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Clubs

USON NEVERS RUGBY

#9395

Les mouches ont changée d'âne,  la sortie de Tarrit nous a fait très très mal.Comment à t'on pu perdre ce match, des mauvais choix en première , des cartons oublié. 

Celle là on va l'avoir en travers de la gorge .

 

« L’humilité rend invulnérable. »
– Marie von Ebner-Eschenbach

#9396

Et bien défaite à domicile qui fait mal !!

1ere période qui se déroule bien malgré les avalanches de blessures et protocoles commotion ,qui vont nous faire très mal pour la suite.

2eme période très mauvaise. On est surclassé dans tous les domaines.Le banc ne nous apporte pas grand chose dans la rencontre.

Points positifs : encore et toujours la mêlée même avec les jeunes. Reynolds très bon au pied. Plataret me plait bien.

Points négatifs : les lignes arrières qui ne servent à rien. Auncune avancée voir même des reculs par moment !!!  LeGal toujours aussi mauvais. Genevois nous perd pas mal de lancés.

 

#9397

Gadget5863 a écrit :

Les mouches ont changée d'âne,  la sortie de Tarrit nous a fait très très mal.Comment à t'on pu perdre ce match, des mauvais choix en première , des cartons oublié. 

Celle là on va l'avoir en travers de la gorge .

 

22 à 9 à 22-25, tu m'étonnes qu'elle va faire mal et compliqué à digérer pendant au moins quelques jours.

#9398

Pro D2 – 6e journée
Nevers – Perpignan, 22-25

A la sauce catalane

SERMOISE-SUR-LOIRE – Jeudi 15 octobre, 20 h 45 – Stade du Pré-Fleuri. Perpignan bat Nevers, 25-22 (6-16). Points-terrain : 4-1. Évolution du score : 3-0 ; 6-0 ; 11-0 ; 13-0 ; 13-3 ; 16-3 ; 16-6 ; 19-6 ; 19-9 ; 22-9 ; 22-14 ; 22-16 ; 22-19 ; 22-22 ; 22-25. Arbitre : David Beun (Provence-Alpes-Côte-d’Azur). Juges de touche 1, Nicolas Datas ; de touche 2, Norbert Roche. Arbitre vidéo : Philippe Bonhoure. Arbitre 4, Fabrice Belghoul. Arbitre 5 : Loïc Bricout. Soirée fraîche et humide, pelouse en excellent état, éclairage parfait. 4.186 spectateurs.

Pour Nevers : 1 essai Cotte (10e’) ; 1 transformation et 5 pénalités (2e’, 6e’, 34e’, 44e’, 52e’) Reynolds.
Pour Perpignan : 1 essai Pujol (58e’) ; une transformation Volavola ; 6 pénalités Volavola (23e’, 38e’, 46e’, 73e’), Melvyn Jaminet (62e’, 66e’). Carton jaune : Fa’asalele (9e’).

Nevers : 15. Kylian Jaminet ; 14. Le Gal, 13. Naqiri (22. Herry, 62e’), 12. Derrieux, 11. Raisuqe ; 10. Reynolds (21. Ménoret, 75e’), 9. Cazenave (20. Guillaume Manevy, 14e’) ; 7. Cotte, 8. Fabrègue (cap.) ; 6. Plataret (19. Bastide, 66e’) ; 5. Ceyte, 4. Barjaud (18. Bradshaw, 24e’) ; 3. Papidze (23. Lolohea, 62e’), 2. Tarrit (16. Genevois, 40e’), 1. Mataradze (17. Sénéca, 55e’). Manager Xavier Péméja ; entraîneur des avants Sébastien Fouassier, entraîneur des arrières Guillaume Jan.
Perpignan : 15. Melvyn Jaminet ; 14. Pujol, 13. Acebes (cap.), 12. Étienne (21. Rodor, 53e’), 11. Dubois (22. Lucas, 54e’) ; 10. Volavola, 9. Deghmache ; 7. Eru (18. Roussel, 62e’), 8. Faleafa (20. Lemalu, 53e’) ; 6. Château (7. Eru, 74e’) ; 5. Fa’asalele, 4. Labouteley (19. Chouly, 50e’) ; 3. Kubriashvili (16. Philippart, 64e’), 2. Geli, 1. Lotrian (17. Walker, 46e’). Non utilisé : 23. Fakatika. Directeur sportif Christian Lanta ; Entraîneur des avants Perry Freshwater, entraîneur des arrières Patrick Arlettaz.

