Je confirme pour le 19

poussin agil a écrit :

Munkoï a écrit :

"Je serai absent le 19 ... concours de bilboquet artistique"

sorry jeune l'equipe de coupe davis de cassage de glaçons ns a retenu pour le double....

Tu raconte n'importe quoi : je te rappel que la finale à lieu dans la nuit de samedi à dimanche, et non pas dimanche !!

poussin agil a écrit :

Munkoï a écrit :

"Je serai absent le 19 ... concours de bilboquet artistique"

sorry jeune l'equipe de coupe davis de cassage de glaçons ns a retenu pour le double....

j'ai entendu parler de vos exploits... Et j'en suis fier

C´est où l´entraînement ce soir?

Riesling a écrit :

Bonne question !!

Je dirais même qu'elle mérite réponse ! A par l'allemand (apparemment), gymnase ... Sur de rien Coutch ?

Waltz ... Rue Robert shumann

Rugby / Rencontre avec Hervé Heitz (2e ligne, RC Strasbourg) Un pur produit alsacien Originaire de Schaeffersheim, Hervé Heitz a découvert le ballon ovale sur le tard. Mais en bientôt six saisons complètes au Racing, il n'a jamais cessé de suivre une courbe ascendante. Aujourd'hui en Fédérale 1, le deuxième ligne sent qu'il touche ses limites. Zoom sur un homme qui s'est battu pour en arriver là, à trois jours d'un important Bourg - RCS (*). zoom Hervé Heitz : « Je crois que j'ai atteint mes limites ». (Photo DNA - Michel Frison) imprimerenvoyercommenter partager : Hervé Heitz, 24 ans, ne présente pas, à proprement parler, le profil-type du joueur de Fédérale 1. Emploi à plein temps, musculature et technique à parfaire, peu de saisons à son actif (six au terme de cet exercice 2010-2011)... Le deuxième ligne strasbourgeois cumule, à première vue, des handicaps qui, en fait, n'en sont pas. Pas pour lui, en tout cas. « Des jours de repos quand je rentre de déplacement à 2 h 30 du matin... » Né à Schaeffersheim, il fait partie de ces hommes que la difficulté n'effraye pas. « J'ai débuté le rugby au Racing, à l'âge de 18 ans, raconte le Bas-Rhinois. A l'époque, je n'avais pas le permis... J'ai effectué un test et ça m'a plu dès le départ. De nature calme, j'aime m'engager sur le terrain, aller au contact. Pour moi, ce sport représente, encore aujourd'hui, un défouloir total. » Après le coup de foudre, Hervé Heitz s'est donné les moyens d'inscrire dans la durée son histoire d'amour avec le ballon ovale. Au fil des années, il a su concilier études - licence professionnelle « qualité, sécurité, environnement » à Colmar - puis travail - technicien en eau et assainissement à Eckbolsheim - et rugby. « Je possède, en quelque sorte, un double statut, sourit-il. Mais je n'oublie pas non plus ce qui me fait vivre. J'ai la chance d'avoir un patron compréhensif et indulgent, qui me permet de prendre des jours de repos quand je rentre de déplacement à 2 h 30 du matin... » De la réserve du Racing, avec qui il a disputé ses premières rencontres - au prix d'un triple aller-retour hebdomadaire entre Strasbourg et la capitale des Vins d'Alsace, pour participer aussi aux entraînements -, à l'équipe fanion, Hervé Heitz a connu une progression fulgurante. « Le fait de commencer plus âgé que les autres n'a pas constitué un problème, plaide le 2e ligne. Au contraire, cela évite d'acquérir de mauvais gestes délicats à gommer par la suite. J'évolue de surcroît à un poste où l'insertion est assez facile. Je mesure 1,92 m et en juniors, j'étais l'un des plus grands. C'était clairement un avantage sur les touches. En seniors, ça l'est un peu moins... » Le Schaeffersheimois n'a aucune peine à l'avouer : il a senti, personnellement, une nette différence entre la Fédérale 1 et l'étage inférieur. « Le niveau monte énormément, chaque impact est plus dur, confie-t-il. Je crois que j'ai atteint mes limites. » « Avec la volonté, on peut battre des clubs qui ont tout ce qu'ils veulent » Bien qu'en concurrence directe avec Alexandre Giucal et Schoonbee - « ce qui a réduit le nombre de mes titularisations » -, Hervé Heitz s'est promis de ne rien lâcher. « Le rugby n'étant pas mon activité principale, je relativise. J'ai en outre un coach plutôt ouvert, qui a son franc-parler mais qui me permet également de m'exprimer, quand j'ai quelque chose sur le cœur... » En compagnie de Thomas Abbé et Laurent Le Palud, il est l'un des trois Alsaciens pure souche du groupe strasbourgeois. « Et ce n'est pas un défaut, même si nous ne sommes pas issus d'une terre de rugby », insiste le Bas-Rhinois. « Je pense que notre environnement nous rend plus forts. On s'entraîne parfois dans la neige, on ne dispose pas de salle de musculation, mais on a cette volonté qui peut nous permettre de battre des clubs qui ont tout ce qu'ils veulent. Le rugby est un sport où l'on peut perdre en étant meilleur sur le papier. » Et de conclure, sur une boutade en rapport avec le froid : « A l'entraînement, on a le droit de mettre autant de pulls qu'on veut. C'est en match, avec le short, que ça devient plus dur... » Amaury Prieur (*) Le terrain de Hautepierre était transformé en piscine hier. Les dirigeants des deux clubs se sont mis d'accord. La rencontre de dimanche a été inversée et aura lieu à Bourg-en-Bresse