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Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.

Clubs

FCO - Oloron Sainte Marie

#7141

La formation est le levier majeur pour initier,vulgariser, promouvoir notre cher rugby, le faire aimer, découvrir, jouer un rôle social dans ltous les territoires et procurer ensuite de valeureux équipiers premiers nourris à l'ADN local et assurer l'ancrage du Club.

Malheureusement, la puissance financière est l'autre levier le plus puissant puisqu'il “alimente ” aussi la vie logistique du club et sa formation …

et là, force est de constater que nous en connaissons les limites ….

 

Si on regarde “la france oavle d'en haut”, c'est hallucinant. En top 14 comme dans les autres étages ( par ex, en pro D2, 5  des six qualifiés sont les premiers budgets ) ( les deux derniers sont les plus démunis : Grenoble = 13, 48 / Massy = 4, 711 )

En top 14: Stade T = 43, 7 / Brive = 19, 08 )

En N1! Valence R =5, 6 pour Rennes = 1,9 

Cette dure réalité se duplique à tous les étages et a contaminé le monde amateur. pour exister en N2, il faut maintenant appartenir à la fourchette : 0, 8 à 2M

Tout le monde n'est pas Suresnes, club des hauts de Seine proche de La Défense et aidé par sa municipalité qui est passé de 0, 8 à 4 M en 5 ans  ..

il faut s'y faire 

#7142

Pour être complet sur ces considérations financières, il est clair que les exceptions confirment la règle et c'est heureux pour pimenter

notre actualité.

Ainsi cette saison avce le rugby landais: Mont de Marsan qui se qualifie avec un budget de moitié de tableau et Dax un petit poucet financier qui accompagne le “gros” Valence/Romans qui pèse le doubl.  Montauban frise la descente avec un budget pourtant convenable …. car le rendement d'une équipe n'est pas strictement proportionnel à sa “ valeur marchande ” ;

Ponctuellement.

Mais dans la durée, les faits sont têtus et c'est le temps long qui compte;

Brive s''est maintenu ric rac dans le top 14 pendant des années, bénéficiant du fait que les promus ne se maintenaient pas; sauf que l'USAP résiste bien et que cette année, Bayonne est venu mettre le bazar avec son petit budget de 21 M et s'est imposé dans le haut du tableau. Résultat, l'inéluctable a bien fini par se produire.

Pour vivre dans la N2, il faudrait que le FCO augmente de 50 % son budget actuel. Son refus de monter l'an dernier  comme Mazamet cette année est plein de sagesse mais très frustrant pour les supporters fervents que nous sommes. Le maintien en F1 est notre principale motivation mais évidemment, il sera dur de passionner St Pée avec la réception de clubs valeureux et estimables. C'est la dure loi de la notoriété: Rion/Morcenx , St Médard …. çà ne résonne pas comme Tarbes, Auch …

#7143

Pour en revenir a notre FCO et  pour faire court 

en elevant le niveau du C E L on attire des jeunes de valeur ! (un STAFF de valeur ! une filiere pedagogique et professionnelle performante )

on espere un budget en hausse ;nous verrons bien mais faisons confiance le FCO a toujours eu un coefficient d efficience important : petit budget mais des resultats  qui ont permis de rester en F1 et d esperer mieux!

qu elle equipe aurons nous ? deja le fait de conserver nos joueurs est un gage de reussite!

quand on voit la qualite des equipes de Langon et dee Salles (quel match hier ) on peut evaluer le chemin qui nous reste a parcourir !

#7144

ovalie4764 a écrit :

Pour être complet sur ces considérations financières, il est clair que les exceptions confirment la règle et c'est heureux pour pimenter

notre actualité.

Ainsi cette saison avce le rugby landais: Mont de Marsan qui se qualifie avec un budget de moitié de tableau et Dax un petit poucet financier qui accompagne le “gros” Valence/Romans qui pèse le doubl.  Montauban frise la descente avec un budget pourtant convenable …. car le rendement d'une équipe n'est pas strictement proportionnel à sa “ valeur marchande ” ;

Ponctuellement.