Terry Philippart n’a toujours pas perdu au Pré-Fleuri. L’ex-Usoniste, désormais Usapiste, a pris part au succès inexorable des Catalans, en entrant en cours de deuxième période, lorsque son équipe s’accaparait doucement mais sûrement les commandes.

Raisuqe avait marqué
Les Jaunets pensaient pourtant bien maîtriser cette rencontre à l’étouffé. Dans la chaleur des fourneaux et la touffeur des packs, le jeu hypnotisant des Nivernais avait réduit à petit feu les ambitions catalanes.
A 16-6 aux agrumes, les Bourguignons pouvaient même regretter n’avoir pas plus rallongé la sauce. Leur mainmise avait poussé les visiteurs à une avalanche de fautes et l’arbitre à sortir dix minutes Piula Fa’asalele. L’avance aurait d’ailleurs mérité plus grande amplitude, si David Beun n’avait écrasé de son sifflet un coup de génie de Josaïa Raisuqe, funambule d’un essai de 100 mètres !

Merci Rudy
Mais, il va falloir s’y habituer, les arbitres vidéos ont tendance à s’assoupir dans le local qui leur est dédié au stade (trop chauffé ?). Nevers ne tourna donc qu’avec dix longueurs d’avance, un essai d’avants, bien entendu, et le pied droit de Shaun Reynolds ayant rempli les gamelles.
Les Perpignanais s’étaient cependant rappelés au bon souvenir des observateurs, un exploit défensif de Rudy Derrieux empêchant Lucas Dubois de refroidir le Pré-Fleuri, juste avant la pause.

Le travail d'USAP
Deux buts de Reynolds (contre un de Ben Volavola) portèrent les locaux dans un confortable 22-9. Confortable mais trompeur comme un soutien gorge. L’heure de jeu approchant, avec son lot de moments décisifs, les expérimentés perpignanais ramenèrent leur fraise.
Un essai de Jean-Bernard Pujol, superbement servi par le Jaminet catalan, sonna la révolte occitane. Ce même Jaminet et son compère Volavola se chargèrent de convertir les pénalités qui, cette fois, sanctionnaient plus les Azur et Or que les Sang et Or.

Choix risqué
Dès la 66e minute, les troupes de Mathieu Acebes égalisèrent. Il suffit alors d’un mauvais choix nivernais, une pénaltouche à dix minutes du terme au lieu d’une tentative de pénalité, pour que la tambouille neversoise prenne le goût du brûlé.
Perpignan, en chef avisé, versa une cuillérée de sauce catalane sur ce plat que le maître-queux bourguignon n’avait pas su mijoter jusqu’au bout. Une pénalité limpide de Volavola se posa comme une cloche sur un mets délicieux… ou amer, selon que l’on soit Perpignanais ou Neversois.

Ovalien Dupré
(à partir des images de Canal+ Sport)

#9399

Cette gestion des points me gêne quelque peu à l'USON . Pourquoi cette habitude  systématique d'aller chercher des pénaltouches et 5 pts (voire 7) très très hypothétiques quand les 3 pts tendent les bras à l'équipe. C'est à décider au vu des scores et du temps restant à jouer. mais à Aurillac tu dois prendre le BD face aux perches et ne pas chercher la pénaltouche. idem ce soir à 22-22 , tu dois aller chercher le 25-22 en sachant que tu as ensuite toutes les chance de récupérer la balle sur l'engagement de l'adversaire. Je trouve que, quelque part, ça manque quand même "d'intelligence comptable" dans les décisions prises.

#9400

Ovalien Dupré a écrit :

Pro D2 – 6e journée
Nevers – Perpignan, 22-25

A la sauce catalane

SERMOISE-SUR-LOIRE – Jeudi 15 octobre, 20 h 45 – Stade du Pré-Fleuri. Perpignan bat Nevers, 25-22 (6-16). Points-terrain : 4-1. Évolution du score : 3-0 ; 6-0 ; 11-0 ; 13-0 ; 13-3 ; 16-3 ; 16-6 ; 19-6 ; 19-9 ; 22-9 ; 22-14 ; 22-16 ; 22-19 ; 22-22 ; 22-25. Arbitre : David Beun (Provence-Alpes-Côte-d’Azur). Juges de touche 1, Nicolas Datas ; de touche 2, Norbert Roche. Arbitre vidéo : Philippe Bonhoure. Arbitre 4, Fabrice Belghoul. Arbitre 5 : Loïc Bricout. Soirée fraîche et humide, pelouse en excellent état, éclairage parfait. 4.186 spectateurs.

