Ce jour, j'ai obtenu une double confirmation: 1-Sur une feuille de match, j'ai constaté qu'Anthony MAURY est Licence Blanche 2-Avant d'arriver à Nevers, il n'a connu que Clermont. Sauf à être plus amplement informé, ce joueur n'a pas réglementairement obtenu sa licence blanche. La question se pose de savoir si il existe un artifice qui aurait permis à l'USON et donc par la suite à d'autres clubs, de passer entre les dispositions. Si rien n'existe, alors, du club, du Comité de Bourgogne ou encore de la FFR qui a fait la faute, l'erreur ou pire? Les déclarations du Président du Comité de Bourgogne à Chalon laisse plutôt à penser au pire. Au delà, si faute ou erreur il y a, quelles seraient conséquences pour l'USON? Ce joueur aurait fait 10 feuilles de matchs, donc une quarantaine de points perdus. De plus, malgré tout l'apport des dirigeants de Nevers à construire un club fort, j'image mal la FFR s'asseoir sur sa politique de Licence Blanche et passer l'éponge.Quelles autres sanctions s'appliqueraient à l'USON? Vivement que la lumière soit faite.

VU DES SOMMETS 32-65 a écrit :

Ce jour, j'ai obtenu une double confirmation: 1-Sur une feuille de match, j'ai constaté qu'Anthony MAURY est Licence Blanche 2-Avant d'arriver à Nevers, il n'a connu que Clermont. Sauf à être plus amplement informé, ce joueur n'a pas réglementairement obtenu sa licence blanche. La question se pose de savoir si il existe un artifice qui aurait permis à l'USON et donc par la suite à d'autres clubs, de passer entre les dispositions. Si rien n'existe, alors, du club, du Comité de Bourgogne ou encore de la FFR qui a fait la faute, l'erreur ou pire? Les déclarations du Président du Comité de Bourgogne à Chalon laisse plutôt à penser au pire. Au delà, si faute ou erreur il y a, quelles seraient conséquences pour l'USON? Ce joueur aurait fait 10 feuilles de matchs, donc une quarantaine de points perdus. De plus, malgré tout l'apport des dirigeants de Nevers à construire un club fort, j'image mal la FFR s'asseoir sur sa politique de Licence Blanche et passer l'éponge.Quelles autres sanctions s'appliqueraient à l'USON? Vivement que la lumière soit faite.

qui se cache sous se pseudo avec 4 messages ? ....

quand on annonce "j'ai reçu confirmation" sans annoncé les sources il faut se méfier et éviter de lancer des "rumeurs" sans donner les sources officielles

lionel58 a écrit :

quand on annonce "j'ai reçu confirmation" sans annoncé les sources il faut se méfier et éviter de lancer des "rumeurs" sans donner les sources officielles

snowden ne donnera jamais ses sources.., moi non plus d'ailleurs

Ce soir y'a les nouveaux épisodes d'homeland sur canal. Y verra-t-on FFR64 ? Le complot international de la licence blanche de Maury... houuuuu Je pense que Jeantou arrive en fin de parcours. Je trouve toutefois son analyse dans le JDC succincte mais tout à fait parlante : le club pro c'etait Auch dimanche... Voila ce qu'il a dit et il a raison. Maintenant c'est au manager de manager. Rappelons nous que M Anturville a été prolongé la veille de la demie l'an dernier et que M Dumange s'en voulait de l'avoir prolongé si tot le lendemain. Dimanche, c'était LE rdv de la saison régulière et nous sommes passé à coté par manque de professionnalisme... Dans les 90% de mis au courant de leur avenir l'an prochain y'a M Anturville ? Maintenant il faut continuer de lui faire confiance et croiser les doigts pour que nos joueurs se les sortent. Ce que je retiens encore une fois c'est que d'autres font un boulot superbe au club et tres efficace (coaché par M Anturville tout de meme). Je n'ai jamais vu de joueurs à bout de souffle lors d'un match ou meme cramé à la fin. La prépa physique est vraiment de qualité et ca va jouer enormement. Le problème à l'USON c'est la tete pas les muscles ni le coeur. Bon allez je vais regarder FFR 64 sur canal..