Mais dans la durée, les faits sont têtus et c'est le temps long qui compte;

Brive s''est maintenu ric rac dans le top 14 pendant des années, bénéficiant du fait que les promus ne se maintenaient pas; sauf que l'USAP résiste bien et que cette année, Bayonne est venu mettre le bazar avec son petit budget de 21 M et s'est imposé dans le haut du tableau. Résultat, l'inéluctable a bien fini par se produire.

Pour vivre dans la N2, il faudrait que le FCO augmente de 50 % son budget actuel. Son refus de monter l'an dernier  comme Mazamet cette année est plein de sagesse mais très frustrant pour les supporters fervents que nous sommes. Le maintien en F1 est notre principale motivation mais évidemment, il sera dur de passionner St Pée avec la réception de clubs valeureux et estimables. C'est la dure loi de la notoriété: Rion/Morcenx , St Médard …. çà ne résonne pas comme Tarbes, Auch …

Et pourtant… Les matchs contre ces, soi_disant, petites équipes ont souvent une qualité de spectacle supérieure à celle des “gros chocs”. Bien sûr, les derbys (Mauléon, Bagnères) portent en eux l'histoire et la rivalité et leur intérêt dépasse la simple qualité du jeu. Cette année à St Pée, ces 2 rencontres ont été d'une faiblesse technique rare mais il y avait l'intensité dramatique. Les nouveaux venus s'adaptent à la nouvelle division et apportent des solutions que les “historiques” n'ont pas obligatoirement envisagés. Mauléon, Peyrehorade (pensionnaires récents si l'on retranche les saisons covid) tiennent le haut du tableau cette année avec leurs propres recettes. Bien sûr, avec un jeu très ouvert, la difficulté sera de tenir dans le temps, surtout si les pensionnaires habituels adaptent leur jeu aux nouvelles donnes liées à l'évolution des règles comme l'a fait Langon en 1 an avec la venue d'un nouvel entraîneur. 

Bref, le public peut et doit évoluer. On le voit bien, il est aujourd'hui composé d'historiques, et pour l'avoir vérifié à de nombreuses reprises, peu au fait des nouvelles règles, des changements profonds provoqués par celles-ci (50 - 22) qui offrent des possibilités accrues dans le déplacement des zones de jeu. Comment le rajeunir, faire venir des “non rugby”? Bien sûr, des résultats : plus facile si on a un ratio victoires / défaites > 1 encore mieux s'il est proche de 2. Mais également en proposant un jeu plus chatoyant (fort devant et bon derrière). C'est le cas de Vannes avec JN Spitzer qui a pris une équipe de combat et en a fait une équipe complète. Bien sûr leur budget a grossi et c'est maintenant le 4ème de ProD2. Mais l'affluence est le fait d'un public “footeux” qui s'est intéressé à cette équipe, à son jeu et au spectacle. Maintenant c'est plein, c'est multigénérationnel. Pour sourire : Avant Vannes c'était le golfe maintenant c'est le rugby. Au fait, ils avaient depuis de nombreuses années des classes rugby au lycée voisin et ils ont fini par y attirer tous les jeunes à fort potentiel de la région et au-delà. C'est cela aussi un CEL.

#7145

Perenara a écrit :

C'est le cas de Vannes avec JN Spitzer qui a pris une équipe de combat et en a fait une équipe complète. Bien sûr leur budget a grossi et c'est maintenant le 4ème de ProD2. Mais l'affluence est le fait d'un public “footeux” qui s'est intéressé à cette équipe, à son jeu et au spectacle. Maintenant c'est plein, c'est multigénérationnel. Pour sourire : Avant Vannes c'était le golfe maintenant c'est le rugby. Au fait, ils avaient depuis de nombreuses années des classes rugby au lycée voisin et ils ont fini par y attirer tous les jeunes à fort potentiel de la région et au-delà. C'est cela aussi un CEL.

 

Je reviens sur cette dernière partie du message.

Je pense qu'il est plus facile de développer un pôle jeune rugby en Bretagne que dans notre région. Le rugby breton tend à se développer et Vannes a été précurseur en la matière. 

Pour comparer avec le Piémont Oloronais, un enfant peut, s'il le souhaite, faire tous les sports. L'offre est tellement variée qu'il est difficile de “bloquer” un jeune au rugby. 

