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lu dans CAPITAL Affluences record, explosion des audiences télé … le rugby français est en plein essor. De Toulouse à Clermont en passant par Perpignan, zoom sur les grosses cylindrées du Top 14 qui s’arrachent les meilleurs joueurs de la planète. Exit Zinedine Zidane. Le sportif préféré des Français s’appelle désormais… Sébastien Chabal. Une surprise ? Pas vraiment, tant le rugby français gagne en popularité. Avec plus de 13.500 spectateurs par match (soit deux fois plus qu’il y a six ans), le Top 14 affiche des affluences record. Et encore, c’est sans compter les pics de 60.000 voire 80.000 spectateurs atteints lors des phases finales du championnat. Sport historiquement régional, le « rugby à papa » a commencé sa mutation vers la fin des années 90, lors de son passage au professionnalisme. Au fil des ans, le marketing agressif des clubs a popularisé le ballon ovale. Max Guazzini, président du Stade Français, - mais aussi homme de show bizz - a été le premier à sortir le sport de l’anonymat en multipliant les grands shows populaires au Parc des Prince et au Stade de France. Les autres clubs lui ont emboité le pas en délocalisant les affiches phares dans les stades de football… Parallèlement, les dirigeants ont aussi mis le paquet pour recruter les vedettes du monde entier : Jonny Wilkinson, Byron Kelleher, Juan Martin Hernandez… les stars étrangères représentent actuellement 40% des joueurs alignés dans le Top 14. Ces initiatives ont permis d’attirer les sponsors, dont de nombreux groupes cotés en Bourse (EADS, Peugeot, Capgemini, ...) et de gonfler les recettes des clubs. « Chaque équipe du Top 14 compte en moyenne 300 partenaires », note Arnaud Dagorne, directeur général de Ligue nationale de Rugby (LNR). En 2010, le budget moyen des clubs a progressé de 7% à 16 millions d’euros. Avec près de 30 millions d'euros, le Stade Toulousain caracole toujours en tête alors que le nouveau venu, le Stade Rochelais, affiche le plus petit budget. Fort de cette croissance, le monde du rugby entend bien monnayer sa nouvelle popularité. La LNR lancera à l’automne son nouvel appel d’offres pour les droits audiovisuels du championnat. Objectif pour la Ligue qui rassemble actuellement environ 700.000 téléspectateurs à chaque journée de championnat diffusée : grappiller davantage que les 30 millions d’euros annuels versés par son partenaire historique Canal +. --------- SOMMES NOUS SUR LA BONNE VOIE , ?
Que oui ! Sinon s'en est fini du rugby en tant que sport majeur ! Pas d'angélisme avec l'argent, jusqu'à maintenant personne ne sait s'en passer ! De là à tout rapporter à l'argent dans le sport, je ne suis pas ! La notoriété (au sens résultats) n'est pas redevable forcément d'un hyper , super ou gros budget et [size=15]du barrage au recrutement d'éléments de valeur qu'on peut en faire[/size], pour à la limite ne pas les employer mais simplement en priver les autres concurrents (Cf. OL...). Le dépassement de soi restera la vertu première du sport, un âne bien payé ne fera jamais un cheval de course... Certains imaginent, et cela reste leur analyse et leur affaire, que rémunération vaut obligatoirement valeur ! L'expérience porte à penser qu'il n'y a rien de plus faux que de penser qu'on est payé pour ce qu'on vaut ! Enfin, si c'était vrai, ça se saurait et le monde en serait changé, non ?:lol::lol::lol: A lire en appui de ce qui est dit plus haut : Monsieur Tingaud, patron de Foncia, grosse agence immobilière, parle de "libèrer" Caucau... Ce mot est dans sa bouche comme dans celle d'un gardien de prison ! C'est un terme de son métier, il doit surement parler comme cela avec ses locataires...A moins qu'il soit le libérateur du rugby !:lol::lol::lol::lol:
Dernière modification par Gilbert la chigue (14/09/2010 16:49:44)
J'ai rien compris! Les chevaux de courses connaissent leur salaire? Pourtant ils gagnent quand même, parfois... Il vaut mieux que les ânes ignorent leur salaire, ils seraient capables de demander une augmentation au lieu d'accélérer. Quelle que soit leur ration d'avoine, les CASE'aques vertes ont la "grosse côte" et ce n'est pas pour me déplaire! Faites pas les ânes!...