en revanche,coté "rosette" il est gaté larry...

merci mille fois Xiberoa ! Sois fier d'être Basque de Mauléon!

Salut les farceurs! Juste une parenthèse dans vos délires : la Soule existe encore et n'est autre que la plus petite des 7 provinces que compte le Pays Basque (3 en Iparralde = Pays Basque Nord, côté français + 4 en Hegoalde = Pays Basque Sud de l'autre côté des Pyrénées...). Mauléon, malgré sa population de 3 200 âmes reste la "capitale" de cette province qui en compte un maximum de 14 000. En parlant de fusion, le Sport Athlétique Mauléonais n'a encore jamais songé à créer d'entente avec des clubs voisins et on y vient "jouer au rugby" avec bonheur : encore 100 gamins à l'école de rugby cette année. Certaines mauvaises langues diront que le fait de ne pas capter la TNT empêche nos enfants de passer leurs après-midis à zapper face à leur téléviseur et, qu'importent les gabarits, de toute manière on sait que le profil basque ne dépasse guère les 183 cm mais réussit parfois à affoler les balances: tu viens, tu joues et tu t'amuses! J'oserais presque parier que des présidents de clubs visiteurs vont encore bouffer leur casquette en voyant leurs packs aux mensurations largement supérieures venir goûter à la défaite dans le stade Marius Rodrigo! La fierté et la camaraderie + beaucoup de courage et un brin de technique aident parfois... En tout cas, rien à redire sur votre victoire méritée de samedi... n'hésitez pas à en faire de même lors de toutes vos réceptions puis, à l'occasion du match retour, à venir faire un week-end oxygénation en Soule : Palombes + Patxaran + concours de blagouzes chez Jean-Pierre serviront votre groupe s'il veut aller loin dans la compétition. A bons entendeurs, salut! Izan irus eta hardit ("soyez joyeux et en forme", ça ce n'est pas du béarnais!) NB: Bravo, la Brink's pour tes montages photos ... y a de l'idée!

on parle de "la cousine" à la pamp, d 'abricots et de rosettes ???!!! tt est dc réuni pr que je vs présente le frère ou la soeur (on arrive pas à définir exactement...) de "la cousine" qui a craqué pr l autre ailier au dernier match contre Mauléon ! feraient-ils un beau couple ? donnez votre avis !! affaire à suivre...

Revue de presse... Avant de parler véritablement de cette nouvelle saison et de son championnat, petit retour en arrière avec Benjamin « el matador » Garcia qui nous raconte son début de saison dans une interview atypique nourrie par sa verve légendaire … (interview réalisé par mes soins a l’étage du café Le Cœur des remparts) La Brink’s : Benji comment c’est passé pour vous le stage (Il se tourne vers l’escalier et dit) Taisez-vous tous en bas. Ces macaques sont malotrus. (Puis a moi en se dirigent vers la fenêtre pour la fermer car le vent siffle dans la rue du Quai) Après l'anis allumé, le vent est trépidant. Enfin Belle saison qui passe. LB : Bon Benji comment c’est déroulé ce stage et a-t-il eut les effets escompter sur les hommes ? BG : Aucun homme n'est jamais assez fort pour ce calcul mais une chose et sure les aventuriers de cette journée avouent que les canicules les ont emballé ... (Entendant la serveuse fouiller sous le bar il lui lance) il faut écarter les caisses pour arriver au trou du fut. LB : Ce fut si dur… (Il m’interrompt et il me proposa ensuite une escalope sur une belle salade car la faim le tenait) BG : il faut être pur pour bien diner, pris avec moi. (Ensuite riant du serveur qui courait tant de buts divers qu'il en perdait sa belle mine il lui lance) A vouloir aller plus vite que le son, vous risquez de vous briser la nuque (Puis au patron) Tu n'as que tes petits pois pour dîner? Soudain affaissant subitement son broc, le serveur mouilla les fiches de la dactylo et chuta dans la jatte (Mais le patron lui dit avec un regard noir) Est-ce en riant de Saclay que vous menacez de l'abime notre belle terre ? BG : Mais non, fais nous des escalopes ! Le patron : la fine ou l'épaisse ? BG : comme tu veux ! Le patron : avec de la salade ? BG : Si tu veux mettre cette fougère, que ta morgue écarte les lampions ! Le patron : Bon bé attend le cuisinier secoue les nouilles. Nous passons à table, le patron nous sert le plat mais accompagné de frite BG : Mais j'ai une grosse frite dans mon bok Et je lui rétorque : « quelle belle frite» Un homme d’un certain âge passe dans mon dos BG : Salut Patrick (une fois que l’homme c’est éloigné il me dit) Ce petit vieux vend de la serge, mais hélas pour lui Il est devenu fou entre deux messes ! Il va toujours s’assoir à la même place et cet homme boude quand on touche à son petit banc. Tout à coup le vieillard ce lève et lance : « hiver humide sortez vos bottes ». BG au papy : Pépé aime faire des mimes ? Le vieux toujours au garde a vous s’écria : « Les nippons contribuent au redressement de la chine et le cas de la Corée me turlupine» Lorsque la serveuse passe toute apprêtée il lui lance en la regardant de la tête au pied : « il n'y a pas que les vieilles poules qui s'offrent de l'hermès! » LB : Benji revenons en à nos moutons. BG : En ce tapant le ventre et laisser filer un pet en signe qu’il avait passé un bon repas il dit « Je laissai travailler ma bile et vous me détesté ? » LB : Benji sérieusement cette saison alors ? BG : Ecoutez mon cher je vais d’abord vous conter une histoire des plus rocambolesque. Cela c’est passé il y a quelque semaine… Le boutre du sultan flotte dans le confluant de la Garonne. La fille du capitaine m'a fait mander à bord. Sur le pont du linge sèche. Elle me dit : « Il faut faire attention à ce que le linge qui sèche, ne mouille pas les cordes. » Dans notre discussion j’appris qu’elle jouait au tennis en pension, que pour elle Pete Sampras avait un tennis prévisible et qu’elle aime la presse spécialiste du foot. Curieuse il me dit « Avez-vous entendu parler de ces mythes qui courent sur les biches ? ». Elle me demanda de la suivre dans sa chambre, elle veut encore blaire mais qui va l’apaiser. Tu me connais je l'apaisai en la berçant doucement et Après l’avoir débranché, elle se laissa couler dans son bain. Puis j’entends du bruit, un homme défonça la porte à coup de mines. Il entre et nous dit que les mutins ont passé la berge du ravin. Il nous ordonna de sortie tout en nous poussant, je lui rétorque « A quoi bon me pousser pour que je vous trompe ? ». Une fois hors de danger je glissa a ma belle : « Quand nous reverrons nous ? J’aimerai vous faire visiter Bologne », elle me répond qu’aux sites de Bologne, elle préfère les mines de Pompéi. Elle me quitta sur cette phrase : « Je me laisse le choix dans la date, à moins que vous n'ayez une date fétiche ». Pour finir je saluai mon ami et lui suggéra que l’on se revoit afin de vraiment parler rugby… Messieur savez vous lire entre les lignes??????????????????????????????????