Je ne dis pas qu'en Bretagne ils ne peuvent pas le faire, mais l'offre “rugby” est récente et Vannes surfe sur cette vague.

#7146

OloronSainteMatraque a écrit :
Perenara a écrit :

C'est le cas de Vannes avec JN Spitzer qui a pris une équipe de combat et en a fait une équipe complète. Bien sûr leur budget a grossi et c'est maintenant le 4ème de ProD2. Mais l'affluence est le fait d'un public “footeux” qui s'est intéressé à cette équipe, à son jeu et au spectacle. Maintenant c'est plein, c'est multigénérationnel. Pour sourire : Avant Vannes c'était le golfe maintenant c'est le rugby. Au fait, ils avaient depuis de nombreuses années des classes rugby au lycée voisin et ils ont fini par y attirer tous les jeunes à fort potentiel de la région et au-delà. C'est cela aussi un CEL.

 

Je reviens sur cette dernière partie du message.

Je pense qu'il est plus facile de développer un pôle jeune rugby en Bretagne que dans notre région. Le rugby breton tend à se développer et Vannes a été précurseur en la matière. 

Pour comparer avec le Piémont Oloronais, un enfant peut, s'il le souhaite, faire tous les sports. L'offre est tellement variée qu'il est difficile de “bloquer” un jeune au rugby. 

Je ne dis pas qu'en Bretagne ils ne peuvent pas le faire, mais l'offre “rugby” est récente et Vannes surfe sur cette vague.

vannes à gravit les échelons d'abord par l equipe première par des résultats et une vision positive des clubs autours ensuite est venu le projet jeune , mais la question que je pose démarre t on un projet de club par le haut ou par le bas , et bien j ai la réponse par le haut bien entendu l equipe de fanion c est elle qui représente tout et qui petit à petit construit ,emmène des partenaires donc de l'argent pour construire tout le reste,  l inverse n existe pas  , quel club qui ne tourne pas en équipe fanion emmène du monde au stade ?emmène une vision positive dans un territoire ?des jeunes à l école école rugby ???aucun donc  commençons par retrouvé des années fastes au fco comme ca l a étais je rapelle grosse équipe première en 2015 ……équipe juniors champion de france reichel ,,,donc attractive  et le reste suivra mais pas le contraire ne l oublions pas 

#7147

supporter oloronais a écrit :
OloronSainteMatraque a écrit :
Perenara a écrit :

C'est le cas de Vannes avec JN Spitzer qui a pris une équipe de combat et en a fait une équipe complète. Bien sûr leur budget a grossi et c'est maintenant le 4ème de ProD2. Mais l'affluence est le fait d'un public “footeux” qui s'est intéressé à cette équipe, à son jeu et au spectacle. Maintenant c'est plein, c'est multigénérationnel. Pour sourire : Avant Vannes c'était le golfe maintenant c'est le rugby. Au fait, ils avaient depuis de nombreuses années des classes rugby au lycée voisin et ils ont fini par y attirer tous les jeunes à fort potentiel de la région et au-delà. C'est cela aussi un CEL.

 

Je reviens sur cette dernière partie du message.

Je pense qu'il est plus facile de développer un pôle jeune rugby en Bretagne que dans notre région. Le rugby breton tend à se développer et Vannes a été précurseur en la matière. 

Pour comparer avec le Piémont Oloronais, un enfant peut, s'il le souhaite, faire tous les sports. L'offre est tellement variée qu'il est difficile de “bloquer” un jeune au rugby. 

Je ne dis pas qu'en Bretagne ils ne peuvent pas le faire, mais l'offre “rugby” est récente et Vannes surfe sur cette vague.