Pour Nevers : 1 essai Cotte (10e’) ; 1 transformation et 5 pénalités (2e’, 6e’, 34e’, 44e’, 52e’) Reynolds.
Pour Perpignan : 1 essai Pujol (58e’) ; une transformation Volavola ; 6 pénalités Volavola (23e’, 38e’, 46e’, 73e’), Melvyn Jaminet (62e’, 66e’). Carton jaune : Fa’asalele (9e’).

Nevers : 15. Kylian Jaminet ; 14. Le Gal, 13. Naqiri (22. Herry, 62e’), 12. Derrieux, 11. Raisuqe ; 10. Reynolds (21. Ménoret, 75e’), 9. Cazenave (20. Guillaume Manevy, 14e’) ; 7. Cotte, 8. Fabrègue (cap.) ; 6. Plataret (19. Bastide, 66e’) ; 5. Ceyte, 4. Barjaud (18. Bradshaw, 24e’) ; 3. Papidze (23. Lolohea, 62e’), 2. Tarrit (16. Genevois, 40e’), 1. Mataradze (17. Sénéca, 55e’). Manager Xavier Péméja ; entraîneur des avants Sébastien Fouassier, entraîneur des arrières Guillaume Jan.
Perpignan : 15. Melvyn Jaminet ; 14. Pujol, 13. Acebes (cap.), 12. Étienne (21. Rodor, 53e’), 11. Dubois (22. Lucas, 54e’) ; 10. Volavola, 9. Deghmache ; 7. Eru (18. Roussel, 62e’), 8. Faleafa (20. Lemalu, 53e’) ; 6. Château (7. Eru, 74e’) ; 5. Fa’asalele, 4. Labouteley (19. Chouly, 50e’) ; 3. Kubriashvili (16. Philippart, 64e’), 2. Geli, 1. Lotrian (17. Walker, 46e’). Non utilisé : 23. Fakatika. Directeur sportif Christian Lanta ; Entraîneur des avants Perry Freshwater, entraîneur des arrières Patrick Arlettaz.

Terry Philippart n’a toujours pas perdu au Pré-Fleuri. L’ex-Usoniste, désormais Usapiste, a pris part au succès inexorable des Catalans, en entrant en cours de deuxième période, lorsque son équipe s’accaparait doucement mais sûrement les commandes.

Raisuqe avait marqué
Les Jaunets pensaient pourtant bien maîtriser cette rencontre à l’étouffé. Dans la chaleur des fourneaux et la touffeur des packs, le jeu hypnotisant des Nivernais avait réduit à petit feu les ambitions catalanes.
A 16-6 aux agrumes, les Bourguignons pouvaient même regretter n’avoir pas plus rallongé la sauce. Leur mainmise avait poussé les visiteurs à une avalanche de fautes et l’arbitre à sortir dix minutes Piula Fa’asalele. L’avance aurait d’ailleurs mérité plus grande amplitude, si David Beun n’avait écrasé de son sifflet un coup de génie de Josaïa Raisuqe, funambule d’un essai de 100 mètres !

Merci Rudy
Mais, il va falloir s’y habituer, les arbitres vidéos ont tendance à s’assoupir dans le local qui leur est dédié au stade (trop chauffé ?). Nevers ne tourna donc qu’avec dix longueurs d’avance, un essai d’avants, bien entendu, et le pied droit de Shaun Reynolds ayant rempli les gamelles.
Les Perpignanais s’étaient cependant rappelés au bon souvenir des observateurs, un exploit défensif de Rudy Derrieux empêchant Lucas Dubois de refroidir le Pré-Fleuri, juste avant la pause.

Le travail d'USAP
Deux buts de Reynolds (contre un de Ben Volavola) portèrent les locaux dans un confortable 22-9. Confortable mais trompeur comme un soutien gorge. L’heure de jeu approchant, avec son lot de moments décisifs, les expérimentés perpignanais ramenèrent leur fraise.
Un essai de Jean-Bernard Pujol, superbement servi par le Jaminet catalan, sonna la révolte occitane. Ce même Jaminet et son compère Volavola se chargèrent de convertir les pénalités qui, cette fois, sanctionnaient plus les Azur et Or que les Sang et Or.

Choix risqué
Dès la 66e minute, les troupes de Mathieu Acebes égalisèrent. Il suffit alors d’un mauvais choix nivernais, une pénaltouche à dix minutes du terme au lieu d’une tentative de pénalité, pour que la tambouille neversoise prenne le goût du brûlé.
Perpignan, en chef avisé, versa une cuillérée de sauce catalane sur ce plat que le maître-queux bourguignon n’avait pas su mijoter jusqu’au bout. Une pénalité limpide de Volavola se posa comme une cloche sur un mets délicieux… ou amer, selon que l’on soit Perpignanais ou Neversois.

