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olivier a écrit :Je suis d'accord avec ce que tu as écrit Claude, le problème, que ta réflexion n'est pas généralisée.
La réflexion de Claude est généralisée dans le monde enseignant car beaucoup pensent comme lui; le problème est justement qu'elle n'est que peu ou pas relayée auprès du grand public. Le peu de fois où sont abordés publiquement (et donc relayés par le médias) les problèmes d'aprentissages, ceux-ci sont toujours le théâtre d'affrontement entre 2 méthodes (pour la lecture). Conflit d'autant plus stérile qu'il est difficile pour un parent d'élève de situer la méthode "mixte" et les méthodes dites "actives" où l'enfant est vraiment au centre des apprentissages et bénificie d'une certaine autonomie. De toute manière, les effectifs d'une classe sont très hétérogènes et les vécus d'un prof des écoles (expérience, formation, pédagogie, connaissances théoriques et pratiques) débouchent aussi sur une grande hétérogénéité. Bref, un instit doit savoir se servir de sa boîte à outils pour "bricoler" une pédagogie efficiente (sûrement pragmatique) au service des gamins.
AKERRETA KO BIDEA a écrit :olivier a écrit :Je suis d'accord avec ce que tu as écrit Claude, le problème, que ta réflexion n'est pas généralisée.
La réflexion de Claude est généralisée dans le monde enseignant car beaucoup pensent comme lui; le problème est justement qu'elle n'est que peu ou pas relayée auprès du grand public. Le peu de fois où sont abordés publiquement (et donc relayés par le médias) les problèmes d'aprentissages, ceux-ci sont toujours le théâtre d'affrontement entre 2 méthodes (pour la lecture). Conflit d'autant plus stérile qu'il est difficile pour un parent d'élève de situer la méthode "mixte" et les méthodes dites "actives" où l'enfant est vraiment au centre des apprentissages et bénificie d'une certaine autonomie. De toute manière, les effectifs d'une classe sont très hétérogènes et les vécus d'un prof des écoles (expérience, formation, pédagogie, connaissances théoriques et pratiques) débouchent aussi sur une grande hétérogénéité. Bref, un instit doit savoir se servir de sa boîte à outils pour "bricoler" une pédagogie efficiente (sûrement pragmatique) au service des gamins.
C'est exactement ça : du bricolage. Belle pierre l'ami basque.
Phil a écrit :olivier a écrit :Refuser sa propre responsabilité dans ce qui se passe aujourd'hui, c'est ce que tu fais. Tu refuses les liens de causalité, dédouanant ce qui a été fait auparavant. De ce fait, tu renies exactement ce que l'histoire nous enseigne. Quant à la compétence de l'éducation nationale, il faudra m'expliquer comment on ne peut remettre en cause un système qui est basé sur le nivellement par le bas, l'exclusion des faibles et l'incapacité d'une génération (celle de la méthode globale) à s'exprimer correctement. En fait tu défends ce que tu combats dans le secteur de l'économie. Maintenant bien à toi de me démontrer que j'ai tort autrement que par des affirmations basées sur des attaques personnelles et non argumentées.
On va dire ça camarade, je ne vais pas essayer de te démontrer que tu as tord, je ne me "bat" pas contre les murs
Moi le système me convient, la réussite de mes enfants et petits enfants me conforte en ce domaine et pour ceux à qui cela ne convient pas il reste le privé .....
Moi,j'pense que t'es vraiment tres mure,voir meme un peu blette 
Claude a écrit :AKERRETA KO BIDEA a écrit :olivier a écrit :Je suis d'accord avec ce que tu as écrit Claude, le problème, que ta réflexion n'est pas généralisée.
La réflexion de Claude est généralisée dans le monde enseignant car beaucoup pensent comme lui; le problème est justement qu'elle n'est que peu ou pas relayée auprès du grand public. Le peu de fois où sont abordés publiquement (et donc relayés par le médias) les problèmes d'aprentissages, ceux-ci sont toujours le théâtre d'affrontement entre 2 méthodes (pour la lecture). Conflit d'autant plus stérile qu'il est difficile pour un parent d'élève de situer la méthode "mixte" et les méthodes dites "actives" où l'enfant est vraiment au centre des apprentissages et bénificie d'une certaine autonomie. De toute manière, les effectifs d'une classe sont très hétérogènes et les vécus d'un prof des écoles (expérience, formation, pédagogie, connaissances théoriques et pratiques) débouchent aussi sur une grande hétérogénéité. Bref, un instit doit savoir se servir de sa boîte à outils pour "bricoler" une pédagogie efficiente (sûrement pragmatique) au service des gamins.
C'est exactement ça : du bricolage. Belle pierre l'ami basque.
je n'ai aucun mérite; je suis les cours de l'ex IUfm pour enseigner un de ces quatre matins. D'autre part, ma tendre et chère est comme toi, prof des écoles et directrice maternelle.
Bon courage à toi ! C'est beaucoup plus difficile aujourd'hui que de mon temps...