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Fédérale 3

CRC

#1163

peuh peuh peuh on ne touche pas aux nains...................;)

ce qui ne me saoul pas me rend plus sobre .......aux armes colmariens....
     le vieux on est avec toi de tout cœur....tiens le coup guy

#1164

poussin agil a écrit :

peuh peuh peuh on ne touche pas aux nains...................;)

arrete de raconter nain porte quoi ou plutot que porte le nain lol:lol:

les vieux c'est comme un rasoir a deux lames
quand les jambes ne suivent plus
c'est l'experience qui prend le relais

#1165

nain alors ils se rebiffe les razes moquettes !! tongue:P:P

En Normandie, il pleut deux fois par semaine : une fois trois jours et une fois.... quatre jours.

#1166

Défaite 33-12 de nos amis Strasbourgeois en final face à Blagnac dommage mais quel parcour !!!!!!

En Normandie, il pleut deux fois par semaine : une fois trois jours et une fois.... quatre jours.

#1167

c'est vrai magnifique parcours de strasbourg qui chute a la derniere marche , bravo a cette belle equipe

les vieux c'est comme un rasoir a deux lames
quand les jambes ne suivent plus
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#1168

DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL A VIERZON Ne pas se poser de question, agir plutôt que regarder jouer, pour ne rien regretter. Raisonnable ou pas par une chaleur aussi étouffante, les Strasbourgeois ont pris les consignes au mot. Ils ont entamé leur finale pied au plancher. Blagnac s'est retrouvé cantonné dans ses 22 m, soit par les pieds du trio Bonjean, Kriegel, Jursik, soit par une pression permanente. Sur une touche de 60 m obtenue par ce dernier à cinq mètres de la ligne, Nicolas Tisané, comme du pain béni, cueillait le ballon sur lancer adverse. En force, les Bleus remettaient le couvert trois, quatre, cinq fois, jusqu'à propulser Martin Michel derrière la ligne. Qui sait si le doute aurait pu envahir plus encore les esprits haut-garonnais ? Hélas, Guillaume Kriegel ne parvenait pas à se mettre au diapason, échappant la transformation, une pénalité en coin à 45 m et deux tentatives de drop dans les mêmes eaux au cours de la première demi-heure. Qui sait si le doute aurait pu envahir plus encore les esprits haut-garonnais ? Dans les faits, le Racing venait de laisser passer sa chance. Blagnac éteignait peu à peu le feu. Trois incursions lui suffisaient pour prendre les devants sur deux pénalités idéalement placées dont se délectait l'ouvreur David Égéa. Sur la troisième, une faute de main du flanker Serge Jouve sauvait la mise au Racing. Ce ne devait être qu'un sursis. Sur l'action au large suivante, côté strasbourgeois totalement dégarni, l'ailier William Laguerre allait au bout. Le Racing subissait en l'occurrence une triple peine : essai, transformation d'Égéa et, pour une faute sur Laguerre, pénalité de 50 m du buteur blagnacais, touché par la grâce le jour J. Juste avant le repos, des 20 m, celui-ci se frisait les moustaches, aidé en cela par un M. Hadj Bachir, arbitre... de Top 14, sévère au possible avec les Bleus. Au haut niveau, bizarrement, l'effet est presque mécanique. On subit ? Les coups de sifflet pleuvent. Pas de pitié pour les braves. Les degrés au mercure pesaient double sur les râbles alsaciens La tactique ébauché avait fonctionné à merveille. Tant que le Racing parvenaient à priver Blagnac de ballons, tous les espoirs étaient permis. A l'inverse, très vite, ce fut la déferlante. A 5-19, forcément, ce n'était plus la même histoire. Les degrés au mercure pesaient double sur les râbles d'Alsaciens inhabituellement maladroits sur les chandelles, un domaine où Benoît Mahieu excelle d'ordinaire, et les placages. Le carton blanc infligé à César Meilicke (48e') puis la blessure à l'épaule d'Émile Bronquard (62e') n'arrangeaient rien. Exemplaire, le kop bleu, fort de plus d'une centaine d'unités, avait beau continuer à pousser, faisant mieux que soutenir la comparaison avec 300 à 400 blagnacais souvent éteints. Les Strasbourgeois, fidèles à eux-mêmes, avaient beau ne pas abdiquer, ils s'y prenaient de façon désordonnée, chacun son tour, comme le veut souvent la nature humaine quand l'édifice se lézarde. Cette famille en or qui, en quelques mois, a su créer l'événement Par opposition aux entrées et sorties successives pour reposer les organismes côté alsacien, l'ensemble du banc toulousain était lancé dans la fournaise d'un coup d'un seul. Une énorme dose de fraîcheur qui, conjuguée à une seconde exclusion temporaire (Kapseu, 64e'), ne pouvait que porter le coup de grâce. Le 2e ligne marocain Hamid Arif sur groupé pénétrant, puis le centre irlandais Neill O'Brien en bout de ligne, donnaient dès lors à la marque des proportions imméritées pour les Bleus (33-5). Heureusement, servi par Kriegel lancé plein champ, le pilier Armand Kapseu allégeait in extremis la note. Ce n'était que justice pour cette famille en or qui, en quelques mois, a su créer l'événement au sein du rugby alsacien. Le mot de la fin revient aux supporters qui, debout dans les tribunes tout au long des dernières minutes, ont transmis par t-shirts interposés ce message qui est allé droit au cœur des joueurs : « Merci pour cette saison ». Et c'est peu dire. Rémy Sauer

