Rudy Derrieu à 30 ans donc, si il veut un jour faire une fdm en top 14, pourquoi pas ,car je ne nous vois pas esperer une montée avant 3 ou 4 ans.

Il faudra attendre de voir comment vont se dérouler les “ modifications” et les “investissements” annoncés.

Pour moi, quand je vois le recrutement des clubs de pro d2 et surtout leur avancement, les signatures, je ne reste pas vraiment sur ma faim mais pas loin.

Il reste beaucoup de poste ou l'on doit travailler ( ce qui est surement le cas) mais, pas beaucoup de “rumeurs”………

Il faudrait que l'on puisse avoir des news sur un 15 ( ou alors si le BO descend ……) sur un talon ( départ prévu de Beaudaux), sur un aillier minimum et des rebforts en 4 car aujourd'hui, niveau sauteur on ne compte que sur la 3 ème ligne et c'est très réducteur pour les annonces et les prises en touches.

Les clubs qui vont nous rencontrer peuvent presque savoir que se sera sur le 7 et 8 que l'on va jouer la touche.Ou alors, on va se rendre la chose difficile en jouant des touches très longues et pas souvent maitrisées.

Pas convaincu par Dylan Jaminet mais bon..

jespere qu’on aura quelques pointures quand même pcq bon Super..

Mika58 a écrit :

Le recrutement tarde à être annoncé….. 

Beaucoup de départ, bcp de rumeurs (. Loaloa, ambadiang, derrieux, beaudaux ) plus les départs officiels (jaminet, VDM, Elia, Zenon, Erasmus). 

Quel vas être l effectif la saison  prochaine…. En gros cela ferai une quinzaines de départs en fin de saison…. Enorme…. 

Qu'elles seront les recrues et leurs niveaux..  Il faudrai au moins 4 à 5 toliers pour franchire un cap

En attendant touts les autres clubs effectuent un très gros recrutement 

Pas d'inquiétude, l'USON est toujours le dernier club a annoncer ses recrues. 

Je ne suis vraiment pas inquiet pour la saison prochaine alors même que celle en cours n'est pas terminée.  Que n'aurait-on pas lu et entendu su Dylan Jaminet avait signé ailleurs…. Que le club n'est pas capable de garder ses bons jeunes que le club n'attire pas que le club n'est pas ambitieux…. Maintenant qu'il a signé… il n'est pas convainquant…. 

Moi je trouve ça très bon sa signature…

Mais peu importe l'important est le match de ce soir 

Allez uson un gros match ce soir 

Velours a écrit :

De plus belle interview de Régis Dumange dans la Charente libre d aujourd'hui. Didier Pitcho et lui semblent bien copains maintenant.

Extrait C.L. Bonne lecture…..:

"Rival acharné du SA XV il y a une dizaine d’années, Nevers est devenu une place forte de la Pro D2 sous la conduite de son président et mécène Régis Dumange qui se fait un plaisir d’accueillir ses « amis » angoumoisins, vendredi.

Les rencontres entre le SA XV et Nevers ont souvent défrayé la chronique depuis les premières passes d’armes en 2015 en Fédérale 1 entre les deux présidents, Didier Pitcho et Régis Dumange. La hache de guerre est enterrée depuis longtemps comme le répète ce dernier, mécène d’un club qu’il a conduit dans le haut de tableau de Pro D2 et qui doit battre les Angoumoisins vendredi soir sur son « Pré Fleuri » pour rester dans la course aux phases finales.

Vous êtes septièmes à trois journées de la fin de la phase régulière, à la lutte pour les phases finales. C’est conforme à vos attentes ou vous espériez un peu mieux ?

On espérait forcément mieux. On laisse filer dix points lors des dernières journées sur des petites erreurs qui nous auraient permis d’être deuxièmes ou troisième aujourd’hui. Mais la Pro D2 est un long marathon, on perd des matches qu’on devrait gagner on en gagne que l’on aurait pu perdre. A l’arrivée, ça s’équilibre et on est où on est.

Avec l’impression d’être dos au mur pour vous qualifier ?

Non ! Ça reste du sport.

