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Pont-Vert a écrit :Jean-Luc a écrit :Le problème est que maintenant, le journaliste est devenu un simple représentant de commerce qui doit vendre son produit, faire de l'audience ou vendre son papier, il faut être consensuel. Et puis oui, tu as raison, toujours les mêmes depuis des lustres
tu a raison mais il faut arrêter de les appeler "journalistes" ils font le même métier que moi ce sont des commerciaux mais sans les inconvénients de ce métier ne sont pas payés au résultats eux.
Entièrement d'accord !! mais leur "titre" de journaliste, ils y tiennent !!! c'est un passe-partout qui leur donne leur entrée et les connivences dans tous les domaines, sans oublier la niche fiscale anormale dont ils bénéficient, Jospin en son temps avait voulu la supprimer, on a vu comment ils l'ont combattu et fait perdre.
Quintalshark a écrit :Xicon64 a écrit :Intéressant.
Comment faut-il comprendre les notions développées dans cet article telle "flashé à 418 watts" ? A l'emporte pièce il a monté ses 80 kg sur 1800 m de dénivelé en 60 mn, ça donne 392 watts !
Il ne pèse + que 70 kg pour 1.86m
Jean-Luc a écrit :Pont-Vert a écrit :Jean-Luc a écrit :Le problème est que maintenant, le journaliste est devenu un simple représentant de commerce qui doit vendre son produit, faire de l'audience ou vendre son papier, il faut être consensuel. Et puis oui, tu as raison, toujours les mêmes depuis des lustres
tu a raison mais il faut arrêter de les appeler "journalistes" ils font le même métier que moi ce sont des commerciaux mais sans les inconvénients de ce métier ne sont pas payés au résultats eux.
Entièrement d'accord !! mais leur "titre" de journaliste, ils y tiennent !!! c'est un passe-partout qui leur donne leur entrée et les connivences dans tous les domaines, sans oublier la niche fiscale anormale dont ils bénéficient, Jospin en son temps avait voulu la supprimer, on a vu comment ils l'ont combattu et fait perdre.
Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
astalavista a écrit :Jean-Luc a écrit :Pont-Vert a écrit :tu a raison mais il faut arrêter de les appeler "journalistes" ils font le même métier que moi ce sont des commerciaux mais sans les inconvénients de ce métier ne sont pas payés au résultats eux.
Entièrement d'accord !! mais leur "titre" de journaliste, ils y tiennent !!! c'est un passe-partout qui leur donne leur entrée et les connivences dans tous les domaines, sans oublier la niche fiscale anormale dont ils bénéficient, Jospin en son temps avait voulu la supprimer, on a vu comment ils l'ont combattu et fait perdre.
Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
C'est un tour de France ................ des salaires.. ??
Xicon64 a écrit :astalavista a écrit :Jean-Luc a écrit :Entièrement d'accord !! mais leur "titre" de journaliste, ils y tiennent !!! c'est un passe-partout qui leur donne leur entrée et les connivences dans tous les domaines, sans oublier la niche fiscale anormale dont ils bénéficient, Jospin en son temps avait voulu la supprimer, on a vu comment ils l'ont combattu et fait perdre.
Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
C'est un tour de France ................ des salaires.. ??
C'est un tour non pas de France mais des merdias.
astalavista a écrit :Jean-Luc a écrit :Pont-Vert a écrit :tu a raison mais il faut arrêter de les appeler "journalistes" ils font le même métier que moi ce sont des commerciaux mais sans les inconvénients de ce métier ne sont pas payés au résultats eux.
Entièrement d'accord !! mais leur "titre" de journaliste, ils y tiennent !!! c'est un passe-partout qui leur donne leur entrée et les connivences dans tous les domaines, sans oublier la niche fiscale anormale dont ils bénéficient, Jospin en son temps avait voulu la supprimer, on a vu comment ils l'ont combattu et fait perdre.
Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
Oooooooh, c'est pas parce que t'en mets partout que ç'est plus crédible ! Halte au feu... Merde !
Dernière modification par la sup (16/07/2013 09:25:30)
la sup a écrit :astalavista a écrit :Jean-Luc a écrit :Entièrement d'accord !! mais leur "titre" de journaliste, ils y tiennent !!! c'est un passe-partout qui leur donne leur entrée et les connivences dans tous les domaines, sans oublier la niche fiscale anormale dont ils bénéficient, Jospin en son temps avait voulu la supprimer, on a vu comment ils l'ont combattu et fait perdre.
Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
Oooooooh, c'est pas parce que t'en mets partout que ç'est plus crédible ! Halte au feu... Merde !
