efficacité... Pourquoi comparer armée et EN (on devrait renommer le mammmouth : IN avec I pour Instruction et non pas E qui est une autre affaire, en somme celle des parents) ? Simplement un rapport aux effectifs ! Comment faire avancer les mammouths ? Avec une hiérarchie ! Dans l'EN, elle n'existe pas...Aucun gus ne rend compte à un chef délégataire de l'autorité sommitale et responsable devant son propre hiérarque...Seulement un système d'inspection qui émet des avis sur le respect des règles du système (comme dans tous les ministères) mais ne statue pas sur le résultat des rouages de la machine... L'armée obéit au ministre, pas l'EN (on voulait la reprise des profs des écoles vendredi dernier 29 août, eh bien non août rime avec vacances : le ministre s'est donc couché devant la fronde ! ce sera donc lundi 1er septembre, na !)... Comparaison n'est pas raison : l'armée n'a pas le droit de grève, quelle conclusion en tirer ? Tant que le système ne sera pas blackboulé, le pb restera actuel ! Donc à la rentrée prochaine pour de nouvelles aventures en terre bien connue !

L'idéal serait que vous sachiez déjà ce que j'essaie de vous expliquer !

#11

Quintalshark a écrit :

C'est pas parce que c'est le boss mais il a raison : "Parce que certains ont essayé et à chaque fois les profs ont fait grève." Donc nous voilà au coeur du sujet et la comparaison avec l'armée (mission et effectifs) s'impose ! L'armée est restructurée et pourtant elle devient efficiente (elle remplit aux yeux des citoyens qui la financent son rôle : en bref, protéger le pays et gagner des guerres)...L'EN change seulement de ministre et n'est pas efficace (elle ne remplit pas son rôle : instruire la jeunesse) ! Pour ceux que ça intéresse bien distinguer efficience et efficacité... Pourquoi comparer armée et EN (on devrait renommer le mammmouth : IN avec I pour Instruction et non pas E qui est une autre affaire, en somme celle des parents) ? Simplement un rapport aux effectifs ! Comment faire avancer les mammouths ? Avec une hiérarchie ! Dans l'EN, elle n'existe pas...Aucun gus ne rend compte à un chef délégataire de l'autorité sommitale et responsable devant son propre hiérarque...Seulement un système d'inspection qui émet des avis sur le respect des règles du système (comme dans tous les ministères) mais ne statue pas sur le résultat des rouages de la machine... L'armée obéit au ministre, pas l'EN (on voulait la reprise des profs des écoles vendredi dernier 29 août, eh bien non août rime avec vacances : le ministre s'est donc couché devant la fronde ! ce sera donc lundi 1er septembre, na !)... Comparaison n'est pas raison : l'armée n'a pas le droit de grève, quelle conclusion en tirer ? Tant que le système ne sera pas blackboulé, le pb restera actuel ! Donc à la rentrée prochaine pour de nouvelles aventures en terre bien connue !

Je crois que les comparaisons (armée-en ou public-privé ou d'autres encore) sont vaines et inopérantes. Il faut changer de regard, en finir avec les idées reçues, les clichés, les poncifs. Du style c'était mieux avant (l'école n'a jamais permis à tous malheureusement de réussir), la méthode syllabique est mieux que la globale ou vice-versa, le redoublement est utile, l'absence de notes est préjudiciable etc etc... Tout aborder différemment. Pour l'histoire du 29 août je te rassure, de nombreux enseignants ont travaillé et même bien avant le 29. le 29 j'étais à l'inspection à St Claude puis réunion avec les adultes de l'école pour se parler, caler les choses puis idem entre enseignants l'après-midi. Nous ne sommes de loin pas les seuls dans ce cas. Des syndicats se sont emparés de ça parce que les syndicats ont un fond de commerce et doivent entretenir l'idée qu'ils défendent les intérêts des enseignants. C'était pour eux une aubaine. je rappelle que notre salaire ne cesse de baisser alors que nous ne travaillons pas moins. cela crée des tensions... Le chef existe et l'autoritarisme n'est pas absent de l'EN. Quand le ministère décide qu'une académie doit rendre des postes, le Recteur n'a pas le choix et il délègue cette responsabilité à ses DASEN dans chaque département qui doivent à leur tour rendre n postes. Pour ce faire ils fixent la limite de fermeture de façon à atteindre le nombre de postes à rendre. cette limite varie d'une année à l'autre. Une fois celle-ci fixée, par exemple 27, 3 élèves par classe après fermeture, on ferme tous les postes rentrant dans ce champ sans aucun discernement. Tout le monde a travaillé le doigt sur la couture. Sans jamais se soucier de l'intérêt des élèves. Vous avez 29 élèves et 3 niveaux , Faites-pour le mieux, nous avons confiance en vous... Je crois au contraire qu'ils serait grand temps de responsabiliser les enseignants, de les impliquer. Cela passe par une formation pointue notamment sur des méthodes de travail. L'école française n'est pas larguée, elle est même assez bonne pour les bons élèves et fait beaucoup d'efforts pour les élèves en difficulté. Ce sont pour les autres que c'est beaucoup moins bon. Changer le E en I pourquoi pas mais ce sont surtout les mentalités qu'il faut changer. Education, instruction ne sont pas l'apanage des parents ni de l'école. On apprend et est éduqué de plusieurs endroits. Et heureusement. C'est un métier difficile, certains disent impossible. Il faut accepter ses échecs, ses difficultés qui n'ont rien d'anormal. C'est la seule manière de les dépasser. Malheureusement on en est plutôt à cacher, taire parce qu'immédiatement on est jugé, condamné, catalogué. C'est assez difficile à porter. Il y a des enseignants inaptes, en perdition c'est évident. Nous avons malheureusement à travailler, parfois, avec des parents malveillants, tordus. Durant mon parcours j'ai eu la chance d'avoir à faire classe devant des tiers. Cela m'a été imposé d'abord : une ATSEM. Je n'y tenais pas car se montrer dans son acte d'enseignant est difficile. Puis j'ai eu des stagiaires auxquels j'ai apporté et qui m'ont beaucoup apporté; Puis des EVS, des AVS, des intervenants de toute sorte. Il ne faut pas rêver on n'est pas bon tous les jours et se montrer ainsi et en parler ouvertement et sans gêne fait avancer. j'en conclus qu'il devrait être obligatoire de tutorer, de faire classe à plusieurs. Sans risquer sa réputation ou l'estime que l'on peut avoir de soi. Ce serait un début de changement. les pistes sont innombrables...