Ovalien Dupré
(à partir des images de Canal+ Sport)

Tu devrais faire parti des arbitres vidéo !

#9401

Bonjour, peut tu préciser Ovalien STP.......laughlaughlaugh Ceci dit malgré la défaite nous avons assisté à un beau match de rugby. Merci

jeanpeuplu a écrit :
Ovalien Dupré a écrit :

Pro D2 – 6e journée
Nevers – Perpignan, 22-25

A la sauce catalane

SERMOISE-SUR-LOIRE – Jeudi 15 octobre, 20 h 45 – Stade du Pré-Fleuri. Perpignan bat Nevers, 25-22 (6-16). Points-terrain : 4-1. Évolution du score : 3-0 ; 6-0 ; 11-0 ; 13-0 ; 13-3 ; 16-3 ; 16-6 ; 19-6 ; 19-9 ; 22-9 ; 22-14 ; 22-16 ; 22-19 ; 22-22 ; 22-25. Arbitre : David Beun (Provence-Alpes-Côte-d’Azur). Juges de touche 1, Nicolas Datas ; de touche 2, Norbert Roche. Arbitre vidéo : Philippe Bonhoure. Arbitre 4, Fabrice Belghoul. Arbitre 5 : Loïc Bricout. Soirée fraîche et humide, pelouse en excellent état, éclairage parfait. 4.186 spectateurs.

Pour Nevers : 1 essai Cotte (10e’) ; 1 transformation et 5 pénalités (2e’, 6e’, 34e’, 44e’, 52e’) Reynolds.
Pour Perpignan : 1 essai Pujol (58e’) ; une transformation Volavola ; 6 pénalités Volavola (23e’, 38e’, 46e’, 73e’), Melvyn Jaminet (62e’, 66e’). Carton jaune : Fa’asalele (9e’).

Nevers : 15. Kylian Jaminet ; 14. Le Gal, 13. Naqiri (22. Herry, 62e’), 12. Derrieux, 11. Raisuqe ; 10. Reynolds (21. Ménoret, 75e’), 9. Cazenave (20. Guillaume Manevy, 14e’) ; 7. Cotte, 8. Fabrègue (cap.) ; 6. Plataret (19. Bastide, 66e’) ; 5. Ceyte, 4. Barjaud (18. Bradshaw, 24e’) ; 3. Papidze (23. Lolohea, 62e’), 2. Tarrit (16. Genevois, 40e’), 1. Mataradze (17. Sénéca, 55e’). Manager Xavier Péméja ; entraîneur des avants Sébastien Fouassier, entraîneur des arrières Guillaume Jan.
Perpignan : 15. Melvyn Jaminet ; 14. Pujol, 13. Acebes (cap.), 12. Étienne (21. Rodor, 53e’), 11. Dubois (22. Lucas, 54e’) ; 10. Volavola, 9. Deghmache ; 7. Eru (18. Roussel, 62e’), 8. Faleafa (20. Lemalu, 53e’) ; 6. Château (7. Eru, 74e’) ; 5. Fa’asalele, 4. Labouteley (19. Chouly, 50e’) ; 3. Kubriashvili (16. Philippart, 64e’), 2. Geli, 1. Lotrian (17. Walker, 46e’). Non utilisé : 23. Fakatika. Directeur sportif Christian Lanta ; Entraîneur des avants Perry Freshwater, entraîneur des arrières Patrick Arlettaz.

Terry Philippart n’a toujours pas perdu au Pré-Fleuri. L’ex-Usoniste, désormais Usapiste, a pris part au succès inexorable des Catalans, en entrant en cours de deuxième période, lorsque son équipe s’accaparait doucement mais sûrement les commandes.

Raisuqe avait marqué
Les Jaunets pensaient pourtant bien maîtriser cette rencontre à l’étouffé. Dans la chaleur des fourneaux et la touffeur des packs, le jeu hypnotisant des Nivernais avait réduit à petit feu les ambitions catalanes.
A 16-6 aux agrumes, les Bourguignons pouvaient même regretter n’avoir pas plus rallongé la sauce. Leur mainmise avait poussé les visiteurs à une avalanche de fautes et l’arbitre à sortir dix minutes Piula Fa’asalele. L’avance aurait d’ailleurs mérité plus grande amplitude, si David Beun n’avait écrasé de son sifflet un coup de génie de Josaïa Raisuqe, funambule d’un essai de 100 mètres !