vannes à gravit les échelons d'abord par l equipe première par des résultats et une vision positive des clubs autours ensuite est venu le projet jeune , mais la question que je pose démarre t on un projet de club par le haut ou par le bas , et bien j ai la réponse par le haut bien entendu l equipe de fanion c est elle qui représente tout et qui petit à petit construit ,emmène des partenaires donc de l'argent pour construire tout le reste,  l inverse n existe pas  , quel club qui ne tourne pas en équipe fanion emmène du monde au stade ?emmène une vision positive dans un territoire ?des jeunes à l école école rugby ???aucun donc  commençons par retrouvé des années fastes au fco comme ca l a étais je rapelle grosse équipe première en 2015 ……équipe juniors champion de france reichel ,,,donc attractive  et le reste suivra mais pas le contraire ne l oublions pas 

la création de la classe rugby au lycée de Vannes date a peu de chose près de la montée en F1 du RCV soit entre 2006 et 2008 si je ne m'abuse. Il est remplacé par un pôle espoir au RCV après la montée en ProD2. L'attractivité de ce CEL qui ne dit pas encore son nom précède les grandes heures du RCV (la montée en 2015) et draine largement les jeunes dès sa création. Effectivement, plus simple de se développer rapidement en Bzh que dans le SO. Mais, dans les clubs pro, l'accession à ces centres de développement est très compliqué et réservés à une 20aine de joueurs extérieurs au club par an. Il y a donc de la place. Ensuite effectivement les résultats de la F1 sont importants pour le rayonnement mais pas comme vous semblez le dire l'unique moyen d'exister. Il faut tenir son rang et savoir être attractifs. Cela passe par un niveau de jeu et par une formation connue et reconnue. L'entrée est multiple. Votre position (100% équipe fanion) est celle du Stade Français (très hors sol) l'opposé c'est Massy (surtout reconnu par la qualité de sa formation et de son action y compris dans les quartiers). Donc les voies sont multiples

#7148

Restons Oloronais et recherchons les solutions internes

L equipe 1 saura se qualifier avec les renforts attendus (2eme Ligne) 

Peut on recruter quelques jeunes pour apporter la densite?

Vu ce que nous ont montre les juniors et cadets il serait etonnant de ne pas trouver de bons joueurs pour la F1 !(voir cette superbe action en fin de match a ST GOIN!

Pour ce qui est des filieres possiubles en tenant compte de nos potentialites je pense  au B T P a l ecologie nous avons de nombreuses forets il  n est pas utile d aller dans la foret de Broceliande ! il peut y avoir de nombreuses pistes pour attirer des jeunes !

et en cas de besoin on peut compter sur des amis de thimotee et Lucas !

#7149

Perenara a écrit :
ovalie4764 a écrit :

Pour être complet sur ces considérations financières, il est clair que les exceptions confirment la règle et c'est heureux pour pimenter

notre actualité.

Ainsi cette saison avce le rugby landais: Mont de Marsan qui se qualifie avec un budget de moitié de tableau et Dax un petit poucet financier qui accompagne le “gros” Valence/Romans qui pèse le doubl.  Montauban frise la descente avec un budget pourtant convenable …. car le rendement d'une équipe n'est pas strictement proportionnel à sa “ valeur marchande ” ;

Ponctuellement.

Mais dans la durée, les faits sont têtus et c'est le temps long qui compte;

Brive s''est maintenu ric rac dans le top 14 pendant des années, bénéficiant du fait que les promus ne se maintenaient pas; sauf que l'USAP résiste bien et que cette année, Bayonne est venu mettre le bazar avec son petit budget de 21 M et s'est imposé dans le haut du tableau. Résultat, l'inéluctable a bien fini par se produire.

Pour vivre dans la N2, il faudrait que le FCO augmente de 50 % son budget actuel. Son refus de monter l'an dernier  comme Mazamet cette année est plein de sagesse mais très frustrant pour les supporters fervents que nous sommes. Le maintien en F1 est notre principale motivation mais évidemment, il sera dur de passionner St Pée avec la réception de clubs valeureux et estimables. C'est la dure loi de la notoriété: Rion/Morcenx , St Médard …. çà ne résonne pas comme Tarbes, Auch …

Et pourtant… Les matchs contre ces, soi_disant, petites équipes ont souvent une qualité de spectacle supérieure à celle des “gros chocs”. Bien sûr, les derbys (Mauléon, Bagnères) portent en eux l'histoire et la rivalité et leur intérêt dépasse la simple qualité du jeu. Cette année à St Pée, ces 2 rencontres ont été d'une faiblesse technique rare mais il y avait l'intensité dramatique. Les nouveaux venus s'adaptent à la nouvelle division et apportent des solutions que les “historiques” n'ont pas obligatoirement envisagés. Mauléon, Peyrehorade (pensionnaires récents si l'on retranche les saisons covid) tiennent le haut du tableau cette année avec leurs propres recettes. Bien sûr, avec un jeu très ouvert, la difficulté sera de tenir dans le temps, surtout si les pensionnaires habituels adaptent leur jeu aux nouvelles donnes liées à l'évolution des règles comme l'a fait Langon en 1 an avec la venue d'un nouvel entraîneur. 

