Fédérale 1

Et voila la federation a gagner

#1

Et oui la federation a gagner en laissant rentrer trop d'argent chez les amateurs mauleon va descendre en federale 2 et avec la nouvelles reforme les petits club disparaitront a jamais de la federale1 enfin pour le plus grand bonheur de la fede qui pourra créer sont pro d3 degouter de voir que les petits trinques toujours.

#2

Il y a des clubs en féd 1 avec peu de budget qui réussissent. Faut arrêter de croire que l'argent est à l'origine de tous les maux. Tournefeuille n'est pas spécialement un gros budget de F1 et vous prenez 38 pions là-bas. Que dire de vos défaites à domicile contre Morlàas, Saint Jean de Luz. Vous n'avez pas rencontré de toute la saison un club avec un très gros budget. En première phase la poule était assez équilibrée et en play down, mis à part Dijon, le reste c'était de votre niveau économique.

#3

Ce n'est pas la faute de la fédé, ce n'est pas la fédé qui donne le pognon aux clubs. Le rugby est un sport très médiatisé, trop médiatisé par rapport à la réalité économique de ce sport. ça reste un sport de pauvre, où seuls des mécènes font vivre des clubs et c'est typique du rugby. Bref, pouvoir regarder des matches à la télé a un revers de médaille qui est la course à l'armement des clubs qui veulent passer pro.

#4

olivier a écrit :

Ce n'est pas la faute de la fédé, ce n'est pas la fédé qui donne le pognon aux clubs. Le rugby est un sport très médiatisé, trop médiatisé par rapport à la réalité économique de ce sport. ça reste un sport de pauvre, où seuls des mécènes font vivre des clubs et c'est typique du rugby. Bref, pouvoir regarder des matches à la télé a un revers de médaille qui est la course à l'armement des clubs qui veulent passer pro.

je suis totalement d'accord avec toi olivier, la médiatisation est le mal de ce siècle, la sur médiatisation d'un événement rend cette événement complétement déconnecté de la réalité, on s'en aperçoit dans le sport aujourd'hui , ce ne sont pas les poms poms girl les super maillots moulants couvert de publicités et les stades pleins de faux supporters qui changerons quelque chose...on n'a qu'à regardé dans l'actualité récente ou on on s'aperçoit très vite que la surmédiatisation commence à faire beaucoup de tord à l'économie, il n'y a qu'à voir la médiatisation de la crise mondiale, de l'insécurité de la grippe A et aujourd'hui du nuage de cendres de l'Islande, n'importe quel problème peut devenir une catastrophe mondiale

Dernière modification par thierry11 (18/04/2010 19:56:32)

#5

violets15 a écrit :

et là ou tu me surprends , c'est qd tu dis que le rugby est trop médiatisé par rapport à sa réalité économique ? Autrement dit , si le sport pèse économiquement il doit être médiatisé et donc les sports dits '' mineurs '' ne sortir dans la lumière qu'aux JO en quelque sorte ?????????????? et la course à l'armement des féd n'a rien à voir avec le fait de pouvoir regarder des matches à la télé............

Pour reprendre l'ensemble de ta réponse, je ne comparais que le foot et le rugby en terme de mécène, pas les autres sports qui de part leur économie sont mieux adaptés au mécénat. Ce que je veux dire, c'est que dans le rugby pro, tu as des structures atypiques fragiles (Castres, Montauban, Toulon, Bourgoin, Biarritz, Grenoble...) qui reposent sur un très gros sponsor, qui le jour où il s'en va, met en péril l'avenir du club. Dans le football, c'est beaucoup plus rare, car le modèle économique est adapté aux ressources. Pour en revenir au côté médiatique, je n'ai pas dit que le pouvoir économique devait forcer la médiatisation, mais que le rugby était en décalage ce qui influait considérablement sur les budgets. Le rugby est le 2° sport en France en terme de médiatisation, le 8° en terme de licenciés, ce qui fait que le haut de la pyramide vit très très bien avec des budgets supérieurs à 10 M€. En revanche, ces clubs tirent vers le haut les valeurs financières (joueurs plus chers, sponsoring plus exposé donc plus cher). Ce qui fait qu'aujourd'hui il y a un espèce de flottemment entre les semi-pros et la moitié de la pro D2, ou le décalage est trop important entre la valeur financière du club et la réalité du marché (ressources). Et il y a un paquet de faillites potentielles que tu ne trouves pas dans les autres clubs Tu ne connais pas ce phénomène dans le Hand par exemple, car les budgets sont plus en corrélation avec l'exposition. Le budget de Montpellier en Hand est 2 fois moins élevé que celui du rugby, alors qu'il est une valeur sure européenne avec notamment 1 titre en ligue des champions, d'un pays qui trust les titres depuis 4 ans. En conclusion, le rugby est actuellement un sport pauvre qui se croit riche, à l'inverse du foot qui est un sport riche.

#6

Je crois qu'il faut regarder ça avec un autre oeil, en bref, dit par certains : " Les clubs qui descendent sont ceux qui n'ont pas les sous pour appâter les valeurs et se maintenir"...et ce sont donc les "petits" c'est à dire le terreau du rugby qui disparait... C'est la loi de la vie et on ne peut dire ce que sera l'avenir... Cependant, j'ai récemment découvert au pays des fakirs qu'il existait une ligue pro de cricket à 8 franchises possession de magnats locaux. La télé est sur le coup et les stades sont pleins, les matches sont répétés, bref ça fonctionne... Pourtant de stade de cricket à l'extérieur des grandes agglos il n'y en pas plus que qu'il y a de l'eau pour boire ou se laver ou du pognon itou, et ce n'est pas ça qui empêche les gosses de frapper la baballe avec une batte de circonstance au milieu des bidonvilles et de leur misère...C'est comme dans d'autres pays (Brésil pour le foot par exemple) une notion de sport national et c'est dans ce terreau de base que l'existence de ce sport au niveau de l'excellence mondiale prend sa source, pas dans le fait qu'il y a d'abord du pognon ! D'abord, il y a l'amour d'un sport, après (mais bien plus tard et pour un nombre super restreint de pratiquants) vient le pognon et la starisation...Le rugby des campagnes ne demande qu'un pré et une vessie de cochon...Je crois qu'on peut trouver les deux et 30 gamins facilement !

"Dans un monde où l'analyse est quand même quelque chose de rare au premier abord, on passait pour des crétins !" Vincent Moscato

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