[b][size=15]Saint-Louis moins engourdi [/size][/b Saint-Louis – Saint Dié 18-0. Mi-temps : 5-0. Stade du Pêcheur. Arbitrage de M.Lacour (CTAL). Temps : glacial. Essais de Ruysschaert (30e) et Sibiril (75e) ; Transformation (76e) et pénalités (51e et 60e) de Febvet pour Saint Louis. « Je redoutais ce match. On n’a pas été assez agressif ; on a pêché soit par légèreté, soit par précipitation dans nos changements. Mais on a gagné et on est content », analyse le président Bernard Caussade. Dès l’entame, des fautes de mains ou des mauvais choix et St-Louis est endormi par les Déodatiens. Les frontaliers subissent. Ils trouvent finalement la parade sur une mêlée gagnée sur Saint-Dié dans les 22 m, où le pack ludovicien envoie Ruysschaert aplatir en terre promise (5-0, 30e). En 2e période, le groupe de David Blans tente de produire du jeu en variant les combinaisons. Mais le jeu est haché et les mauvais choix sont multiples. Il faudra attendre les pénalités de Febvet (8-0 puis 11-0) pour que St-Louis prenne le large puis enterre définitivement une bien faiblarde équipe de Saint-Dié avec une grosse domination dans les 20 dernières minutes. Une période qui verra le trois-quart aile Sibiril déborder la défense vosgienne et, sur cette attaque placée, trouver l’en-but (16-0, 75e) « Mes regrets ? Il y avait moyen de faire mieux… et c’est dommage pour le bonus offensif », termine le président Caussade. Febvet transformant et clôturant la marque (18-0, 76e), ce sont finalement les Ludoviciens qui se sont trouvés les moins engourdis dans ce match tant redouté.

partisan du moindre effor a écrit :

rmassage de la part de paparazzi :P:P jespere qui y aura de monde pour travailler mercredi surtout pour la 2 .....

j'ai fait le massage, mais il avait trop mal, c'est plus ce que c'etait les rugbyman !!!:lol: et toi ta tete sa va ???

paparazzi06 a écrit :

partisan du moindre effor a écrit :

rmassage de la part de paparazzi :P:P jespere qui y aura de monde pour travailler mercredi surtout pour la 2 .....

j'ai fait le massage, mais il avait trop mal, c'est plus ce que c'etait les rugbyman !!!:lol: et toi ta tete sa va ???

et puis avec l'age sa arrange pas les chose :cool: ma tete va tres bien ^^ en pleine forme

Des Bleus sur des chardons ardents Trois Alsaciens d’adoption seront devant leur télé samedi pour suivre avec intérêt le premier match du Tournoi des six nations entre la France et l’Écosse. Anne Ritter, Finlay Gibson et Graeme Hood, trois Écossais dans le cœur. Anne Ritter, Finlay Gibson et Graeme Hood ont déjà dû se croiser sans se connaître. Mais ils ont deux points communs : d’abord le rugby, respectivement féminine à Sélestat, junior à Thann et senior à Saint-Louis, mais aussi l’Écosse. C’est sans dire que les trois sportifs seront devant leur écran samedi pour l’ouverture du Tournoi des VI Nations entre la France et l’Écosse. « Certes, le foot est plus universel, la tradition au sud est le rugby tandis qu’au nord c’est le football gaélique. On est à l’ombre du foot et aujourd’hui il n’y a pas d’argent pour le rugby. Mais on arrive à exporter nos joueurs en Europe », explique le Ludovicien Hood. « C’est d’abord un sport d’école. La France possède une plus grande densité donc un plus grand vivier », renchérit-il. « Là-bas, il n’y a que Glasgow et Edimbourg. Ici ce sont 30 équipes professionnelles ! Et les centres de formation français sont performants, ils ont les structures pour le haut niveau », analyse Gibson, le jeune joueur thannois. Mais si les Écossais n’ont pas autant d’infrastructures, ils sont néanmoins redoutables, à l’image de leur grand chelem en 1999. « L’Écosse n’est pas une équipe qui perd beaucoup », assène Hood. « Quand ils déjouent, ils prennent ça avec philosophie là-bas. Le rugby est ancré dans leurs tripes et leur cœur. En kilt et avec chants et ferveur lors des matchs du tournoi, c’est toute la fierté écossaise qui s’exprime », ajoute Ritter, la Sélestadienne. « C’est l’équipe des victoires inespérées. Tous les 2-3 ans, on étonne tout le monde », conclut Hood. Cela sera-t-il le cas lors de la prochaine Coupe du monde en Nouvelle Zélande cette année ? « Il faut battre les Géorgiens et les Roumains, a priori les plus faibles de la poule, et après taper un « gros » - argentin ou anglais - pour s’assurer le quart de finale », analyse Finlay Gibson. « Robinson n’a pas encore entraîné le XV du Chardon en Coupe du monde. Mais l’Écosse a fait de belles choses cet automne face aux Springboks et aux Argentins. Gagner contre les Anglais serait pour nous le plus important. Alors si ça nous fait passer… », termine le frontalier. « Moi, je redoute les Anglais en Coupe du monde car, avec l’enjeu, ils ne lâchent rien », complète Anne Ritter. Les meilleurs ennemis des Français sont donc aussi ceux des Écossais. « Pour samedi, ça sera certainement serré dès le début. Je suis certain que ça va se jouer en première mi-temps ». Un pronostic ? « Pour le tournoi, l’Angleterre peut-être, la France et l’Irlande en outsiders. Mais samedi, je serai 100 % écossais ! », conclut le Thannois. « Pour moi, c’est ouvert alors pourquoi pas l’Écosse. Écossais je suis né, écossais je resterai », martèle le Ludovicien. Anne Ritter sera elle pour la France même si sont cœur en pince pour le Chardon écossais.