Merci Rudy
Mais, il va falloir s’y habituer, les arbitres vidéos ont tendance à s’assoupir dans le local qui leur est dédié au stade (trop chauffé ?). Nevers ne tourna donc qu’avec dix longueurs d’avance, un essai d’avants, bien entendu, et le pied droit de Shaun Reynolds ayant rempli les gamelles.
Les Perpignanais s’étaient cependant rappelés au bon souvenir des observateurs, un exploit défensif de Rudy Derrieux empêchant Lucas Dubois de refroidir le Pré-Fleuri, juste avant la pause.

Le travail d'USAP
Deux buts de Reynolds (contre un de Ben Volavola) portèrent les locaux dans un confortable 22-9. Confortable mais trompeur comme un soutien gorge. L’heure de jeu approchant, avec son lot de moments décisifs, les expérimentés perpignanais ramenèrent leur fraise.
Un essai de Jean-Bernard Pujol, superbement servi par le Jaminet catalan, sonna la révolte occitane. Ce même Jaminet et son compère Volavola se chargèrent de convertir les pénalités qui, cette fois, sanctionnaient plus les Azur et Or que les Sang et Or.

Choix risqué
Dès la 66e minute, les troupes de Mathieu Acebes égalisèrent. Il suffit alors d’un mauvais choix nivernais, une pénaltouche à dix minutes du terme au lieu d’une tentative de pénalité, pour que la tambouille neversoise prenne le goût du brûlé.
Perpignan, en chef avisé, versa une cuillérée de sauce catalane sur ce plat que le maître-queux bourguignon n’avait pas su mijoter jusqu’au bout. Une pénalité limpide de Volavola se posa comme une cloche sur un mets délicieux… ou amer, selon que l’on soit Perpignanais ou Neversois.

Ovalien Dupré
(à partir des images de Canal+ Sport)

Tu devrais faire parti des arbitres vidéo !

#9402

4186 specateurs, c'est plus que bien avec un horaire aussi tardif un jeudi soir . des matchs qui se finissent à près de 23 h  en semaine, ça dissuade aussi tous ceux qui ont de la route à faire  avec un boulot le lendemain matin. 

Pas vu le mach car streaming en panne. sad

4 gars issus de la formation sur la pelouse , ça aussi c'est positif.

Et derrière, toujours un peu la même chose, malheureusement. 

Il va falloir aller récupérer quelques point à l'extérieur.  Je devrais pouvoir être prsént contre Vannes ( s'ils ne s'amusent pas encore à nous avancer le match au jeudi ou s'il n'est pas reporté , on ne sait jamais en ces temps difficiles)

 

#9403

 franchement  la sortie de votre demi de melee  et celle de votre  talonneur voust a ete fatale

et le jeu de vos 3/4  bien mievre

ceci dit le banc de l usap  a ete tres performant  

#9404

thierry a écrit :

Cette gestion des points me gêne quelque peu à l'USON . Pourquoi cette habitude  systématique d'aller chercher des pénaltouches et 5 pts (voire 7) très très hypothétiques quand les 3 pts tendent les bras à l'équipe. C'est à décider au vu des scores et du temps restant à jouer. mais à Aurillac tu dois prendre le BD face aux perches et ne pas chercher la pénaltouche. idem ce soir à 22-22 , tu dois aller chercher le 25-22 en sachant que tu as ensuite toutes les chance de récupérer la balle sur l'engagement de l'adversaire. Je trouve que, quelque part, ça manque quand même "d'intelligence comptable" dans les décisions prises.

bonjour Thierry 

 

je suis en parti d accord avec toi, quelle connerie hier soir de ne pas botté à 22 partout c est incompréhensible contre une équipe comme Perpignan dans un moment ou ça fait 10 min que tu prend l eau

apres certes il y a quelques décisions défavorables sur certains fait de jeu à Aix aurillac et hier soir mais il n y a pas que ça qui nous fait perdre je m explique 

à Grenoble les locaux ne trouve pas la solution sur une très bonne défense usoniste et on leur offre le 1er essai pour bien leur donner confiance pour un sac à merde

a aix au moment où les locaux ne savent plus où ils habitent qu ils font fautes sur fautes et que l on prend la main sur le match on prend une pénalité retournée pour un mauvais geste qui les remets dans la partie 