#12

@Claude : mon avis que je partage reste mon avis ! J'ai participé sous deux statuts différents à l'armée et j'ai pu juger in situ de la réalisation des ordres du ministre. Je l'explique par un petit baratin assorti d'une conclusion rapide qui m'apparait évidente pour faire bouger d'un seul pas dans une seule direction un ensemble impressionnant de gus d'opinions variées et diverses. Au départ ils ont choisi d'obéir au chef, et en principe, la majorité des boulots du public et du privé c'est du même tonneau, on obéit aux chefs ! Sauf à l'EN... Le reste c'est de la paille ! Si tu n'as pas connu la chose, je conçois que la méthode t'échappe, c'est chiant quand on y est contraint mais la discipline reste qu'elle fait la force des armées et que c'est à mon avis (il reste mon avis !!!) ce qui manque à l'EN où à travers chaque gus on a une idée personnelle de l'instruction des gosses (voire des parents) ! Qu'est-ce que tu peux dire succinctement de la réalisation des ordres de ton ministre ?

Dernière modification par Quintalshark (02/09/2014 18:46:17)

L'idéal serait que vous sachiez déjà ce que j'essaie de vous expliquer !

#13

Claude, tu nous parles de ton expérience personnelle et l'on y reconnait toute ta passion. Mais le problème reste le même. Le niveau n'est pas bon à la sortie. La méthode n'est que l'avant dernière étape avant la pédagogie. Il faut revoir l'organisation, la didactique, l'évaluation et la pédagogie. Dans la formation, il faut que ce soit 1/3 de didactique, 1/3 de pédagogie, 1/3 d'évaluation. Le savoir du prof, on s'en fout.

#14

Quintalshark a écrit :

C'est pas parce que c'est le boss mais il a raison : "Parce que certains ont essayé et à chaque fois les profs ont fait grève." Donc nous voilà au coeur du sujet et la comparaison avec l'armée (mission et effectifs) s'impose ! L'armée est restructurée et pourtant elle devient efficiente (elle remplit aux yeux des citoyens qui la financent son rôle : en bref, protéger le pays et gagner des guerres)...L'EN change seulement de ministre et n'est pas efficace (elle ne remplit pas son rôle : instruire la jeunesse) ! Pour ceux que ça intéresse bien distinguer efficience et efficacité... Pourquoi comparer armée et EN (on devrait renommer le mammmouth : IN avec I pour Instruction et non pas E qui est une autre affaire, en somme celle des parents) ? Simplement un rapport aux effectifs ! Comment faire avancer les mammouths ? Avec une hiérarchie ! Dans l'EN, elle n'existe pas...Aucun gus ne rend compte à un chef délégataire de l'autorité sommitale et responsable devant son propre hiérarque...Seulement un système d'inspection qui émet des avis sur le respect des règles du système (comme dans tous les ministères) mais ne statue pas sur le résultat des rouages de la machine... L'armée obéit au ministre, pas l'EN (on voulait la reprise des profs des écoles vendredi dernier 29 août, eh bien non août rime avec vacances : le ministre s'est donc couché devant la fronde ! ce sera donc lundi 1er septembre, na !)... Comparaison n'est pas raison : l'armée n'a pas le droit de grève, quelle conclusion en tirer ? Tant que le système ne sera pas blackboulé, le pb restera actuel ! Donc à la rentrée prochaine pour de nouvelles aventures en terre bien connue !

Si l'armée française avait gagné une bataille depuis Austerlitz, ça se saurait ! l' autosatisfaction , c'est bien mais en cas d'abus ça peut tourner au comique un peu lourdasse.

C'était mieux au stade de l'Isle.

 

3° mi-temps