Ce soir même si y’a défaite j’ai envie de parler d’un joueur qui de semaine en semaine me surprend c’est Merabet, quel guerrier et surtout lui il tient plus que la baraque en mêlée.. on a vu la différence avec PHILIPPART c’est un autre monde entre les deux...

Continue comme sa Mehdi !! Moi je le prolongerai d’un an même si il avait peut-être prévue d’arrêter en fin d’en saison..

Pro D2 – 24e journée
Vannes - Nevers, 34-26

Soudain, tout s’est éteint

VANNES – Vendredi 23 février, 19 h – Stade de la Rabine. Vannes bat Nevers, 34-26 (16-26).
Évolution du score : 3-0 ; 3-7 ; 6-7 ; 6-14 ; 9-14 ; 9-19 ; 16-19 ; 16-26 ; 19-26 ; 26-26 ; 29-26 ; 34-26.
Arbitre : Flavien Hourquet. Juges de touche 1, Guillaume Robin ; de touche 2, Pascal Vitrac ; d’en-but 1, Frédéric Diaz ; d’en-but 2, Laurent Foucaud. Arbitre 4 : Jean-Christophe Monjou. Arbitre 5 : Grégory Moreau.

Temps froid, pelouse en très bon état, éclairage parfait, 6.268 sepctateurs.

Pour Vannes : 3 essais Duplenne (36e’, 53e’), Clostermans (62e’) ; 2 transformations Moeke (36e’, 53e’) ; 5 pénalités Moeke (7e’, 14e’, 24e’, 44e’), Hilsenbeck (58e’).

Pour Nevers : 4 essais Bonvalot (8e’), Toleafoa (18e’), Curie (29e’), Raisuqe (39e’) ; 3 transformations Urruty (8e’, 18e’, 39e’). Carton jaune : Quercy (44e’).

Vannes : 15. Bouthier (cap.) ; 14. Lutumailagi, 13. Hickes, 12. Mourot, 11. Duplenne ; 10. Moeke (21. Hilsenbeck, 55e’), 9. Le Bail (20. Menzel, 46e’) ; 7. Bolenaïvalu, 8. Vosawaï, 6. Picault ; 5. Maisuradze (18. Lagioiosa, m.-t.), 4. Cramond ; 3. Dumas (23. Kite, 46e’), 2. Leafa (16. Cloostermans, 46e’), 1. Vola (17. Fry, 46e’). Non utilisés : 19. De Bruin, 22. Bly. Manager et entraîneur des avants Jean-Noël Spitzer ; entraîneur des arrières Wilfried Lahaye.

Nevers : 15. Autagavaïa ; 14. Zebango, 13. San Martin (cap.) (21. Naqiri, 55e’), 12. Herry, 11. Bonvalot (22. Raisuqe, 34e’) ; 10. Urruty (20. Belie, 66e’), 9. Bruzulier ; 7. Quercy, 8. Fraser (19. Manevy, 60e’), 6. Kazubek ; 5. Toleafoa (18. Bradshaw, 66e’), 4. Ceyte ; 3. Merabet (23. Philippart, 55e’), 2. Mapusua (16. Visagie, 63e’), 1. Curie (17. Sénéca, 50e’). Manager Xavier Péméja ; entraîneurs des avants Sébastien Fouassier, entraîneurs des arrières Guillaume Jan.

Dans sa course au maintien, Nevers s’était échappé sur la pelouse de la Rabine avant de se prendre les pieds dans le tapis et de dilapider tout l’espoir que sa première période lui avait procuré.
Le statu quo préside à ce vingt-quatrième acte de Pro D2, Carcassonne et Dax n’ayant rien rapporté de leur périple à Bayonne et à Aurillac, Narbonne ayant concédé le nul chez lui face à Grenoble. Une situation d’autant plus rageante que, une mi-temps durant, les Neversois eurent les cartes en main pour se concocter un matelas bien confortable à cette période de la saison.

Le diable Bonvalot
Dans le froid de la Rabine, les Jaunets intensifièrent l’effet congélateur en envoyant derrière la ligne un Stéphane Bonvalot ressorti de nulle part. Certes, Ashley Moeke avait ouvert le score sur pénalité mais l’essai neversois, transformé par Frédéric Urruty augurait d’une entame assez enthousiasmante.
Les observateurs n’allaient pas en croire leurs yeux. Comme à Colomiers, le 19 octobre, les Usonistes se régalèrent de ce tempo, ne laissant que des miettes à des Bretons tétanisés. SenioToleafoa, après un point d’encrage solidement fixé au centre du terrain par François Herry, puis Max Curie, au cœur d’un maul né d’une pénaltouche, allèrent derrière la ligne, Urruty bonifiant l’un de ces deux essais.