REVUE DE PRESSE RUGBY FÉDÉRALE 1 (3E JOURNÉE), ORTHEZ - MARMANDE/CASTELJALOUX. Déjà victorieuse de ces deux premiers matches, l'entente marmandaise a encore ramené le succès du Béarn. Mais il reste le regret d'une mauvaise fin de match L'URMC est inarrêtable Les protégés de Serge Candau et Sam Brethous ont dû se retrousser les manches pour obtenir le point du bonus défensif dans les arrêts de jeu (86e) et grâce à la transformation de Labat tapée du bord de la touche et bien en haut des perches. Les Marmandais ne manifestaient aucune joie en quittant le terrain, bien déçus de ne pas avoir grappillé le point du bonus offensif qu'ils possédaient encore avant l'essai de Testemale sur une touche courte (62e). Pourtant durant toute la première période, les visiteurs ont fait état de leur maîtrise du rugby, puissant et engagé, une équipe qui prend des initiatives, qui dévaste tout devant avant d'alerter une cavalerie bien en cannes. Du beau rugby ponctué par trois essais, le premier de Hierso qui prend de vitesse la défense de l'USO avant d'envoyer Lafourcade à l'essai (22e), puis le capitaine Laborde décale Joël De La Bardonnie pour un essai en coin (31e) et enfin, avant la pause, le malin Faaletino joue seul à la main la pénalité dans les cinq mètres de l'USO, dans le dos de l'arbitre, pour aplatir en coin (39e). Le sursaut d'Orthez A 3-17, les Orthéziens n'avaient d'autres solutions que de plonger à fond dans le match sans s'occuper du score comme le conseille Serge Candau. Et à force de courage et d'abnégation, les Orthéziens jettent un peu de sable dans l'engrenage lot-et-garonnais. Le rugby des bleus devient moins précis, les joueurs de l'USO plus collants et à force de hardiesse, sans étaler un grand rugby, les Orthéziens se sont sentis compétitifs. Après une large domination territoriale, l'USO obtient une touche sur les cinq mètres de Marmande. Testemale en profite pour pointer l'essai (62e) qui, avec la pénalité de Labat (74e), ramène les rouge et noir à 14-28. Il reste cinq minutes à jouer plus six autres d'arrêts de jeu annoncées par l'arbitre. Les Orthéziens n'ont qu'une idée fixe : marquer un essai transformé pour obtenir le point du bonus défensif. Après de multiples pénalités qu'Orthez joue en pénaltouche, la dernière sera jouée à la main car l'arbitre aurait sifflé la fin du match et après plusieurs pilonnages, le ballon est extirpé du paquet d'avants pour le bonheur de Vaquin sur son aile (86e). Auteur : Gérard Maysonnave Laborde et Faaletino s'occupent comme il se doit d'un adversaire béarnais. (photo guillaume bonnaud)

Ca tourne bien à Marmande-Casteljaloux. Faudra compter avec elle pour la suite...