à aurillac on offre 2 essaie encore que pour Le Gal que je ne porte pas dans mon cœur il se fait ramasser en travers au moment de la passe ce qui doit avoir une incidence sur ce raté mais pour bonvalot son hésitation est indigne d un joueur de pro D2

entre parenthèse je comprend la décision de vouloir gagner et ne pas botté ce soir là au vu de la domination en conquête,choix risqué pas payant mais assumer 

et hier soir cette penaltouche à la 70 éme sur le favori à la montée alors que tu est à match nul à la maison mais aussi ce jeu d occupation qui marchait à merveille en 1ère MT et qui a disparu en seconde en voulant constamment relancer depuis nos 22 et en prenant des grattages en veux tu en voila.

ca fait quand même beaucoup de fait ou l arbitrage ni est pour rien et qu il va falloir vite corrigé si l on veut prétendre au top 4

#9405

Globule jaune a écrit :
thierry a écrit :

Cette gestion des points me gêne quelque peu à l'USON . Pourquoi cette habitude  systématique d'aller chercher des pénaltouches et 5 pts (voire 7) très très hypothétiques quand les 3 pts tendent les bras à l'équipe. C'est à décider au vu des scores et du temps restant à jouer. mais à Aurillac tu dois prendre le BD face aux perches et ne pas chercher la pénaltouche. idem ce soir à 22-22 , tu dois aller chercher le 25-22 en sachant que tu as ensuite toutes les chance de récupérer la balle sur l'engagement de l'adversaire. Je trouve que, quelque part, ça manque quand même "d'intelligence comptable" dans les décisions prises.

bonjour Thierry 

 

je suis en parti d accord avec toi, quelle connerie hier soir de ne pas botté à 22 partout c est incompréhensible contre une équipe comme Perpignan dans un moment ou ça fait 10 min que tu prend l eau

apres certes il y a quelques décisions défavorables sur certains fait de jeu à Aix aurillac et hier soir mais il n y a pas que ça qui nous fait perdre je m explique 

à Grenoble les locaux ne trouve pas la solution sur une très bonne défense usoniste et on leur offre le 1er essai pour bien leur donner confiance pour un sac à merde

a aix au moment où les locaux ne savent plus où ils habitent qu ils font fautes sur fautes et que l on prend la main sur le match on prend une pénalité retournée pour un mauvais geste qui les remets dans la partie 

à aurillac on offre 2 essaie encore que pour Le Gal que je ne porte pas dans mon cœur il se fait ramasser en travers au moment de la passe ce qui doit avoir une incidence sur ce raté mais pour bonvalot son hésitation est indigne d un joueur de pro D2

entre parenthèse je comprend la décision de vouloir gagner et ne pas botté ce soir là au vu de la domination en conquête,choix risqué pas payant mais assumer 

et hier soir cette penaltouche à la 70 éme sur le favori à la montée alors que tu est à match nul à la maison mais aussi ce jeu d occupation qui marchait à merveille en 1ère MT et qui a disparu en seconde en voulant constamment relancer depuis nos 22 et en prenant des grattages en veux tu en voila.

ca fait quand même beaucoup de fait ou l arbitrage ni est pour rien et qu il va falloir vite corrigé si l on veut prétendre au top 4

Tout à fait d'accord.

 

Maintenant autant la semaine dernière et à Aix je suis vert autant hier soir c est vraiment l équipe la plus forte qui a gagné.

Tu vois vraiment que l uson en dehors des ballons portés (on est vraiment très très forts) a une grosse marge de progression.

Notre banc est trop léger pour prétendre aux demies finales (même si l Infirmerie est bien remplie). Quand tu vois celui de l USAP, t as compris.

MDM c est jouable pour nous, mais Vannes à la maison ça risque d être très dur pour cette équipe.

Faut qu on remette les egos à leur juste place et penser à gagner.

 

Bon par contre, ce genre de match y a encore 2 saisons on le perdait 0-4... Cette année on prend au moins un bd. On progresse qd même mais les autres aussi...

Encore pour atténuer la défaite on a une charnière neuve et jeune qui va forcément progresser. Guillaume Manevy progresse vraiment de match en match. Toujours un peu loin du ballon mais bien plus sûr et précis.

Pour les arrières même si le président est fidèle et qu'il adore Guillaume Jan, je crois vraiment que M Jan doit passer à autre chose. Trouver un autre Club où il pourra faire progresser d autres joueurs. Chez nous c est malheureusement terminé. C'est un bon entraîneur mais il a fait son temps chez nous.

Dernière modification par Velours (16/10/2020 09:46:09)

ALLEZ USON !

