supolo a écrit :J ai cru comprendre que Perenara ssouhaitait le retour a une formule qui consiste a accepter que quelques joueurs soient des salaries du club ce qui ne semble pas etre accepte par l ensemble des joueurs ! Les recrues doivront se soumettre a la meme regle c est ce que j ai cru comprendre c est a dire accepter un travail !Il y a une forte mobilisation de certains qui veulent voir les jeunes issus de l ecole de rugby oloronaise jouer dans l equipe fanion !
Cette vision est un frein a la necessaire competitivite de notre equipe !Toute la difficulte ce sera d assurer la continuite de ce systeme et de recruter des tres bons joueurs qui nous manquent qui accepptent les conditions des autres joueurs !
Parler d une agmentation de budget c est souhaitable mais nous sommes dans une logique egalitaire au sein du Club ! AVILA ce deuxieme ligne parti a Tours souhaitait se plier a cette logique Travail plus defraiement s il n est pas reste c est qu il n a pas trouve l accueil necessire ! Nous avons un probleme avec les joueurs DITS etrangers
Rappeler les difficultes dues a la presence de B BAGATTE ne correspondent a aucune logique proposee actuellement pour le FCO
Nous manquons de benevoles De tres nombreux jeunes veulent rester a Oloron pour y jouer Notre equipe Fanion n est pas aseez competitive il faut concilier ses aspirations Les supporters attendent la venue de tres bons joueurs si un ou deux sont etrangers cela ne peut que nous apporter une ouverture !Quelle equipe de direction peut repondre a ces problematiques ? je ne vois pas pour l instant une autre equipe proposer ses services et un autre projet je crains que L AG n enterine l equipe de direction actuelle a moins que Perenara prenne a son compte un projet ambitieux ?
Ne changeons pas les rôles. Je n'ai pas réclamé de changement de présidence et je ne les ai jamais traité de menteurs. Je ne “consulte pas” pour inciter à monter une liste concurrente. Je n'appelle pas au recrutement de joueurs pro ou semi pros. Il me semble que la présidence actuelle respecte les fondamentaux promis c a d prudence budgétaire et recrutement local. Ils constatent comme tout le monde à l'usure que l'objectif de la N2 n'est pas atteignable dans ce cadre. Je m'en contente comme beaucoup de supporters. Si j'ai des critiques c'est sur l'ambition de jeu et l'encéphalogramme quasiment plat de cette saison ne me satisfait pas.
Ce que je mets sur la table, ce sont les conditions nécessaires pour une montée en N2, impossibilité qui a provoqué l'ire de Supolo. J'imaginais donc que Supolo par ses actions en parallèle souhaitait monter une équipe de remplacement pour une montée bref 100 000 € par an puis 300 000 € par an pour se maintenir en plus du budget actuel.
Dans le fonctionnement du soutient financier au joueurs, 2 grandes politiques s'affrontent : l'égalitarisme (prime de match) et la négociation individuelle (salaires ou primes différenciées). La première, on connaît (x € la victoire à la maison, y € à l'extérieur + quelques variations etc…). Tout y est dicté par le budget consacré aux primes. Notons qu'en cas de grosse saison, le budget peut exploser et donc il faut prévoir une marge. Pour faire venir des “pointures” dans ce cas, c'est l'emploi à côté qui fait la différence. Il faut donc avoir des emplois sous le coude et on choisit le joueur en fonction de cet emploi et non l'inverse.
La solution 2 est plus rapide et efficace rugbystiquement : le joueur / le salaire demandé / le salaire possible et en route si accord.Par contre elle peut induire des tensions en interne et des demandes de valorisations par des joueurs (ils connaissent généralement assez bien leur “valeur” sur le terrain). Plus compliqué mais gérable avec une organisation “Pro” type entreprise. L'énorme inconvénient de ce système, c'est son nflation et donc un buisness plan à LT discuté entre le mécène, les partenaires pour une montée en puissance. On se rencontre vite que le risque est le non respect des engagements (ne serait ce que du fait des fluctuations économiques).
Quand on est un joueur sur “le marché”, on peut être tenté par l'une ou l'autre des solutions. Plus la “valeur” rugbystique est forte, plus la solution 2 prend de l'importance (il y a bien sûr des exceptions, notamment les retours à la maison : Lasalle et un peu plus loin Claverie qui vient d'aider le SASS à retrouver la F3. Un retour de Camille Lopez à Mauléon?).
Les supporters, que l'on remet sans cesse en avant (ce qu'ils voudraient, ce qu'ils attendraient, ce qu'ils exigeraient), ne sont pas à Oloron des “socios”. Prendre un abonnement n'est pas être actionnaire. Que vont ils faire si leurs aspirations ne sont pas reprises? ne plus venir au stade? ne plus s'abonner? A la marge. Si on leur propose du jeu, du spectacle même sans une montée en N2, ils viendront voir des matchs. Pas la peine de brandir le mécontentement des supporters comme un risque majeur. Le FCO n'est pas l'OM.