Vivement la retraite ! 

L an dernier on va à Bayonne avec une équipe remaniée, ossature inédite, charnière de début 2017... Bref ça sentait la taule.

Au final on ramène un bd contre le futur champion de la division... Et j étais un des premiers à dire qu on prendrait une taule magistrale. Du coup, je dis rien ce coup ci !

Ah et devinez qui abritrait ce match ? M Datas arbitre de ce soir...

Et redevinez à qui Cet arbitre mettait 2 jaunes et s attirait les foudres des supporters la semaine d avant ? De Provence...

Dernière modification par Velours (08/11/2019 19:44:07)

Comme je l'avais malheureusement prévu, pas grand chose à retirer de positif avec ce match. Pas même le point du bonus défensif. Un essai pour l'honneur en fin de match et c'est tout.

De grosses défences de chaque côté. Un bon retour de Fabrègue et un Tarrit que j'ai trouvé en forme. Les gros ont trouvé du répondant côté Provence avec une mêlée chahuté et des mauls inefficaces mais c'est eux qui nous font encore et toujours avancer.

Pour le reste, je ne parle pas des lignes arrières....mais a t'on vraiment des lignes arrières sur le terrain ? Vuillemin pas bon, le reste aux abonnés absents. On voit quand même un fossé entre les remplaçants et les titulaires. Mais ça n'explique pas tout. Pas de vitesse, des courses à plat, pas d'imagination. Certains semblent perdus avec le ballon en main...Faut commencer à se poser les bonnes questions au niveau su Staff.

Faut pas sortir les excuses du champ de betteraves qui sert de terrain ou du temps frais. On a vu l'ailier de Provence faire des percés, prendre des intervals et amener de la vitesse, et le notre ? une pénalité complement raté et c'est à peut prêt tout.

Dernière modification par lebaron58 (08/11/2019 22:05:30)

Pro D2 – 10e journée
Provence - Nevers, 15-8

Ça laisse perplexe…

AIX-EN-PROVENCE – Vendredi 8 novembre, 20 h – Stade Maurice-David. Provence bat Nevers, 15-8 (9-0). Points-terrain : 4-0. Évolution du score : 3-0 ; 6-0 ; 9-0 ; 9-3 ; 12-3 ; 15-3 ; 15-8.
Arbitre : Nicolas Datas (Occitanie). Juges de touche 1, Stéphane Boyer ; de touche 2, Fabien Soucaret ; d’en-but 1, Pierre Alquier ; d’en-but 2, Florent Périsse-Gonzalez. Arbitre 4 : Pierre Bressat. Arbitre 5 : Jérôme Quesnel. Temps froid et sec, pelouse en bon état.

Pour Provence : 5 pénalités Massip (5e’, 14e’, 40e’ + 1, 56e’, 75e’).
Pour Nevers : 1 essai Bonvalot (78e’) ; 1 pénalité Henry (49e’).

Provence : 15. Massip ; 14. Charlat, 13. Brousse, 12. Burotu, 11. Narumasa (22. Zambelli, 79e’) ; 10. Sola, 9. Dufau ; 7. Guiry (20. Luafutu, 60e’), 8. Edwards (cap.) (19. Malet, 56e’), 6. Annetta (8. Edwards, 74e’) ; 5. Kbaier (18. Mondoulet, 50e’), 4. Lockley (5. Kbaier, 56e’) ; 3. Loukia (23. Montes, 52e’), 2. Forbes (16. Jammes, 58e’), 1. Ishchenko (17. Soave, 67e’). Non utilisé : 21. Munro. Manager général Fabien Cibray ; entraîneur des avants James Coughlan.

Nevers : 15. Le Gal ; 14. Zebango, 13. Trainor (22. Herry, 61e’), 12. Bolakoro, 11. Bonvalot (22. Herry, 34e’-40e’) ; 10. Vuillemin (21. Henry, 48e’), 9. Cazenave (20. Urruty, 67e’) ; 7. Quercy (cap.) (5. Njewel, 63e’-75e’), 8. Fabrègue (19. Manevy, 56e’), 6. Cotte ; 5. Njewel (18. Ceyte, 53e’), 4. Barjaud (8. Fabrègue, 67e’ ; 5. Njewel, 76e’) ; 3. Roelofse (23. Philippart, 40e’-m.-t. ; 61e’), 2. Tarrit (16. Maury, 50e’), 1. Sénéca (25. Lolohea, 53e’). Manager général Xavier Péméja ; entraîneur des avants Sébastien Fouassier, entraîneur des arrières Guillaume Jan.

Les santons de Provence peuvent dormir en paix. Trois lancers en touches mis à part, les visiteurs neversois n’ont rien volé dans le stade Maurice-David, même pas un point de bonus défensif qui se refusa à eux lors d’un final en trompe l’œil.
Le groupe azur et or, largement remanié après le succès du Pré-Fleuri aux dépens de Perpignan, puisque seul le pilier droit Nemo Roelofse signait-là une deuxième titularisation en suivant, a fortement déçu loin de ses bases.

Méconnaissables
Dans un registre pâle comme une lune ennuagée, la première période concentra tous les problèmes que rencontrent les Nivernais en déplacement. Hormis les ballons pris à l’alignement provençal, par Maxence Barjaud et Christian Njewel, notamment, rien ne fonctionna. De l’en-avant de Fred Quercy à la réception du coup d’envoi, à la troisième pénalité réussie par l’arrière Florent Massip, juste avant le repos, les Usonistes furent méconnaissables.
Il y eut bien quelques charges de Roelofse et une activité défensive de chaque instant de Théophile Cotte, mais cela se révéla insuffisant, d’autant que Nicolas Vuillemin, à la demi-heure, manqua une occasion de réduire la marque.

Soubresaut
En face, sans être plus brillants mais en se montrant plus efficaces en mêlée, les coéquipiers de l’ex-Usoniste Andrzej Charlat, omniprésent face à ses anciens compagnons, gardèrent à distance des adversaires sans solutions.
Le salut sembla venir d’un coup d’accélérateur, dès la reprise, lorsque, enfin, le cuir vola jusqu’à l’aile gauche où Conor Trainor tenta de déborder mais l’action fit long feu. Et Vuillemin puis Loïc Le Gal, trop maladroits face aux perches, ne purent débloquer le compteur jaune et bleu. Il fallut l’entrée de Zack Henry pour que son pied gauche fasse mouche, une minute après son entrée sur le terrain.

Essai pour du beurre
Menés 9-3, les Jaunets, qui reculaient beaucoup trop en attaquant pour espérer perturber la défense locale, subirent encore la précision à 100 % du botteur provençal. A 15-3, un maul pour l’honneur donna le feu vert d’une action terminée en bout d’aile, où Stéphane Bonvalot parvint à marquer malgré le placage désespéré de Massip. En coin, la transformation de Zack Henry pouvait offrir un bonus inespéré. Seulement, l’ovale botté par l’ouvreur anglais s’écrasa sur le poteau droit comme une fin de non recevoir.

Ovalien Dupré (à partir des images d’Eurosport Player)

Pour moi 9 faciles. Plus la transformation (difficile) sur le poteau ça fait 11. Je vois rien d'autre...