coach ET joueur a écrit :

SAINT-LOUIS / RUGBY CLUB Une revanche à prendre Après le match contre Saint-Dié, voilà Longwy qui débarque à Saint-Louis samedi. (Photo DNA - GuG) Si le Rugby Club de Saint-Louis veut finir dans les quatre premiers de ce championnat honneur, très serré et indécis, cela passe obligatoirement par une victoire contre Longwy. Les Lorrains sont à ce jour l'équipe qui a infligé aux Frontaliers leur plus lourde défaite. Un écart de huit points qui les a privés du point de bonus défensif. En effet, les Ludoviciens avaient fait un début de match catastrophique face à cette équipe et, malgré une fin de rencontre à leur avantage, ils n'avaient pas réussi à revenir totalement au score. Pour ce match retour, il faut espérer que les Haut-Rhinois aient retenu la leçon et rentrent dans cette partie de la meilleure façon possible. Mais, pour y arriver, il va falloir contenir le pack lorrain très puissant et qui avait fait très mal lors du match aller. Les Ludoviciens restent sur une prestation correcte contre Saint-Dié, mais il va falloir passer la vitesse supérieure pour battre Longwy, actuel 4e du championnat. Saint-Louis devrait pouvoir compter sur tout son effectif mis à part les blessés de longue date (Le Poupon-Dartiguelongue-Welker-Schaub). A quatre matchs de la fin la situation est simple si les Alsaciens veulent être dans le haut du tableau cela passe par trois victoires. Le challenge est difficile mais pas insurmontable mais pour cela tous doivent jouer le jeu à fond. Saint-Louis 2 - Longwy 2 à 13 h 30, puis Saint-Louis - Longwy à samedi à 15 h au stade de l'Au.

on joue samedi ?

Dernière modification par Saint Looser (11/02/2011 13:47:01)

Mac Lovin a écrit :

Bon Match

Merci Mac Ouille Match nul en B très très frustrant 17-17 Match gagné en A avec beaucoup de sérieux 46-00. Allez les gars En route pour la quatrième place ....

j'ai trouvé celui la: La preuve par huit Stade du Pêcheur. Arbitre : M. Winckler (CTAL). SAINT-LOUIS : 8 essais de Armbruster (8 e), Ruysschaert (12 e), Groell (20 e), Caussade (38 e), Blans (42 e), Collignon (50 e), Dubat (65 e) et Barreteau (75 e) ; 3 transformations de Febvet (13 e, 76 e) et Blans (43 e). Conquérant en mêlées, les frontaliers font le jeu et les essais : l’ailier Armsbruster a la vie belle à l’aile pour ouvrir le score en terre promise (5-0). De son côté, Ruysschaert part de sa mêlée pour enfoncer la défense longovicienne (12 e). Groell enfonce le clou par une attaque à l’aile qui, recentrée, termine sa course derrière l’en-but (17-0). Caussade, en force, inscrit l’essai du bonus offensif avant la mi-temps (22-0). Avec une profondeur de banc réduite, Longwy subit le même sort après la pause. Un nouvel essai est inscrit par l’entraîneur-joueur David Blans, qui transforme lui-même (29-0). Les Alsaciens déroulent par Collignon (34-0) puis Dubat. Un score clôturé par la transformation de Febvet, suite à un exploit personnel où Barreteau.