riton58 a écrit :

thierry a écrit :

si la mayonnaise prend ça va être super .............

Un second club en fédéral dans la Nièvre ce serait bien pour épauler le club "phare" et sa structure de formation jeune...Mais quel mécène pour Pougues ? FAUT BRAQUER LE CASINO....:p

Dès que quelqu'un a des nouvelles des blessés, n'hésitez pas à en donner ! Mais quelles tuiles, Lakepa blessé en début de saison tout comme l'année dernière à Grenoble, puis not' Wasserman aussi... J'espère qu'il n'y a rien de grave pour eux. Y'a d'autres gars à l'infirmerie?

Régis Dumange, au milieu de ses joueurs, dans le vestiaire usoniste : « J’ai besoin de partager, de vivre avec les autres ». Régis Dumange assume son ambition. Dotée du plus gros budget de la Fédérale 1, l’Union Sportive Olympique Nivernaise doit viser la première place de la poule et l’accession en Pro D2. « La première place et la finale » Si la passion est le moteur de ce patron paternaliste et président "papa poule", Régis Dumange aime beaucoup les chiffres. Et quand on lui demande de dire quels sont ses objectifs pour cette saison, il répond par une suite arithmétique ! « 6-3-1 ». « 6-3-1, c'est une suite arithmétique qui me plaît bien. On s'est donné trois ans pour atteindre le haut niveau. La première saison, on finit sixième, la deuxième troisième, il faut terminer premier cette saison et jouer la finale. On est dans une logique normale, compte tenu de l'investissement humain et financier, et des conditions de travail mises en place. » Un budget de 4,4 millions d'euros 4,4 millions d'euros. « Le budget est en augmentation (près de 4 millions la saison passée). Avec 4,4 millions d'euros, on a le plus gros budget de la Fédérale 1. C'est sûr. Mais chez nous, tout est compris. Il n'y a pas de joueur au chômage. Dans d'autres clubs, il faut regarder tous les à-côtés, les avantages offerts aux joueurs pluriactifs. Et là, il y aurait des surprises. Les subventions publiques ne dépassent pas les 10 % du budget. Dans certains clubs, elles représentent 50 % du budget. » La crise. « Il y a la crise, mais je développe mon entreprise (*). Il faut avoir la foi, l'envie, croire en son destin. Je réussis parce que j'y crois et que j'accepte aussi l'échec. Mais quand tu payes, tu ne reproduis pas les erreurs… Chacun doit être comptable de ses actes. » Travail. « On dit : "Il réussit parce qu'il a de l'argent." Mais il y a le travail. Tout est dans le souci de mettre les joueurs dans un confort pour qu'ils n'aient qu'à penser au jeu et au résultat. » L'accession en Pro D2. « C'est l'ambition, mais ça peut prendre plus de temps, à condition de ne pas avoir de reproches à se faire. Nos adversaires (pour l'accession), Bourg-en-Bresse, Lille, Montauban, Castanet, Bourgoin ont la même logique. Ils ont des structures adaptées. Mais on travaille dans l'esprit de la Pro D2 pour monter et y rester. » La formation. « Il y a trois ans, personne ne pensait qu'on y arriverait. Notre faiblesse, aujourd'hui, c'est la formation. Nos jeunes sont au même niveau que l'an passé. L'association (qui a la responsabilité des jeunes) est en retard. On a ouvert le CFA du sport pour former des éducateurs, car ça part du haut. Les bons éducateurs formeront d'excellents joueurs. À 11 ans, un gamin n'est pas plus mauvais à Nevers qu'à Toulouse. » « L'USON fait la promotion de Nevers » Le rugby nivernais. « Massy (promu en Pro D2) a recruté quinze espoirs, et pourtant son centre de formation est performant. D'où mon implication pour développer le rugby nivernais. Il faut que Pougues-La Charité (où arrivent plusieurs Neversois) monte en Fédérale 3 et prétende à la Fédérale 2, que Cosne et Saint-Léger deviennent des clubs fédéraux et je n'oublie pas Sancerre. Ma porte est ouverte. » La ville de Nevers. « La municipalité a des moyens modestes, mais est attachée à nous soutenir. Nevers a une culture sociale et pour la gestion humaine, nous collons complètement à son attente. L'USON fait la promotion de Nevers, nous apportons un dynamisme. Avec la ville, l'ADN (Agglomération de Nevers) et le Conseil général, on pourrait se rencontrer pour asseoir la réussite du club. Depuis trois décennies, on regarde les voisins qui progressent : le foot à Auxerre, le basket à Bourges… » Les infrastructures. « Le terrain synthétique, c'est une grosse avancée. La salle de musculation, aussi. On va ouvrir un centre de vie, réservé aux joueurs pros. Il y aura une boutique installée à l'entrée du stade où l'on trouvera tous les produits que portent les joueurs. Il nous manque l'éclairage… » L'USON dans le Sud- Ouest… « On fera tous les longs déplacements en avion au départ de Nevers. Tu ne peux pas chercher des résultats et faire vingt-deux heures de bus en deux jours. » La poule 4. « Je veux du jeu, un jeu complet. On a marqué seize essais dans nos quatre matches de préparation ! Nos six recrues tirent le groupe vers le haut. Dans cette poule, je pense qu'avec Montauban et Castanet, il ne faut pas se rater. Je suis certain que pour voir Montauban, Lourdes, Lannemezan, on peut faire plus de 4.000 spectateurs au Pré-Fleuri. » (*) Textilot. La société Textilot emploie 565 salariés. Malgré un chiffre d'affaire en baisse, Régis Dumange va investir près de 40 millions d'euros pour développer son entreprise et créer ainsi une soixantaine d'emplois.

Bonjour DAURIN, il faut être beaucoup plus précis sur le cas d'Auch et le dépot de bilan évité. Après vous avez raison, il n'y a jamais eu d'argent dans le rugby professionnel... Amitiés sportives

DAURIN a écrit :

Votre président met certainement beaucoup d'argent, donsc le club est un peu sa danseuse, mais le pognon ne fait pas tout, dés fois il faut mieux avancer caché, certes vous faite parti des favoris, pas grâce au rugby mais certainement au fric investit par ce monsieur qui c'était barré d'Auch... je vois que ce prétentieux a un peu oublier de citer les deux clubs relégués de Pro-D2, les statistiques prouvent que l'un des relégués remontent aussitôt. Ne pas citer Bourgoin et Périgueux prouve que ce Monsieur s'y croit, je suis convaincu qu'il ne fait pas parti de la famille du rugby, demandez à nos amis Auscitains se qu'ils pensent de ce mec ! Nous du coté des berges de l'ISLE après une saison en Pro-D2, sachez que l'équipe de mercenaires et la boite à fric de ce monsieur. ON CRAINT PAS... rendez vous en phase finale. Bonne chance aux supporters de l'USON et amitiés sportive. par contre je n'aime pas le personnage de votre président.

Bonjour à tous, Je crois sincèrement que personne n'a à s'occuper de Nevers si ce n'est ceux qui s'investissent dedans, de façon budgétaire ou humaine. Bien entendu cela crée une certaine tension, et c'est la facilité à laquelle le budget de l'uson grandit que cela pose problème, mais cela regarde une seule personne, l'investisseur. Personnellement j'ai une seule question aux dirigeants, bénévoles du club de Nevers : Avez vous des garanties pour l'avenir ? parce que même s'il y a montée, même s'il y a des années certainement belles qui arrivent, à un moment cela ne peut pas toujours être rose. Bonne saison à vous.

Dernière modification par saintpourçainsursioule (13/09/2012 12:51:36)