T'as raison, mais comme ce n'était pas à sa place dans cette rubrique je l'ai déplacé dans une autre mieux appropriée. Mais promis j'en reste la!
astalavista a écrit :la sup a écrit :astalavista a écrit :Faux, archi faux, Jospin a rétabli cette niche fiscale que Juppé avait supprimé! Pourquoi les journalistes ont tout fait pour qu’HOLLANDE soit vainqueur ? > > > > > > > > En effet 85% des journalistes sont de gauche et ils ont fait une propagande pro-Hollande et une propagande Anti –Sarkozyste. Les différents débats nous ont démontré avec une grande évidence qu’ils souhaitaient l’élection de Hollande. En voici la raison : L'avantage fiscal créée en 1934, pour les journalistes, supprimé par Juppé et rétabli par Jospin, pose question à l'heure où les niches fiscales ont mauvaise presse. > > > > > > > > La chasse aux niches fiscales est à la mode. Le projet socialiste pour 2012 propose d'annuler 50 milliards sur les 70 milliards de «dépenses fiscales inutiles» créées depuis 2002. Au chapitre des «dépenses fiscales inutiles» ou au moins injustes, le PS pourrait également citer une mesure prise par le gouvernement Jospin, l'allocation pour frais d'emploi des journalistes, une niche fiscale qu'avait fait sauter Alain Juppé et que la gauche a rétabli quelques années plus tard sous une forme légèrement allégée. > > > > > > > > Depuis 1999, les journalistes sont autorisés à retrancher 7.650 euros de leur salaire imposable, au nom des frais professionnels non remboursés par leurs employeurs. Un avantage fiscal conséquent. Prenons l'exemple d'un journaliste célibataire gagnant 2.500 euros par mois. Sans cet avantage fiscal, il payerait 2.534 euros d'impôt sur le revenu. Avec, il ne paye que 1.477 euros. Cette niche fiscale a été créée en 1934. Le journalisme faisait partie d'une liste délicieusement surannée de 110 professions qui étaient supposées avoir des frais professionnels (transport, nourriture, matériel...) plus importants que la moyenne. En France, tous les salariés sont exonérés de 10% de leur revenu au nom de ces frais professionnels. Pour 30.000 euros gagnés, on n'en déclare en fait que 27.000. > > > > > > > > Ces 110 professions bénéficiaient d'un coup de pouce supplémentaire, de 5% pour les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua à 40% pour les tisseurs non propriétaires de leur métier de l'Ain, de l'Ardèche, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Loire, de la Haute-Savoie, de l'Isère, de la Loire, du Puy-de-Dôme, du Rhône, de la Savoie, de la Saône-et-Loire et du Vaucluse. Au milieu de cet inventaire à la Pernaut, les journalistes bénéficiaient d'une déduction supplémentaire de 30%. > > > > > > > > En 1996, au nom d'une vaste réforme sur l'impôt sur le revenu, le gouvernement Juppé tire un trait sur toutes ces niches fiscales, «devenues sans rapport avec la réalité des frais professionnels supportés par les intéressés et qui ont donc perdu toute justification». Une profession va particulièrement se plaindre, les journalistes. Une manifestation réunissant 2.000 personnes parcourt alors les rues de Paris. Une dizaine de titres de la presse quotidienne régionale lancent une opération «homme invisible», un boycott photographique des parlementaires favorables à la suppression de la niche. > > > > > > > > On découvre à cette occasion que les journalistes ont nettement plus de moyens de pression que les ouvriers du cartonnage de la région de Nantua. «Le souvenir que j'en conserve est moins la hargne des journalistes que la trouille des politiques», raconte Alain Lambert, ex-rapporteur du budget au Sénat. Juppé tient bon face à la fronde, mais offre une première concession à la profession, la création d'un fonds budgétaire pour compenser la hausse d'impôts que subiront les journalistes. Parallèlement, des négociations sont engagées avec les syndicats.Elles aboutiront sous Jospin. Il est décidé de rétablir l'avantage fiscal, mais sous une forme un peu plus juste. Au lieu des 30%, les journalistes pourront dorénavant retirer 50.000 F (soit 7.650 €) de leurs revenus, une mesure qui favorise les bas salaires et limite l'avantage pour les plus riches. Il n'empêche que les journalistes sont les seuls à bénéficier de la mesure. Michel Diard, ancien secrétaire général du SNJ-CGT (Syndicat national des journalistes) qui a participé à la négociation, ne voit qu'une explication: «La profession s'est mobilisée, les autres ne l'ont pas fait suffisamment». > > > > > > > > Comment justifier cette différence de traitement face à l'impôt? «On considère que le travail du journaliste ne s'arrête jamais, répond Michel Diard. Même en vacances, le journaliste doit se tenir au courant, acheter les journaux, regarder le JT de 20h, consulter les infos sur Internet, ce qui a des coûts non pris en compte par l'entreprise de presse». Les journalistes seront ravis d'apprendre que leur Macbook est financé par l'Etat. Les polisseurs de pipe de Saint-Claude, qui ont perdu l'avantage fiscal, un peu moins. > > > > > > > > Avant les primaires les syndicats de journalistes notamment de l’humanité ont demandé à Mr François Hollande de rétablir l’abattement de 30% pour les journalistes, de plus, chose étrange une certaine Valérie Massonneau (plus connu sous le nom de Valérie Trierweiler, future Madame Hollande) fut la porte-parole des journalistes accompagnée bien sûr d’Audrey Pulvar. > > > > > > > > A savoir qu’en 2008 cette demande de rétablir les 30% fut demandée par les journalistes à Nicolas Sarkozy qui refusa, ce qui lui attira les foudres du monde journalistique, depuis ce jour la campagne anti-sarkozy commença. > > > > > > > > Donc un journaliste célibataire gagnant 2500 € par mois pourrait à partir de 2012 déduire 9000€ au lieu de 7650€. > > > > > > > > Imaginez: Audrey Pulvar et David Pujadas gagnent aux environs de 12000€ par mois ils peuvent donc déduire 54000€; Laurence Ferrari gagne 400000€ annuel, cela lui fait une déduction de 120000€. Jean-Michel Apathie 40000€ par mois soit une déduction de 144000€. Alain Duhamel 56000€ par mois déduction de 207600€. De plus les journalistes de l’audiovisuel lui ont demandé un abattement supplémentaire de 10% pour les frais dit: « frais esthétique » du fait qu’ils doivent en permanence faire des soins esthétiques pour être présentables devant les caméras. Soit 40% d’abattement. > > > > > > > > Mr Hollande leur a promis qu’il leur rétablirai ce droit dès septembre 2012 si il est élu. Et il est certain que Valérie Trierweiler et Audrey Pulvar sauront lui rappeler.
Oooooooh, c'est pas parce que t'en mets partout que ç'est plus crédible ! Halte au feu... Merde !
T'as raison, mais comme ce n'était pas à sa place dans cette rubrique je l'ai déplacé dans une autre mieux appropriée. Mais promis j'en reste la!
Tu devrais faire un copier/coller dans humour et rigolade
papajoxet a écrit :astalavista a écrit :la sup a écrit :Oooooooh, c'est pas parce que t'en mets partout que ç'est plus crédible ! Halte au feu... Merde !
T'as raison, mais comme ce n'était pas à sa place dans cette rubrique je l'ai déplacé dans une autre mieux appropriée. Mais promis j'en reste la!
Tu devrais faire un copier/coller dans humour et rigolade
astalavista a écrit :papajoxet a écrit :astalavista a écrit :T'as raison, mais comme ce n'était pas à sa place dans cette rubrique je l'ai déplacé dans une autre mieux appropriée. Mais promis j'en reste la!
Tu devrais faire un copier/coller dans humour et rigolade
nan....mais juste pour faire kaguer LaSup
papajoxet a écrit :astalavista a écrit :papajoxet a écrit :Tu devrais faire un copier/coller dans humour et rigolade
nan....mais juste pour faire kaguer LaSup
Il souffre déjà assez comme ça, pauvre homme, tu te rends compte avoir voté pour Hollande et voir ce qu'il voit!!!!!!
papajoxet a écrit :astalavista a écrit :papajoxet a écrit :Tu devrais faire un copier/coller dans humour et rigolade
nan....mais juste pour faire kaguer LaSup
Mouaiiis, ben çà m'arrangerait vu que chuis pas au mieux dans mon transit ...
la sup a écrit :papajoxet a écrit :astalavista a écrit :
nan....mais juste pour faire kaguer LaSup
Mouaiiis, ben çà m'arrangerait vu que chuis pas au mieux dans mon transit ...
Ca.....c'est l'effet Hollande
papajoxet a écrit :la sup a écrit :papajoxet a écrit :nan....mais juste pour faire kaguer LaSup
Mouaiiis, ben çà m'arrangerait vu que chuis pas au mieux dans mon transit ...
Ca.....c'est l'effet Hollande
Ouais ben çà fait rien, je préfère être constipé que voter Sarkozy, et pourtant, çà, c'est sur que çà me ferait bien chier !!!