Je suis à peu près d'accord avec le Bourquiste, pas P-G, l'autre !
Il y a un demi-siècle, on savait à peu près à quoi s'en tenir : les piliers basques, les ailiers landais, la troisième ligne agenaise, etc,
Mais maintenant, les piliers georgiens, les ailiers fidjiens, les troisièmes lignes blacks ou argentins ….
Les équipes se ressemblent de plus en plus, le jeu se stéréotype, logiciels obligent, alors qu'est ce qui fait la différence ? Certainement l'effectif qui permet un roulement plus efficace et la condition physique car souvent c'est dans les 20 dernières minutes qu'une équipe se délite.
Ces deux critères, effectif et condition physique sont encore plus essentiels en matchs aller et retour qu'en match couperet sec où une équipe peut se transcender et l'autre être dans un jour sans.
Alors en poule 1, Nîmes semble être armé question effectif et condition physique et le jeu est plutôt complet mais des trous d'air on en a déjà déjà connus et on peut en connaître d'autres, particulièrement contre des packs rouleaux compresseurs et donc, possibilté d'aller au bout comme de se prendre une gamelle malvenue, le rugby n'est pas une science exacte.
Bédarrides ? Chez lui ce n'est pas du gâteau, depuis toujours.
Villeurbanne ? En dents de scie, peut créer la surprise et peut aussi prendre une rouste monumentale.
Vienne ? Une équipe de phase finale parfois étonnante, capable de surprendre un peu comme Fleurance.
Alors sur le papier, Nîmes et Villeurbanne les mieux placés pour aller au bout mais il faut toujours se méfier des villages gaulois.