#9406

Entierement d'accord, M. Jan Guillaume à fait son temps ....Merci et passons à autre chose. Personnellement déjà l'année dernière j'écrivais ces propos. Si on veut être dans le top 4 on se doit de lui dire MERCI et AUREVOIR

Velours a écrit :
Globule jaune a écrit :
thierry a écrit :

Cette gestion des points me gêne quelque peu à l'USON . Pourquoi cette habitude  systématique d'aller chercher des pénaltouches et 5 pts (voire 7) très très hypothétiques quand les 3 pts tendent les bras à l'équipe. C'est à décider au vu des scores et du temps restant à jouer. mais à Aurillac tu dois prendre le BD face aux perches et ne pas chercher la pénaltouche. idem ce soir à 22-22 , tu dois aller chercher le 25-22 en sachant que tu as ensuite toutes les chance de récupérer la balle sur l'engagement de l'adversaire. Je trouve que, quelque part, ça manque quand même "d'intelligence comptable" dans les décisions prises.

bonjour Thierry 

 

je suis en parti d accord avec toi, quelle connerie hier soir de ne pas botté à 22 partout c est incompréhensible contre une équipe comme Perpignan dans un moment ou ça fait 10 min que tu prend l eau

apres certes il y a quelques décisions défavorables sur certains fait de jeu à Aix aurillac et hier soir mais il n y a pas que ça qui nous fait perdre je m explique 

à Grenoble les locaux ne trouve pas la solution sur une très bonne défense usoniste et on leur offre le 1er essai pour bien leur donner confiance pour un sac à merde

a aix au moment où les locaux ne savent plus où ils habitent qu ils font fautes sur fautes et que l on prend la main sur le match on prend une pénalité retournée pour un mauvais geste qui les remets dans la partie 

à aurillac on offre 2 essaie encore que pour Le Gal que je ne porte pas dans mon cœur il se fait ramasser en travers au moment de la passe ce qui doit avoir une incidence sur ce raté mais pour bonvalot son hésitation est indigne d un joueur de pro D2

entre parenthèse je comprend la décision de vouloir gagner et ne pas botté ce soir là au vu de la domination en conquête,choix risqué pas payant mais assumer 

et hier soir cette penaltouche à la 70 éme sur le favori à la montée alors que tu est à match nul à la maison mais aussi ce jeu d occupation qui marchait à merveille en 1ère MT et qui a disparu en seconde en voulant constamment relancer depuis nos 22 et en prenant des grattages en veux tu en voila.

ca fait quand même beaucoup de fait ou l arbitrage ni est pour rien et qu il va falloir vite corrigé si l on veut prétendre au top 4

Tout à fait d'accord.

 

Maintenant autant la semaine dernière et à Aix je suis vert autant hier soir c est vraiment l équipe la plus forte qui a gagné.

Tu vois vraiment que l uson en dehors des ballons portés (on est vraiment très très forts) a une grosse marge de progression.

Notre banc est trop léger pour prétendre aux demies finales (même si l Infirmerie est bien remplie). Quand tu vois celui de l USAP, t as compris.

MDM c est jouable pour nous, mais Vannes à la maison ça risque d être très dur pour cette équipe.

Faut qu on remette les egos à leur juste place et penser à gagner.

 

Bon par contre, ce genre de match y a encore 2 saisons on le perdait 0-4... Cette année on prend au moins un bd. On progresse qd même mais les autres aussi...

Encore pour atténuer la défaite on a une charnière neuve et jeune qui va forcément progresser. Guillaume Manevy progresse vraiment de match en match. Toujours un peu loin du ballon mais bien plus sûr et précis.

Pour les arrières même si le président est fidèle et qu'il adore Guillaume Jan, je crois vraiment que M Jan doit passer à autre chose. Trouver un autre Club où il pourra faire progresser d autres joueurs. Chez nous c est malheureusement terminé. C'est un bon entraîneur mais il a fait son temps chez nous.

#9407

Velours a écrit :
Globule jaune a écrit :
thierry a écrit :

Cette gestion des points me gêne quelque peu à l'USON . Pourquoi cette habitude  systématique d'aller chercher des pénaltouches et 5 pts (voire 7) très très hypothétiques quand les 3 pts tendent les bras à l'équipe. C'est à décider au vu des scores et du temps restant à jouer. mais à Aurillac tu dois prendre le BD face aux perches et ne pas chercher la pénaltouche. idem ce soir à 22-22 , tu dois aller chercher le 25-22 en sachant que tu as ensuite toutes les chance de récupérer la balle sur l'engagement de l'adversaire. Je trouve que, quelque part, ça manque quand même "d'intelligence comptable" dans les décisions prises.

bonjour Thierry 

 

je suis en parti d accord avec toi, quelle connerie hier soir de ne pas botté à 22 partout c est incompréhensible contre une équipe comme Perpignan dans un moment ou ça fait 10 min que tu prend l eau

apres certes il y a quelques décisions défavorables sur certains fait de jeu à Aix aurillac et hier soir mais il n y a pas que ça qui nous fait perdre je m explique 

