Bah, ça met du sel dans la soupe, rien que du sel, évidemment tant que ça reste dans les limites raisonnable, de la correction.
Bizarrement, je trouve que les “clashes” (j'utilise une formule “Hanounesque” à dessein puisque c'est son fond d'commerce et qui sait peut-être est ce aussi malheureusement un peu dans l'air du temps ?) Oyo/Bourg sont plutôt plus tendus aujourd'hui que ça ne l'était lorsque les deux équipes pratiquaient au mm niveau ?
Perso, je ne considère pas que le fait de bien aimer une équipe, des couleurs doit nécessairement s'accompagner d'un principe de détestation (ou pire de mépris) de l'autre. Parce que le fameux “ennemi viscéral” en matière de sport signifie en réalité et dans l'immense majorité des cas : “Le voisin”. Souvent, pour ne pas dire dans la quasi totalité des cas : “ Celui qui nous ressemble, en tout cas plus que les autres plus éloignés géographiquement”. Bref, entre un mec qui vient garnir les travées de Mathon ou de Verchère; plutôt moins de différences qu'avec un mec qui va garnir les travées d'un autre stade aux confins opposés du pays.
La surinterprétation, la sur invocation de la nébuleuse “Culture Club”, n'est en outre pas toujours bonne conseillère et moins encore garante de résultats flamboyants ultérieurs. On en a eu un “drôle d'exemple” ici, avec un Coq converti mais néanmoins dressé sur ergots au marché qui s'imaginait qu'en réhabilitant un “Clochemerle fantasmé”; qu'une dynamique rédemptrice allait s'enclencher automatiquement. Il n'en fut rien et pas trop étonnant alors, que ceux s'estimant asticotés hier se fassent asticoteurs parfois mm railleurs aujourd'hui ! Ceci dit, les Ping, c'est comme les Pong, ça s'renvoie obstinément la baballe sans trop savoir pourquoi, ni quand la partie à commencé, ni même s'il y aura une fin au “Jeujeu”?
Mon aïeule Ariégeoise disait : “ Mange la mie de ton pain blanc non sans délectation si cela te fait du bien mais n'en fait surtout pas un trophée aux yeux des moins bien nantis ! Car rien n'est moins sûr que tu n'auras demain que croutes à te mettre sous la dent”.