Bref, le public peut et doit évoluer. On le voit bien, il est aujourd'hui composé d'historiques, et pour l'avoir vérifié à de nombreuses reprises, peu au fait des nouvelles règles, des changements profonds provoqués par celles-ci (50 - 22) qui offrent des possibilités accrues dans le déplacement des zones de jeu. Comment le rajeunir, faire venir des “non rugby”? Bien sûr, des résultats : plus facile si on a un ratio victoires / défaites > 1 encore mieux s'il est proche de 2. Mais également en proposant un jeu plus chatoyant (fort devant et bon derrière). C'est le cas de Vannes avec JN Spitzer qui a pris une équipe de combat et en a fait une équipe complète. Bien sûr leur budget a grossi et c'est maintenant le 4ème de ProD2. Mais l'affluence est le fait d'un public “footeux” qui s'est intéressé à cette équipe, à son jeu et au spectacle. Maintenant c'est plein, c'est multigénérationnel. Pour sourire : Avant Vannes c'était le golfe maintenant c'est le rugby. Au fait, ils avaient depuis de nombreuses années des classes rugby au lycée voisin et ils ont fini par y attirer tous les jeunes à fort potentiel de la région et au-delà. C'est cela aussi un CEL.

bel exemple en citant vannes et son cel !!!!Le club professionnel ou on retrouve autant de joueurs étrangers alors à quoi sert un cel qui brille !!!comme dirait son manager jean Noël spizger moins il y a de bretons sur la pelouse , plus il y a de drapeaux bretons dans les tribunes !!!!alors former oui mais pour qui ?

#7150

Le rugby professionnel a tout bousculé .Impossible  d'avoir une équipe constituée  de joueurs locaux et jouer le championnat    de la  division  Fédérale 1 au top 14.

Tu dois avoir des ¾ perforants.et ou tu les trouvent? je te laisse deviner.

Idem pour le pack  donc tu dois regarder non plus local mais hexagone voir étranger.

Dans ce type de championnat tu dois  durcir toutes tes divisions .En clair réduire le nombre de clubs.

Donc 36 clubs  en F1

          72 clubs en f2

         96 clubs en f3

C'est juste mon avis mais si tu veux plus voir des  clubs refusant la montée c'est une des solutions.

Je ne dis pas que je souhaite ce type de championnat mais tu peut pas avoir  l'argent  beurre et la  fortune de la cremiere. Le professionnalisme  impose des changements certes douloureux  mais indispensable.

 

 

#7151

Avant de reformer les divisions F1 F2 F3 il faut trouver des mesures pour calmer le jeu la creation de la N2 a favorise la course au budget au recrutement excessif dans toutes les divisions !

Faut il limiter le nombre des mutations ?

Limiter le nombre d etranger je n y 

crois pas 

sur le plan du jeu il faudrait pousser les melees depuis les juniors on retrouvera ainsi de jeunes piliers plus nombreux 

est ce que le nouveau president peut apporter les reformes ?

#7152

Il est clair que la création de la N2 a activé un peu plus la financiarisation de la sphère amateur  ….

et pour aller où ?

car en supposant qu'un club sportivement brillant et exceptionnel de N2 monte en N1, ce sera pour y faire quoi ?

Sachant que pour accéder au pro D2 ensuite, il y a un cahier des charges tel que la moitié des clubs de N1 n'est pas éligible pour une montée acquise sur le pré !

Ce qui est clair, c'est que le système qui s'installe organise un pillage organisé des plus huppés, il y a un dévoiement certain de “ l' esprit amateur”. Ce ne vois que l'instauration d'un “ financial cap” ( ou salary cap ) pour réguler et calmer les ardeurs dérivantes auxquelles on assiste !