Depuis la montée en Pro D2, en 2017, vous n’avez jamais fait moins bien que septième. Deux fois battu en barrages, une fois en demi-finale. Nevers est devenu une place forte de la Pro D2 ?

On souhaitait exister dans ce championnat qui est très difficile, avec de très belles équipes qui sont en milieu de tableau voire en dessous et on existe. Donc oui, c’est une satisfaction, surtout dans une petite ville comme Nevers de 35.000 habitants.

En septembre 2022, avant un match Nevers - SA XV et après deux saisons marquées par le covid, vous nous expliquiez votre fierté d’avoir réussi à faire de l’USON ce qu’il est dans un département comme la Nièvre, au potentiel économique limité. C’est toujours le cas ? Et remplir le Pré Fleuri avec une équipe de haut de tableau de Pro D2 suffit à votre bonheur ?

Oui, il ne faut pas se voir plus gros que l’on est. Le covid et l’après-covid ont été des périodes très difficiles à vivre et à gérer. Surtout que nous, nous avons un public et des abonnés qui sont relativement âgés et qui avaient pris l’habitude de regarder le match devant la télé. La billetterie s’en était fortement ressentie, mais je suis heureux de voir qu’on réussit de nouveau à attirer du monde au stade. Quand on a jusqu’à 7.000 ou 7.500 spectateurs dans un département comme la Nièvre et une ville comme Nevers, c’est très bien.

Parce que vous vous sentez défavorisés par rapport à vos concurrents ?

Forcément. La Nièvre est un département central, à la fois loin et près de tout. Mais un exemple : en début de saison, on avait besoin d’un médecin du sport et il n’y en a plus sur le département. Ça renforce notre souhait et notre besoin de mettre l’accent sur la formation, à tous les niveaux, pour continuer d’exister.

Les dirigeants du SA XV regrettent souvent de ne pas bénéficier du soutien qu’ils attendent des élus. A Nevers, vous avez réussi à faire l’union sacrée et du club le porte-drapeau du Département ?

Il faut forcément être mesuré sur le sujet. Les élus ont des contraintes financières et pour nous non plus ce n’est pas simple. Après, il faut se demander si le sport est quelque chose d’important. Moi je pense que oui. Le sport, et le rugby, qui a des valeurs éducatives fondamentales et attire le public.

Votre fils Sébastien est désormais directeur général du club. C’est aussi une façon d’assurer la pérennité ?

Tout à fait ! Et c’est très important pour la continuité des choses. Si on me rappelle là-haut, il faudra bien que j’y aille ! Mon fils a pris la suite non seulement au rugby mais aussi à Textilot (l’entreprise de prêt-à-porter fondée par Régis Dumange en 1974). Après, je pensais être un peu plus tranquille à la retraite, mais ce n’est pas le cas du tout. Entre les réunions, les comités directeurs et le travail au club où nous n’avons pas de directeur administratif, je n’arrête jamais.

Il y a eu une vraie rivalité avec le SA XV au début de vos affrontements en Fédérale 1. Ça reste un rendez-vous particulier ou c’est vraiment de l’histoire ancienne ?

C’est de l’histoire ancienne. Il y avait une vraie rivalité mais ça fait partie du rugby qui reste un sport de combat ! Après, on était un peu « con con » à l’époque, mais on s’entend désormais très bien avec Didier Pitcho (ndlr. Président du SA XV).

Les meilleurs ennemis font les meilleurs amis ! On s’appelle régulièrement, il lui arrive même de me donner procuration pour des votes et j’aurais grand plaisir à le revoir vendredi, tout comme Fabrice (Landreau) et Antoine (Roger).

D’ailleurs, je ne manque jamais l’occasion de souligner qu’ils ont fait un travail formidable pour faire évoluer le club et le stade. Je suis à la commission des stades de la Ligue et Chanzy est peut-être celui qui a le plus et le mieux évolué ces dernières années. Et puis quand je voyais qu’ils étaient menacés de relégation, je me disais que ce n’était pas possible. Ce club mérite vraiment d’être en Pro D2.

Pour terminer, vous avez un petit pronostic pour le match de vendredi soir ?

Je vais vous faire rire, mais comme nous sommes bons amis, chacun gagne chez soi !"

Dernière modification par Ram16 (26/04/2024 12:02:18)