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#1169

Tous les ingrédients sont réunis pour que la fête soit totale. Trop honoré d'accueillir un tel rendez-vous, Vierzon se met en quatre depuis plusieurs jours pour parfaire l'organisation et favoriser la convivialité du moment. A quatre heures d'autoroute à peine, les supporters blagnacais y adjoindront un fort parfum du Sud-Ouest dont se délectera la centaine d'Alsaciens attendue. Ce sont les valeurs humaines, autant que le talent, qui mènent à ce stade de la compétition Oui, ils seront bien autant à braver les tumultes d'une traversée Est-Ouest jamais aisée dans l'Hexagone. Une centaine de fervents supporters du Racing et de l'ovalie en général, partis pour 14 heures de car, 12 heures de voiture ou 10 heures de train dans la journée. Qu'importe. L'événement est trop rare pour le laisser filer sans y avoir goûté. Et puis, le cœur avec lequel les Strasbourgeois ont renversé une situation plus que compromise, dimanche dernier à Dole face à Annecy, a convaincu les plus ronchons. On ne peut résister à l'envie d'accompagner cette formidable bande de potes jusqu'au bout de leur aventure humaine. Car ce sont les valeurs humaines, autant que le talent, qui mènent à ce stade de la compétition. Tant mieux pour le Racing, lequel entend compenser par les premières la différence manifeste entre les deux finalistes sur le papier. Avant sa rétrogradation administrative, Blagnac était encore en Pro D2 voici deux ans. Tous ceux qui sont encore là, soit, à la louche, la moitié de l'effectif, ont connu le second échelon national. Les autres l'ont pratiqué ailleurs. « On ne va pas en plus se mettre la pression » A Gaillac, comme le Molsheimois Nejmi Kara (lire DNA de jeudi), à Auch, Albi ou Mont-de-Marsan. Les plus expérimentés ont carrément humé le Top 14, comme Francis Ntamack, frère de, à Montauban, ou l'autre ex-Strasbourgeois, le demi de mêlée Fabrice Culinat, vice-champion de France en 2000 à Colomiers. Le centre irlandais O'Brien et l'arrière Nassim Arif, international marocain, complètent un ensemble co-entraîné par l'ex-international Arnaud Costes et Olivier Carbonneau, champion d'Europe et quadruple champion de France avec Toulouse. Face à de tels pedigrees, on comprendra le mot d'ordre de la semaine au Racing : décontraction ! « Nous n'avons pas la même expérience, le même vécu qu'eux, résume Philippe Braem. On ne va pas en plus se mettre la pression. » Au cours des derniers jours, le coach s'est évertué à dédramatiser, au point de relâcher autant que faire se peut les entraînements. « J'espère ne pas me tromper, mais il faut bien tenter des choses. Je préfère être c... et avancer qu'intelligent et ne rien faire. » On saura dimanche si l'idée fut la bonne pour tirer le meilleur parti de chaque joueur. « En termes de formation, de culture rugbystique, de qualité, nous ne sommes pas à leur niveau. Pour compenser, on ne peut arriver tétanisé. Nous devons faire ressortir nos propres qualités, jouer sur nos points forts. Je ne veux surtout que nous nous posions des questions, sans quoi nous les regarderons jouer et nous passerons à côté. » L'objectif était surtout d'éviter le scénario de la demi-finale, que certains ont joué avant l'heure au point d'y laisser toute leur énergie. Vendredi soir, l'ensemble du groupe s'est contenté de visionner le quart de finale gagné après prolongations (15-14) par Blagnac contre Lombez-Samatan, où évolue Greg Lavigne, au Racing l'an passé et fournisseur de la cassette. Ça va jouer, encore jouer, et il va falloir cavaler « Lorsqu'on rencontre une équipe de la banlieue toulousaine, il ne peut y avoir de grande surprise, analyse Braem. Ce ne peut être que fort. » Ça va jouer, encore jouer, et il va falloir cavaler. Ce n'est pas la meilleure des nouvelles pour les deux centres, Nicolas Caro et Guillaume Kriegel, diminués l'un par une entorse à la cheville, l'autre par une grosse béquille. Ni pour le pilier droit Armand Kapseu, touché à une côte flottante. Mais comme les autres, ils serreront les dents et laisseront leur cœur sur le terrain une dernière fois. Pour leur entraîneur, pour leurs coéquipiers, ils seraient tous prêts à aller au bout du monde. Là, il s'agit juste de ramener un bouclier en Alsace, 20 ans après. Alors, pourquoi pas ? Rémy Sauer