#7153

supporter oloronais a écrit :
Perenara a écrit :
ovalie4764 a écrit :

Pour être complet sur ces considérations financières, il est clair que les exceptions confirment la règle et c'est heureux pour pimenter

notre actualité.

Ainsi cette saison avce le rugby landais: Mont de Marsan qui se qualifie avec un budget de moitié de tableau et Dax un petit poucet financier qui accompagne le “gros” Valence/Romans qui pèse le doubl.  Montauban frise la descente avec un budget pourtant convenable …. car le rendement d'une équipe n'est pas strictement proportionnel à sa “ valeur marchande ” ;

Ponctuellement.

Mais dans la durée, les faits sont têtus et c'est le temps long qui compte;

Brive s''est maintenu ric rac dans le top 14 pendant des années, bénéficiant du fait que les promus ne se maintenaient pas; sauf que l'USAP résiste bien et que cette année, Bayonne est venu mettre le bazar avec son petit budget de 21 M et s'est imposé dans le haut du tableau. Résultat, l'inéluctable a bien fini par se produire.

Pour vivre dans la N2, il faudrait que le FCO augmente de 50 % son budget actuel. Son refus de monter l'an dernier  comme Mazamet cette année est plein de sagesse mais très frustrant pour les supporters fervents que nous sommes. Le maintien en F1 est notre principale motivation mais évidemment, il sera dur de passionner St Pée avec la réception de clubs valeureux et estimables. C'est la dure loi de la notoriété: Rion/Morcenx , St Médard …. çà ne résonne pas comme Tarbes, Auch …

Et pourtant… Les matchs contre ces, soi_disant, petites équipes ont souvent une qualité de spectacle supérieure à celle des “gros chocs”. Bien sûr, les derbys (Mauléon, Bagnères) portent en eux l'histoire et la rivalité et leur intérêt dépasse la simple qualité du jeu. Cette année à St Pée, ces 2 rencontres ont été d'une faiblesse technique rare mais il y avait l'intensité dramatique. Les nouveaux venus s'adaptent à la nouvelle division et apportent des solutions que les “historiques” n'ont pas obligatoirement envisagés. Mauléon, Peyrehorade (pensionnaires récents si l'on retranche les saisons covid) tiennent le haut du tableau cette année avec leurs propres recettes. Bien sûr, avec un jeu très ouvert, la difficulté sera de tenir dans le temps, surtout si les pensionnaires habituels adaptent leur jeu aux nouvelles donnes liées à l'évolution des règles comme l'a fait Langon en 1 an avec la venue d'un nouvel entraîneur. 

Bref, le public peut et doit évoluer. On le voit bien, il est aujourd'hui composé d'historiques, et pour l'avoir vérifié à de nombreuses reprises, peu au fait des nouvelles règles, des changements profonds provoqués par celles-ci (50 - 22) qui offrent des possibilités accrues dans le déplacement des zones de jeu. Comment le rajeunir, faire venir des “non rugby”? Bien sûr, des résultats : plus facile si on a un ratio victoires / défaites > 1 encore mieux s'il est proche de 2. Mais également en proposant un jeu plus chatoyant (fort devant et bon derrière). C'est le cas de Vannes avec JN Spitzer qui a pris une équipe de combat et en a fait une équipe complète. Bien sûr leur budget a grossi et c'est maintenant le 4ème de ProD2. Mais l'affluence est le fait d'un public “footeux” qui s'est intéressé à cette équipe, à son jeu et au spectacle. Maintenant c'est plein, c'est multigénérationnel. Pour sourire : Avant Vannes c'était le golfe maintenant c'est le rugby. Au fait, ils avaient depuis de nombreuses années des classes rugby au lycée voisin et ils ont fini par y attirer tous les jeunes à fort potentiel de la région et au-delà. C'est cela aussi un CEL.

bel exemple en citant vannes et son cel !!!!Le club professionnel ou on retrouve autant de joueurs étrangers alors à quoi sert un cel qui brille !!!comme dirait son manager jean Noël spizger moins il y a de bretons sur la pelouse , plus il y a de drapeaux bretons dans les tribunes !!!!alors former oui mais pour qui ?

