Mon ressenti reste probablement sous le sceau du parti-pris et du manque d'objectivité.
L'USO Nevers tente de grandir et d'évoluer avec patience, méthode et cohérence. Ses structures, ses infrastructures sont enviées par bon nombre des clubs de la division, voire ceux du TopXIV. Ceci reste bien l'oeuvre d'un homme, son président. Le club, dans sa globalité, tente aussi de mettre l'accent sur la formation, mailllon primordial d'un club Pro structuré. Ceci nécessite patience et perpétuelle remise en cause. Je trouvais qu'il était important de remettre le tableau en perspective.
Ce début de saison, on pouvait légitimement avoir des interrogations ou craintes. Des blessés ou retenues pour des sélections internationales qui pour la majorité font partis intégrantes des joueurs types n'auront pas permis une préparation optimale. Ceci étant précisé comment expliquer ce déficit d'investissement dans ces deux rencontres, cette abscence de combat. Il y a forcément un faisceau de motifs et il est probablement principalerment d'origine mentale dans la "dynamique" qui plonge le club depuis que la machine s'est enrayée en début d'hiver. Si ce constat est globalement pertinent on peut se poser la question du rôle du coach mental.
Les qualités intrinsèques de chacun et le niveau du collectif ils l'ont suffisament démontré la saison précédente. ALors l'homme providentiel je n'y crois pas, autant pour la cellule technique que sur le pré. Le déclic et la fracture de la spirale ne peut que se concevoir au travers le groupe. Ils en ont les moyens, il n'ya pas de doute. Notre rôle de suiveurs ou de supporters est prépondérant dans ces moments là, c'est comme en amitité ou dans in mariage, il est aisé de faire bonne figure quand tout est au beau fixe or il faut être présent, soutenir, dans les avis de tempête.
L'USO Nevers possède ses joueurs de caractères et ils seront là Jeudi.
Tango un jour, Tango Toujours!
Dernière modification par chouchou58 (01/09/2019 21:25:32)