Vos rimes monotones Bercent notre humeur D'une langueur sonotone. Et pis quand sonne l'heure A la fin de l'automne Après trop de liqueur, Tarie, à l'heure conne, Repartir au labeur Et l'on s'emporte Aux arbitres mauvais A la finale morte. Il faut que je m'en vais. O dodo! Salut les anciens, et que l'aube grise de Verlaine vous apporte la muse qui vous habite!

Dernière modification par Boss Mauvaise Foi (15/12/2010 13:16:43)

Oh put*in "Boss Mauvaise Foie" J'avais de toute bonne foi lu: " nous on né dans les rades Ou l'on boit pour oublier "

Bande de salopiots, de houblon imbibé Qui avez rimaillé au dormir de Gambi Et avez profité pour venir l'insulter Je vous jette en pature au ban de l'infamie. C'est pas joli du tout de salir son ancêtre, Cracher tout son venin sur un homme si grand Blasphémez et criez ouvrez grand vos fenêtres, Le maitre se balance des propos insultants.

Nous nous regardons droit dans les yeux, Je le vois que tu es heureux et amoureux. Nos visages se rapprochent doucement Et nous nous embrassons amoureusement. Je passe mes mains sous ton maillot, Tu en fais de même avec mon haut. Nos mains remontent sensuellement Et nous enlevons les hauts lentement. Nous en avons envie tous les deux, Nous n'en pouvons, nous sommes si heureux. Les pantalons sont enlevés à leur tour, Notre sang ne fait qu'un tour. Les sous vêtements sont retirés rapidement, Notre sang est en ébullition maintenant. Les échauffements terminés, Nous allons être plus près que jamais. Tu commences tes va-et-vient Et moi, j'embrasse ta main. Nos corps sont en sueurs, C'est ça le véritable bonheur. Faire l'amour avec celui ou celle que l'on aime, C'est la plus belle des merveilles en poème. Je t'aime plus que tout chéri, Merci pour cette magnifique nuit. j'ai un faible pour celui ci

la sup a écrit :

Boss Mauvaise foi a écrit :

Vos rimes monotones Bercent notre humeur D'une langueur sonotone. Et pis quand sonne l'heure A la fin de l'automne Après trop de liqueur, Tarie, à l'heure conne, Repartir au labeur Et l'on s'emporte Aux arbitres mauvais A la finale morte. Il faut que je m'en vais. O dodo! Salut les anciens, et que l'aube grise de Verlaine vous apporte la muse qui vous habite!

Au secours.... Si BMF s'y met, c'est parti en...quenouille. Adieu jolies finesses et bonjour les gonzesses, Il mettra des nichons même sur les grenouilles. Fini la poésie, fi de la politesse ! Le romantisme est mort, c'est le temps du hard core. Gambi sera heureux, il est friand de çà ! Le ver est dans le fruit, que puis je faire encore ? Lutter est impossible, aller à Canossa ? La vertu perd toujours quand le vice s'en mêle. BMF voit des nichons même sur les rosières. C'est le Diable vous dis je, il roulerait des pelles A Satan lui même s'il était en guépière !

AVIS AUX KONOS RIMAILLEURS Voici l'hiver venu dans son manteau de blanc Blanchissant le grand pré qui est devant chez moi Il fait froid, il fait froid sont les mots de l'instant Moi, au pied de mon âtre je suis un petit roi. Gelez vous sales mecs des pays de froidure Ravachol et la Sup, Tinou et compagnie Que votre peau se couvre de viles angelures Et que le cul vous pèle dans vos slips tout pourris. Germaine, sur mon ordre a garni le foyer Pour çà elle a rentré cinq cent kilos de chêne Le flamme me réchauffe comme un soleil d'été Et je pense aux konos qui n'ont pas cette veine. Constantin de Gambistorty de LaSeyne. En remplacement de son cousin Ignace de Gambistorty de LaSeyne pris par ses occupations ministérielles

Des ours ont été vu dans les gorges d'Ollioules Venant de Sibérie a t'on dit ce matin Ils pillent les jardins, bouffent toutes les poules Qu'ils rencontrent en passant sur nos jolis chemins. J'ai rencontré l'un deux en allant vers Bandol Aimable au demeurant et venant d'Hasparen Me disant qu'il cherchait un nommé Ravachol Qui lui avait promis de lui donner un chien. Ravachol on le sait, est le roi des menteur Car de chien, que nenni il n'en possédait pas Alors, notre ursidé, s'effrondra tout en pleurs Jurant que le gardois l'avait eu cette fois