Il y a une différence fondamentale entre 1 équipe de proD2 et une équipe de la nouvelle F1. L'une , hélas, ne peut plus s'appuyer sur son centre de formation pour constituer une partie de son équipe (mais elle a besoin de former des jeunes joueurs à fort potentiel qui pour une petite part d'entre eux vont percer à très haut niveau grâce à ces années de formation). L'autre pourra y puiser plus facilement (mais si elle verra partir les plus hauts potentiels vers le professionnalisme) et récupèrera tout au long de la carrière les indemnités de formation (de l'ordre de 10 000 € pour 1 club de pro D2 au niveau junior et espoir). Fini le temps où un joueur est lié à son club par principe. Même si il y a des lacunes et des changements nécessaires dans la valorisation du travail de formation, elle est indispensable dans le rugby amateur ne serait ce que pour maintenir un lien entre la pratique senior et les adolescents. 

Si l'on vise la N2, sans formation digne de ce niveau, ce n'est pas 2 ou 3 joueurs extérieurs qu'il faudra recruter mais comme Nantes 7 ou 8 à terme voir plus… Pour tenir le niveau, il faut penser 3 entrainements/ semaine + 2 à 3 séances de préparation physique individualisée en plus. Combien de joueurs actuels de l'équipe première du FCO les font et combien les feraient. Il n'y a que l'inscription dans un parcours de haut niveau des les cadets d'un rythme élevé d'entrainement qui conduit au maintien d'une exigence personnelle à ce niveau d’entraînement. Le CEL doit permettre au FCO de se doter progressivement des infrasctructures nécessaires qui profiteront à tous (c'est connu, les subventions vont avant tout à la formation, pas à la pratique).

Le CEL n'est pas LA solution mais une partie de celle-ci. Une autre c'est l'augmentation du budget (modérée avec un CEL, forte sans formation interne). Sachant que j'ai rencontré récemment un joueur en 2nde partie de carrière ayant plusieurs saisons de F2 qui a été recruté par un club de régionale 2 avec un fixe de 500 € par mois (sur la durée de la saison sept - mai), je laisse imaginer un joueur ayant fait ses preuves en F1 ou nationale pouvant participer à une montée en N2.

#7154

ovalie4764 a écrit :

Il est clair que la création de la N2 a activé un peu plus la financiarisation de la sphère amateur  ….

et pour aller où ?

car en supposant qu'un club sportivement brillant et exceptionnel de N2 monte en N1, ce sera pour y faire quoi ?

Sachant que pour accéder au pro D2 ensuite, il y a un cahier des charges tel que la moitié des clubs de N1 n'est pas éligible pour une montée acquise sur le pré !

Ce qui est clair, c'est que le système qui s'installe organise un pillage organisé des plus huppés, il y a un dévoiement certain de “ l' esprit amateur”. Ce ne vois que l'instauration d'un “ financial cap” ( ou salary cap ) pour réguler et calmer les ardeurs dérivantes auxquelles on assiste !

Oui ce serait une solution mais qui fonctionne  malheureusement lorsque l'on parle de ligue fermée. En effet, on ne peut pas imaginer 1 seul salary cap pour toutes les divisions. Il sera différent pour chaque niveau ce qui créera des Marches de niveau budgétaire voire pour certains des paliers d'ascenseurs. Très peu de clubs pourront faire progresser un budget suite à une montée de 100 à 150 000 € pour couvrir les obligations et suivre le nuveau  salary cap (car un joueur va caler son exigence en fonction de ses qualités et du salary cap de la division). De plus ce salary cap va évoluer sous la pression des clubs voulant monter dans la division supérieure afin de pouvoir la préparer. 

Tous les refus de montée ont été motivés par le risque structurel d'un déficit pour les clubs concernés (Mazamet, Rieumes, 4 cantons …)

Même si cela semble un peu tiré par les cheveux (la fameuse capillotraction), j'imagine un système d'impôts proportionnels au budget alimentant une caisse de compensation destinée à aider les plus petits budgets à financer en premier lieu les déplacements (car jusqu'à une certaine distance et car plus hotel au delà) et à financer pour le reliquat des projets d'infrastructures permettant au plus petits budgets de “suivre” de loin l'évolution du niveau.

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