Quatre essais à un !
Menés 19-9, les joueurs du Morbihan répliquèrent peu avant la pause, l’ailier Gwenaël Duplenne filant à dame après un bon travail de ses équipiers dans l’axe. Mine de rien, la transformation de Moeke ramena les locaux à trois petites unités des visiteurs. Mais chez les Bourguignons, le doute s’effaça juste avant la sirène. L’ouvreur vannetais envoya une chandelle que maîtrisa dans les airs Fa’atoina Autagavaïa. L’arrière samoan grilla la politesse aux défenseurs bretons pour servir sur un plateau Josaïa Raisuqe, entré à la place de Bonvalot, blessé. Avec la transformation d’Urruty, l’USON menait à la Rabine, 26-16, bonus offensif en poche !

Deliquescence
Le copier-coller columérin plongea pourtant aux oubliettes. Pire, la deuxième période tourna au cauchemar pour les Neversois privés dix minutes de Fred Quercy, dans le collimateur arbitral depuis le coup d’envoi. Rendant les ballons et stoppant leur rythme idéal à ce type de rencontre, les Jaunets se firent punir par des Vannetais réconfortés par l’apport de leur banc…
Une trouée de l’arrière Anthony Bouthier améliora les statistiques de Duplenne et de Moeke. Le RCV venait d’égaliser et en profita pour s’envoler, les remplaçants neversois se montrant incapables d’inverser la spirale qui venait de s’enclencher. Le bonus offensif évaporé, ce fut le défensif que les Bretons ôtèrent à leurs hôtes d’un soir… qui n’inscrivirent pas le moindre point au cours de cette deuxième période totalement manquée.

Ovalien Dupré (à partir des images d’Eurosport Player)

Ovalien Dupré a écrit :

Pro D2 – 24e journée
Vannes - Nevers, 34-26

Soudain, tout s’est éteint

VANNES – Vendredi 23 février, 19 h – Stade de la Rabine. Vannes bat Nevers, 34-26 (16-26).
Évolution du score : 3-0 ; 3-7 ; 6-7 ; 6-14 ; 9-14 ; 9-19 ; 16-19 ; 16-26 ; 19-26 ; 26-26 ; 29-26 ; 34-26.
Arbitre : Flavien Hourquet. Juges de touche 1, Guillaume Robin ; de touche 2, Pascal Vitrac ; d’en-but 1, Frédéric Diaz ; d’en-but 2, Laurent Foucaud. Arbitre 4 : Jean-Christophe Monjou. Arbitre 5 : Grégory Moreau.

Temps froid, pelouse en très bon état, éclairage parfait, 6.268 sepctateurs.

Pour Vannes : 3 essais Duplenne (36e’, 53e’), Clostermans (62e’) ; 2 transformations Moeke (36e’, 53e’) ; 5 pénalités Moeke (7e’, 14e’, 24e’, 44e’), Hilsenbeck (58e’).

Pour Nevers : 4 essais Bonvalot (8e’), Toleafoa (18e’), Curie (29e’), Raisuqe (39e’) ; 3 transformations Urruty (8e’, 18e’, 39e’). Carton jaune : Quercy (44e’).

Vannes : 15. Bouthier (cap.) ; 14. Lutumailagi, 13. Hickes, 12. Mourot, 11. Duplenne ; 10. Moeke (21. Hilsenbeck, 55e’), 9. Le Bail (20. Menzel, 46e’) ; 7. Bolenaïvalu, 8. Vosawaï, 6. Picault ; 5. Maisuradze (18. Lagioiosa, m.-t.), 4. Cramond ; 3. Dumas (23. Kite, 46e’), 2. Leafa (16. Cloostermans, 46e’), 1. Vola (17. Fry, 46e’). Non utilisés : 19. De Bruin, 22. Bly. Manager et entraîneur des avants Jean-Noël Spitzer ; entraîneur des arrières Wilfried Lahaye.

Nevers : 15. Autagavaïa ; 14. Zebango, 13. San Martin (cap.) (21. Naqiri, 55e’), 12. Herry, 11. Bonvalot (22. Raisuqe, 34e’) ; 10. Urruty (20. Belie, 66e’), 9. Bruzulier ; 7. Quercy, 8. Fraser (19. Manevy, 60e’), 6. Kazubek ; 5. Toleafoa (18. Bradshaw, 66e’), 4. Ceyte ; 3. Merabet (23. Philippart, 55e’), 2. Mapusua (16. Visagie, 63e’), 1. Curie (17. Sénéca, 50e’). Manager Xavier Péméja ; entraîneurs des avants Sébastien Fouassier, entraîneurs des arrières Guillaume Jan.

