Lorsqu'on lit la réponse de la maire de Biarritz, peut-on lui en vouloir ? Depuis l'arrivée de la famille Gave, je l'ai toujours trouvé cohérente dans ses propos.
Biarritz est une station balnéaire de 25 000 habitants. L'économie du rugby a changé et l'aviron prend le lead. Est-ce qu'il y a la place pour deux clubs professionnels dans ce secteur ? Est-ce que la mairie a les ressources financière pour améliorer les infrastructures ?
Il ne reste que deux options :
1/ Le BO devient un club historique dans des divisons inférieures et nous serons tous tristes
2/ Un très grand mécène s'achète un club pour s'amuser, sans compter
Pour revenir à notre match, il y a également deux options (c'est un peu répétitif, je le concède) : l'électrochoc ou l’anesthésie. Dans un sport devenu pleinement professionnel, j'ai tendance à penser que les joueurs ont pris un gros coup sur la tête et que les téléphones des agents sont en surchauffe pour trouver rapidement un point de chute.