ovalie4764 a écrit :

franchement, si,on analyse tout de même les forces en présence - et sans faire preuve de suffisance - et par rapport à l'histoire du rugby amateur, 

les invités de gros calibre en F1 cette année ne sont oas légion et le FCO avec un peu de moëlle peuvent se qualifier pour la montée en N2.

Vous voyez qui d'autre ? 

Beauvais en poule 1, Chateaurenard en 2 ( un pack traditionellement costaud ), Valence d'Agen en 3 et la poule 4 la plus prolifique avec le SAM

et Bagnères ...je ne vois pas d'autres cadors qui l'ont été ces dernières années ..mais tout peut arriver évidemment...

par contre, monter pour y faire quoi ,

Anglet est un club relativement nouveau monté en f1, il a su se maintenir en prenant la place du Boucau historique ( les forgerons ) avec la richesse

rugbystique du Pays basque et la récupération de bons joueurs en fin de carrière. 

Fleurance ( 6000 h ) a fait le yoyo, monté avec les sous de M. Mességué ( la maison de Fleurance ) puis redescendu ..et revenu. A bénéficié de la faillite

d'Auch et pris la place de Condom qui s'imposait à l('époque ... mais aura du mal à suivre sauf à trouver un financeur ( à Pamiers, c'est la fin de l'aventure ).

bref, la moitié des pensionnaires de N2 aura du mal à suivre "les riches" de la division ....

Ca c'est parler des noms. Mais attention en poule 4 : USS effectue un gros recrutement, Bergerac également. Et je ne parle pas du Stade Nantais.

ovalie4764 a écrit :

Effectivement, il y a des recrutements un peu partout .

Le problème des réformes de structuration des compétitions, c'est qu'on a vu les clubs élus en N2 recruter pour pouvoir bien 

 y tenir leur place ( ex le RCBA qui nous "prend" Box - Anglet avec Jully ) et ceux qui venant de la F2 veulent aussi ne pas couler

en F1 ( Zono à Sarcelles, Salles etc ). Et ceux qui comme Beauvais et bien entendu Marcq ont des ambitions à moyen terme pour se situer

dans les hauteurs du monde semi -pro ...

Tout cela entretient un climat pas très sain ( même si la compétition est inhérente à la vie sportive ) mais là, il ya des effets pervers qui se calmeront

il faut le souhaiter avec une stabilistaion des réformes.

Tout à fait d'accord. Cette réforme des compétitions avec d'abord une N1 qui se justifiait tant le fossé F1 ProD2 se creusait (j'ai vu Vannes remplacer les 2/3 de son effectif au cours de sa 1ere saison en ProD2 même pas digérée qu'une N2 voyait le jour, génère des effets qui secouent tout le monde amateur. En R1, même en R2, c'est la course au joueur confirmé, avec des 400, 600 € par mois. R1 et R2 c'est le rugby plaisir, avec une certaine exigence sportive; l'entrée pour les jeunes non repérés avant pour envisager F3, F2 ... Combien de petits clubs vont y laisser leur peau. La valse des ententes va se poursuivre. Gare aux "déserts" de rugby qui ne formeront plus les joueurs de demain

supolo a écrit :

LAVAUR si je suis bien informe doit venir a OLORON bientot pour un match amical pourquoi ne pas organiser un debat autour de ce theme l avenir des clubs de rugby dans les petites villes ou respect des enjeux sportifs amateurs en invitant le responsable de la FFR !

Pas unr mauvaise idée

Sans tirer à boulet rouge, pour moi la situation sera plus compliquée dans les années futures. 
Des difficultés financières déjà présentes et qui pour moi perdureront, ce qui ne permet pas de recruter assez joueurs de bonnes qualités pour "s'équiper" comme on dit. Et quand bien meme on arrive à en attirer certains, ils partent très vite vers de nouveaux horizons plus luxueux, exemple du seconde ligne sud africain, qui avait prolongé, et qui selon des échos (peut être mauvais) part vers j'imagine un endroit plus doré. 
Mais ne pas pouvoir recruter ailleurs, ce n'est pas grave tant que l'on peut s'appuyer sur sa formation et le vivier des clubs des alentours.
Et c'est là que les difficultés continuent. Coté formation, malgré tous les efforts des entraîneurs des différentes catégories et des bénévoles (qui eux font du tres bon travail avec les moyens qu'ils ont) il y a de moins en moins de joueurs, les équipes jeunes jouent à des niveaux inférieurs que lorsque qu'il y avait reichel A, crabos et cadet alamercery. Cela entraîne que moins de joueurs sont prêt au niveau exigent de la fédérale 1. Et quand certains sortent du lot, ils sont logiquement recrutés par des clubs de niveau supérieur.
Pour le vivier des clubs alentours, le Fco attirent de moins en moins ou très peu, ces joueurs préfèrent partir en soule, sur des clubs de la région paloise, où tout simplement rester dans leur club d'origine.

J'ai confiance en Labaig pour faire du bon travail, mais pour moi ça va être long et l'équilibre et fragile. 