Dans sa course au maintien, Nevers s’était échappé sur la pelouse de la Rabine avant de se prendre les pieds dans le tapis et de dilapider tout l’espoir que sa première période lui avait procuré.
Le statu quo préside à ce vingt-quatrième acte de Pro D2, Carcassonne et Dax n’ayant rien rapporté de leur périple à Bayonne et à Aurillac, Narbonne ayant concédé le nul chez lui face à Grenoble. Une situation d’autant plus rageante que, une mi-temps durant, les Neversois eurent les cartes en main pour se concocter un matelas bien confortable à cette période de la saison.

Le diable Bonvalot
Dans le froid de la Rabine, les Jaunets intensifièrent l’effet congélateur en envoyant derrière la ligne un Stéphane Bonvalot ressorti de nulle part. Certes, Ashley Moeke avait ouvert le score sur pénalité mais l’essai neversois, transformé par Frédéric Urruty augurait d’une entame assez enthousiasmante.
Les observateurs n’allaient pas en croire leurs yeux. Comme à Colomiers, le 19 octobre, les Usonistes se régalèrent de ce tempo, ne laissant que des miettes à des Bretons tétanisés. SenioToleafoa, après un point d’encrage solidement fixé au centre du terrain par François Herry, puis Max Curie, au cœur d’un maul né d’une pénaltouche, allèrent derrière la ligne, Urruty bonifiant l’un de ces deux essais.

Quatre essais à un !
Menés 19-9, les joueurs du Morbihan répliquèrent peu avant la pause, l’ailier Gwenaël Duplenne filant à dame après un bon travail de ses équipiers dans l’axe. Mine de rien, la transformation de Moeke ramena les locaux à trois petites unités des visiteurs. Mais chez les Bourguignons, le doute s’effaça juste avant la sirène. L’ouvreur vannetais envoya une chandelle que maîtrisa dans les airs Fa’atoina Autagavaïa. L’arrière samoan grilla la politesse aux défenseurs bretons pour servir sur un plateau Josaïa Raisuqe, entré à la place de Bonvalot, blessé. Avec la transformation d’Urruty, l’USON menait à la Rabine, 26-16, bonus offensif en poche !

Deliquescence
Le copier-coller columérin plongea pourtant aux oubliettes. Pire, la deuxième période tourna au cauchemar pour les Neversois privés dix minutes de Fred Quercy, dans le collimateur arbitral depuis le coup d’envoi. Rendant les ballons et stoppant leur rythme idéal à ce type de rencontre, les Jaunets se firent punir par des Vannetais réconfortés par l’apport de leur banc…
Une trouée de l’arrière Anthony Bouthier améliora les statistiques de Duplenne et de Moeke. Le RCV venait d’égaliser et en profita pour s’envoler, les remplaçants neversois se montrant incapables d’inverser la spirale qui venait de s’enclencher. Le bonus offensif évaporé, ce fut le défensif que les Bretons ôtèrent à leurs hôtes d’un soir… qui n’inscrivirent pas le moindre point au cours de cette deuxième période totalement manquée.

Ovalien Dupré (à partir des images d’Eurosport Player)

Félicitations pour ce résumé.

metalman58 a écrit :

Encore une grosse désillusion à l'extérieur dans un match à notre portée.

Malheureusement En allant à vannes avec une équipe très remanié et sans buteur ce résultat était probable et pourtant on était pas loin,

Je ne comprends pas que les coachs ne soient pas plus ambitieux pour ces matchs contre nos concurrents direct au maintien. Je pense qu'il était beaucoup plus important de gagner ce soir et de mettre vannes à 7 points plutôt que de garder les forces vives pour Perpignan donc la victoire sera beaucoup plus aléatoire à aller chercher.

j'ai vraiment peur qu'on regrette fortement tout ces points perdus en fin de saison  et ce sera un énorme gâchis au vu du potentiel de la majorité des joueurs.

Pour moi ce soir cette défaite est pour le staff

 

Entièrement d'accord avec ton analyse.

On se prend pour qui ? Se permettre de négliger un match contre un adversaire pour le maintien en espérant torcher l'USAP parce que l'on a déjà battu des ténors à domicile...

Je rêve...ou plutôt, je cauchemarde !

J'espère que vendredi, les joueurs qui seront sur le terrain sauront avoir le mordant et la fierté pour réparer cette bévue de Vannes même si Vannes est, tout de même, une belle équipe.

L'USON fait un championnat a la maison ...les matchs a l'exterrieurs ils s'en branlent  !

Dernière modification par riton58 (24/02/2018 15:58:12)

La liste des blessés s'allongent à priori ?? , Bonvalot, Fraser ??, autagavia ??  Il y a plus qu'à espérer  que la sélection espagnole n'appelle pas Quercy et Derrieux en plus de Gigouin pour leurs derniers matches.  Connaît on l'indisponibilité de Le gal.