Pas de Fédérale 1 ni de Nationale B, alors des Belascain ! Belascain – 13e journée Nevers s’impose 64-6 La banane à Villeurbanne Villeurbanne, dimanche 6 mars (Ovalien Dupré). _ Stade Boiron-Granger. Nevers bat Villeurbanne, 64-6 (17-6). Évolution du score : 3-0 ; 3-3 ; 10-3 ; 10-6 ; 17-6 ; 24-6 ; 31-6 ; 38-6 ; 43-6 ; 50-6 ; 57-6 ; 64-6. Arbitre : Bruno Basile (Lyonnais). Temps alternant entre périodes ensoleillées et douces, et ciel couvert, grésil, vent froid, pelouse synthétique en bon état, une cinquantaine de spectateurs. Pour Villeurbanne : 2 pénalités Mathieu (14e’, 38e’). Pour Nevers : 9 essais Carrère (31e’, 57e’), Gremy (40e’), Camille Jarreau (42e’, 69e’), Dandoit (55e’), Alexandre Grelet (61e’), Daudé (71e’), Pamphile (74e’) ; 8 transformations (31e’, 40e’, 42e’, 55e’, 57e’, 69e’, 71e’, 74e’) et 1 pénalité (5e’) Pamphile. Nevers : 15. Brechenmacher – 14. Pamphile, 13. Noizat, 12. Carrère (cap.), 11. Gremy – 10. Cocqu, 9. Guillaume Manevy – 7. Vogny, 8. Camille Jarreau, 6. Kemide – 5. Fernandez, 4. Ressat – 3. Seminario, 2. Dandoit, 1. Jans. Sont entrés en cours de jeu : 16. Alexandre Grelet, 17. Joinaud, 18. Romuald Jarreau, 20. Paea, 21. Bergeret, 22. Daudé. Entraîneurs : Phillip Van Schalkwyk et Michel Quichon. Un sourire pour un succès bonifié. Les moins de 21 ans de l’Union Sportive Olympique Nivernaise ont renoué avec la compétition en fanfare. Un mois après leur défaite à Vienne (23-11), les Jaunets ont renversé les Villeurbannais sur leur terrain. Avant le choc qui les verra recevoir Bourg-en-Bresse, leader de la poule 3, dimanche, les Azur et Or se sont rassurés sur leur potentiel en faisant exploser les Rhodaniens. Embêtés une mi-temps Aussi large fut-il, le succès neversois mit du temps à se dessiner. Une bonne raison à cela, l’abnégation locale, contestant toutes les phases de rucks, dans l’axe qui plus est, donc dans la légalité. Ainsi accrochés, les Usonistes ne comptaient que quatre points d’avance (10-6) à deux minutes des citrons. L’unique essai, signé Mickaël Carrère n’avait pas suffi à creuser l’écart. La suite allait être d’un tout autre tonneau… Juste avant le changement de côté, les Nivernais lézardèrent le moral de Villeurbanne, Tom Cocqu envoyant, d’une jolie feinte de passe, Steven Gremy à dame. Annonce d’une deuxième mi-temps archi dominée par les élèves du duo Phillip Van Schalkwyk-Michel Quichon. Sérieux et vélocité Tout en puissance, Camille Jarreau indiqua la marche à suivre à ses coéquipiers, dès la reprise. Sérieux, véloces, entreprenants, alternant jeu au près et jeu au large, les Neversois renversèrent leurs vis-à-vis. A neuf reprises, au total, les Jaunets atterrirent dans l’en-but villeurbannais et comme Ghislain Pamphile ne faillit qu’une seule fois dans ses tentatives de transformation, l’addition enfla jusqu’à atteindre ce large mais logique 64-6.