à Grenoble les locaux ne trouve pas la solution sur une très bonne défense usoniste et on leur offre le 1er essai pour bien leur donner confiance pour un sac à merde

a aix au moment où les locaux ne savent plus où ils habitent qu ils font fautes sur fautes et que l on prend la main sur le match on prend une pénalité retournée pour un mauvais geste qui les remets dans la partie 

à aurillac on offre 2 essaie encore que pour Le Gal que je ne porte pas dans mon cœur il se fait ramasser en travers au moment de la passe ce qui doit avoir une incidence sur ce raté mais pour bonvalot son hésitation est indigne d un joueur de pro D2

entre parenthèse je comprend la décision de vouloir gagner et ne pas botté ce soir là au vu de la domination en conquête,choix risqué pas payant mais assumer 

et hier soir cette penaltouche à la 70 éme sur le favori à la montée alors que tu est à match nul à la maison mais aussi ce jeu d occupation qui marchait à merveille en 1ère MT et qui a disparu en seconde en voulant constamment relancer depuis nos 22 et en prenant des grattages en veux tu en voila.

ca fait quand même beaucoup de fait ou l arbitrage ni est pour rien et qu il va falloir vite corrigé si l on veut prétendre au top 4

Tout à fait d'accord.

 

Maintenant autant la semaine dernière et à Aix je suis vert autant hier soir c est vraiment l équipe la plus forte qui a gagné.

Tu vois vraiment que l uson en dehors des ballons portés (on est vraiment très très forts) a une grosse marge de progression.

Notre banc est trop léger pour prétendre aux demies finales (même si l Infirmerie est bien remplie). Quand tu vois celui de l USAP, t as compris.

MDM c est jouable pour nous, mais Vannes à la maison ça risque d être très dur pour cette équipe.

Faut qu on remette les egos à leur juste place et penser à gagner.

 

Bon par contre, ce genre de match y a encore 2 saisons on le perdait 0-4... Cette année on prend au moins un bd. On progresse qd même mais les autres aussi...

Encore pour atténuer la défaite on a une charnière neuve et jeune qui va forcément progresser. Guillaume Manevy progresse vraiment de match en match. Toujours un peu loin du ballon mais bien plus sûr et précis.

Pour les arrières même si le président est fidèle et qu'il adore Guillaume Jan, je crois vraiment que M Jan doit passer à autre chose. Trouver un autre Club où il pourra faire progresser d autres joueurs. Chez nous c est malheureusement terminé. C'est un bon entraîneur mais il a fait son temps chez nous.

A 100 % OK avec toi.Avec toutefois une grosse déception .............. et un désaccord sur l'équipe la plus forte qui gagne,.... je dirais la plus réaliste, la plus pragmatique oui .En fait la plus habituée a jouer le haut de tableau, a prendre le jeu a son compte.

Si tu veux jouer le haut de tableau dans ton championnat, il est inconcevable de te faire remonter 20 pions en secondes mi-temps à la maison, c'est OK si tu joue le ventre mou, pas si tu as des ambitions.

Arrivée de G Jan en 2010 soit presque  11 ans dans le même club OK, il aime le club, le club l'aime mais , il peut très bien apporter en école de rugby son savoir voir, en espoir.Mais je pense que depuis notre accés en Pro, il sature, il n'y a aucun progrés sur nos 3/4 en 4 ans de Pro.

Et je ne compte pas le nombredejoueur de haut niveau qui sont partie car pas de jeu ..... normal si tu ne peux pas t'exprimer, tu pars et aujourd'hui va faire venir des bons 3/4 avec notre jeu .

PS : sur notre "gros" temps fort de 1ere période, nous sommes à 3 metres de la ligne, on pousse, on pousse, l'USAP est à la faute en continue et Fouassier montre le Tee pour les 3 points ....... je suis sans voix ...... là, il fallait continuer a pousser, à leur faire mal pas à la 70 éme. Enfin heureusement je ne suis pas un stratége du rugby.

 

 

Dernière modification par Gadget5863 (16/10/2020 13:55:54)

« L’humilité rend invulnérable. »
– Marie von Ebner-Eschenbach

#9408

Et pendant ce temps là , Eliot 3 essais et 100% en touche  .un monstre énorme sur le match, en 16 mais il joue 8, 9, 13 la folie.

« L’humilité rend invulnérable. »
– Marie von Ebner-Eschenbach

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