Il y a un element important me semble t il c est le secteur de la melee que l on ne pousse plus en F2 F3 en junior ! et on s etonne que l on ne trouve plus de piliers  !  paradoxalement  on laisse se derouler des phases de jeux pres des lignes pendant trop de temps ! ces phases de jeux generenr trop de blessures graves! Pour ce qui est du FCO de puis la creation du Centre d Ensntrainement Labelise le FCO attire des jeunes des clubs de la region  grace a l collaboration avec les Lycees ! L avenir du club est assure  reste a la FFr a reguler les exces de l argent et aux clubs a imposer des "contrats " qui lient le jeune et le FCO par d autres liens que l attrait de l argent !

ovalie4764 a écrit :

Si on regarde le poids démographique ( il faudrait parler agglomération mais c'est suffisant pour notre modeste débat ) qui n'est certes pas un facteur

décisif mais qui compte, Oloron ( 13 000 h ) connait un déclin inexorable. Il se situe certes au double de Langon ( 7 300 ), Bagnères ( 7 500 ), Salles ( 6 700 )

Mauléon ( 8 500 ), Barbezieux Jonzac ( 8 000 h ) et bien sûr St Jean Pied de Port ( 1 600 + ) .

Mais après, çà peut être du lourd ( Nantes, St Médard  - 30 000 - qui a pris la place de Mérignac mais a vu l'émergence de Lormont et maintenant Floirac )

J'ai été surpris de constater le "poids " de Bergerac ( 27 000 )) et même de Gujan M. ( 20 000 - je n'en suis pas revenu ! ).

Je pense que notre statut adminsitartif de sous - préfecture ne doit pls nous cacher notre format ....

Bonjour les gens, je suis un peu votre conversation intéressante.

Nantes capitale de métrôpole dénote.

Pour ce que je connais à peu près, les villes de la métropôle bordelaise (Saint Médard, Floirac, etc) ont de très nombreux clubs sportif et les subventions sont divisées en rapport (probable idem pour Bergerac) ce qui dilue le côté financement public.
Gujan a un énorme handicap avec le RCBA qui pompe dans la même communauté de communes.
Salles où le rugby est au centre du village, partage aussi avec d'autres, (exemple le foot qui vient aussi de monter) est surtout dans une zone en expension démographique forte et économiquement dynamique.
L'avantage, je présume, d'un endroit propice tient surtout par la possibilité de trouver des financements partenaires ou de mécènes.

La Souille a écrit :

ovalie4764 a écrit :

Si on regarde le poids démographique ( il faudrait parler agglomération mais c'est suffisant pour notre modeste débat ) qui n'est certes pas un facteur

décisif mais qui compte, Oloron ( 13 000 h ) connait un déclin inexorable. Il se situe certes au double de Langon ( 7 300 ), Bagnères ( 7 500 ), Salles ( 6 700 )

Mauléon ( 8 500 ), Barbezieux Jonzac ( 8 000 h ) et bien sûr St Jean Pied de Port ( 1 600 + ) .

Mais après, çà peut être du lourd ( Nantes, St Médard  - 30 000 - qui a pris la place de Mérignac mais a vu l'émergence de Lormont et maintenant Floirac )

J'ai été surpris de constater le "poids " de Bergerac ( 27 000 )) et même de Gujan M. ( 20 000 - je n'en suis pas revenu ! ).

Je pense que notre statut adminsitartif de sous - préfecture ne doit pls nous cacher notre format ....

Bonjour les gens, je suis un peu votre conversation intéressante.

Nantes capitale de métrôpole dénote.

Pour ce que je connais à peu près, les villes de la métropôle bordelaise (Saint Médard, Floirac, etc) ont de très nombreux clubs sportif et les subventions sont divisées en rapport (probable idem pour Bergerac) ce qui dilue le côté financement public.
Gujan a un énorme handicap avec le RCBA qui pompe dans la même communauté de communes.
Salles où le rugby est au centre du village, partage aussi avec d'autres, (exemple le foot qui vient aussi de monter) est surtout dans une zone en expension démographique forte et économiquement dynamique.
L'avantage, je présume, d'un endroit propice tient surtout par la possibilité de trouver des financements partenaires ou de mécènes.

C'est assez vrai. Le mécène est un "trésor" maudit. Tant qu'il est là, passionné de rugby et que les affaires vont bien, c'est SUPER BANCO (vous voyez je ne parle pas de super million, je reste dans le raisonnable). Qu'il se lasse un peu, qu'il ait des affaires mauvaise ou qu'il en ai marre de financer quelques joueurs renommés mais en vacances de fin de carrière et là, c'est la cata. J'en ai vu des clubs "étiole filante' qui progressaient à coup de 4 ou 5 divisions en mois de 6 -7 ans. Et puis, le modèle économique s'effondre car "Monsieur" a repris ses billes ou le fiston n'a pas la meme passion que papa. Et là, la FFR avec son enchaînement N1 N2 vient de rmettre à la mode le raccolage des quartiers chauds. Il y aura des clubs qui vont exploser en plein vol, et il y aura d'autres clubs sans mécène qui auront entre temps réduit les objectifs, la voilure et l'attrait pour le club. C'est à ce problème que doit s'attaquer résolument la FFR. Permettre au sportif de s'exprimer pleinement et ne pas revoir tous ces clubs rennoncer à la N2 et qualifier le 40ème de la saison régulière. Je le répète les solutions existent et, c'est bizarre, mais viennent du temple du libéralisme. Salary cap, draft. Il faut bien sûr les adapter à notre contexte, et gérer au moins en N2 le problème des transports et des surcoûts liés à ces échelons nationaux