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#1170

Accession : heures décisives Montera ? Montera pas ? La question reste posée, près d'une semaine après la rencontre entre les dirigeants du Racing et l'adjoint aux sports de la ville de Strasbourg. Le club doit informer la Fédération de sa décision avant demain soir. imprimerenvoyer commenter partager : Rater le train pour 200 à 300 000 €, alors qu'il est en gare, constituerait un gâchis, une occasion manquée de franchir une étape qui pourrait mener loin avec un minimum de volontés communes. Le président Jean-Luc Dubois et son équipe veulent y croire. « On a été écouté, j'espère qu'on a été entendu. » Les dirigeants strasbourgeois, appuyés par le président de la Ligue d'Alsace Armando Cutone, ont présenté un projet quadriennal à l'adjoint au sport, avec une accession en Pro D2 au bout. Un effort substantiel, encore trop juste Sans ambition, on n'avance pas. Et si l'idée peut sembler folle, elle mérite d'être creusée. « La Pro D2, rappelle Jean-Luc Dubois, c'est 2 M€ de droits TV pour les clubs. Mais il faut pouvoir y aller. Pour cela, faut pas rêver, la formation ne suffit pas. Il faut pouvoir recruter. » Il est donc question de lien, de transition à assurer et, dans l'immédiat, d'un budget à boucler. Même si la DNCG (direction nationale de contrôle de gestion) fixe celui-ci dans l'idéal à 1,2 M€ en Fédérale 1, cette saison, la moyenne se situait à 1,02 M€. Le budget prévisionnel du Racing avoisine le million d'euros. A la fois nécessaire et raisonnable. Mais on ne passe pas de 600 000 € à près d'un million par un simple coup de baguette magique. Côté ville, au fil des discussions, la proposition de subvention pourrait être de 300 000 € - avantages en nature compris - au lieu de 160 000 cette saison. Un effort substantiel, appréciable, mais encore trop juste. Compenser les installations obsolètes Les dirigeants strasbourgeois ont fait comprendre à Serge Oehler qu'en l'état il leur était difficile d'exiger plus de la part des partenaires. Pour quelle contrepartie, sachant que les conditions d'accueil demeurent obsolètes à Hautepierre ? Rien n'a bougé depuis des décennies, avec les municipalités successives pour responsables. L'adjoint aux sports a convenu du bien fondé de cet argument. Quelles en ont été les répercussions en haut lieu ? De bonnes nouvelles seraient annoncées pour ce lundi. De quel ordre ? Si, à l'arrivée, le club devait être partant, le capitaine Nicolas Tisané a prévenu hier : « Ce sont les joueurs qui ont obtenu la montée. Le dernier mot leur appartient. » Ils se réunissent demain soir pour peser le pour et le contre. A suivre... R.Sa.

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#1171

Putain tu t'es lâché heureusement qu'il y a la copier coller sinon tu copie le lien et tu te fais pas chier mais c'est coole pour ceux qui ont pas le journal...merci

vivemment qu'on te revois à une 3° mi-temps

#1172

merci moi je l'ai pas

Résolutions.....

#1173

Si quelqu'un a l'adresse mail d'aurell peut il me l'envoyer en MP stp.........

vivemment qu'on te revois à une 3° mi-temps

#1174

p243151 a écrit :

Si quelqu'un a l'adresse mail d'aurell peut il me l'envoyer en MP stp.........

moi j'ai celle de hardy lol:lol::lol:

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#1175

omom67 a écrit :
p243151 a écrit :

Si quelqu'un a l'adresse mail d'aurell peut il me l'envoyer en MP stp.........

moi j'ai celle de hardy lol:lol::lol:

wink

vivemment qu'on te revois à une 3° mi-temps

#1176

@ceux qui ne sont pas au mariage de Fab, il ya un tournoi de rugby à 10 ce samedi à Fribourg. J´en ai fait part à Aurell et au capitaine de la deux sans aucune réponse à ce jour. Le tournoi commence le samedi matin à 10H et devrais se finir aux alentours de 17H. Il y aura ensuite un demi cochon cuit en terre (mode Fidjienne) et le club organisateur demande une participation de 10€ par joueur, sachant que les remplacants ne payent pas. Une caisse de bière sera bien entendu offerte aux participants. Faîtes moi savoir si il y a des intéressés le plus vite possible pour en faire part aux Fribourgeois. Je serai présent au tournoi.

Fédérale 3