Salut petit Gonza- facile ! - est-ce que tu as envie de parler de l'évolution de l'activité érotique du Périgord en période d'invasion estivale de celui ci par les valets de la reine de Rosbifie qui, mangeant du foie gras, l'accompagnent de ketchup et de coca, toi ?
Non, j'imagine, alors moi président, pardon moi résident d'Ovalie Land, je n'ai pas plus envie de parler de TAFTAquère que de la culture des haricots rouges en Tanzanie du sud ouest.
Aujourd'hui, veille de demain qui sera un autre jour où un nouveau matin des magiciens ovales se lèvera, est, pour moi, un jour de concentration, un jour de prières, un jour de calme, un jour de préparation psychologique pour demain.
Je vais, d'ailleurs, me coucher après une nuit d'enfer et de damnation passée chez les abbesses des Chartreuses où, hélas, une soirée d'accueil suivie de l'après soirée suivie, elle même, de l'avant soirée du matin, avait été prévue pour moi, pauvre pécheur, qui ne s'intéresse ni au stupre, ni à la luxure et, encore moins, à la fornication.
Pour me remercier, elle m'ont offert le nouveau kamasuthra picard qui vient de sortir aux éditions Jeanné Pleinleluc de Marne l'Avalée où les ch'tiots avaient été délocalisés sans rhum, sans femmes, sans bière et sans nom de Dieu, putain con ( Dieu serait né à Hasparren et à Mauléon, faut parler le steoudsu variante du gasstoipovcon, pardon : du gascon.
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Si on me dit comment joindre une photo à son baratin, j'en enverrai une d'un lever sur la Chartreuse qui a fait le tour du monde. Merci.
Bon, j'arrête, il faut que j'aille vérifier d'urgence l'état de ma collection d'estampes picardes.