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Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.
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p243151 a écrit :Si ce soir et dimanche vous êtes autant en forme que pour dire des conneries alors là je n'aurai pas de Meaux pour vous féliciter.....
on est juste un peu meaux queur
omom67 a écrit :j'ai pas trouve l'article dans les dna depuis qu'il on refait leur site, tu trouve pas la moitie des articles
DNA >> Sport Local >> Sport Divers Et tous les articles du dimanche sont dans se dossier ! Salutation
le 18/11/2010 05:08 Rugby / Avec Thomas Abbé, avant Montluçon - RC Strasbourg (dimanche 15 h) Du cœur à revendre Il constitue la tête de pont de la filière colmarienne. Voici cinq ans, Thomas Abbé a quitté le Colmar RC pour le Racing, avec réussite. Aujourd'hui, il relève le défi de la Fédérale 1 en rêvant du suivant. Dur au mal, soutenu de très près par sa famille, il est du genre à soulever des montagnes. zoom Thomas Abbé, aussi professionnel et consciencieux dans sa tenue de boucher que sur un terrain de rugby. (Photo DNA - Michel Petry) imprimerenvoyercommenter partager : De tout temps, des Colmariens ont migré à Strasbourg, suscitant la fierté du Colmar RC, ou y provoquant, c'est selon, la soupe à la grimace. Au rang des plus emblématiques, Livio Rossi, Hamid Kebbati et Thomas Abbé se sont succédé. Voilà donc un pur produit du rugby alsacien. « J'ai commencé en poussins. J'avais 7/8 ans. J'allais à l'école Maurice Barrès où un copain de classe m'a parlé de rugby et du CRC. J'ai tout de suite accroché, séduit par la bonne ambiance. » Tout seul ? Enfin si on veut. Thomas fera toutes ses classes sur la pelouse du stade de l'Europe, serti de sa piste d'athlétisme, jusqu'à 20 ans. Une période qu'il n'oubliera pas, lui qui reste Colmarien à la ville. « J'y ai connu toutes les sélections Alsace-Lorraine, en minimes, cadets puis juniors. Ensuite, pour moi le jeunot, ce fut une grande fierté d'évoluer aux côtés des Kempf, Sicre ou Écanville. Ils devaient avoir 35 ans. Des phares pour moi, quand j'étais gamin. » A 20 ans ou presque, le moment était venu de se fixer de nouveaux challenges. « Je suis un compétiteur dans l'âme. J'avais connu la Fédérale 3 pendant deux/trois ans. Yves Fages m'a contacté. Je voulais savoir quel était réellement mon niveau. » Le Racing venait d'être relégué en Fédérale 2. Pour lui, un mal pour un bien. Il n'avait qu'un palier à franchir. « Il a fallu que je m'adapte et gagne ma place. La concurrence était vive, avec notamment César Meilicke en 8. Après c'est venu tout seul. » Tout seul ? Enfin si on veut. C'est venu à force de perforer les défenses, de plaquer, de se donner corps et âme, quitte à y laisser des plumes pour néanmoins remettre l'ouvrage sur le métier le dimanche suivant. Un sens du dévouement exemplaire. Dire qu'en descendant du car en pleine nuit au retour de longs déplacements, il reprend le collier... trois heures plus tard dans sa vie professionnelle. Il sait aussi qu'il n'aura pas à le regretter Et là encore, derrière son étal, à la découpe des porcs, bœufs, agneaux et autres, pas question de faire semblant. A Sundhoffen, dans ce fief du ballon rond, Bernard Jauss n'est pas peu fier de compter dans ses rangs un vice-champion de France de Fédérale 2 de rugby. Son patron, avec lequel le courant passe, comme avec Philippe Braem. Entre hommes de confiance. Ses horaires sont adaptés. « Je travaille de 6 h à 13 h. Mais la période des fêtes approchent. » Avec son lot d'heures supplémentaires jusqu'en fin d'après-midi et d'entraînements qui sauteront. Parfois à sa demande. Mais le plus souvent, c'est le coach lui-même qui, au terme d'une séance, intimera à son fidèle lieutenant de rester chez lui le lendemain soir. « C'est un mec superbe, avec le cœur sur la main », confirme Thomas Abbé. Un mec qui sait aussi qu'il n'aura pas à le regretter. La complicité de sa femme est précieuse L'un dans l'autre, et c'est l'équation difficile du sport amateur de haut niveau, il lui faut concilier rugby, boulot et famille. Un exercice dans lequel la complicité de sa femme est précieuse, pour ne pas dire capitale. « Je crois qu'il n'y a pas beaucoup de mecs qui ont cette chance. Elle savait où elle mettait les pieds. Quand nous nous sommes rencontrés, j'ai mis les choses au clair. Elle a dit O.k. C'est vrai qu'elle aime le sport. Son frère est footballeur. » Lors de ce mois de juin béni ayant mené à la Fédérale 1, Christelle, mais aussi Esteban, 6 ans, et Timéo, 4 ans, à l'enthousiasme communicatif, ont été de toute l'aventure, de Châlons à Vierzon, en passant par Chagny, Montchanin et Dole. Il en va ainsi tout au long de la saison, à Hautepierre. Le mari, le papa, en tire une force supplémentaire. De celle qui, outre les liens forts qui unissent les joueurs, lui fait croire en l'avenir, même avec la mission impossible qui attend les siens dimanche à Montluçon. « Nous avançons. A partir de janvier, ça va payer. » De celle qui, dans la perspective d'un maintien bien sûr, l'inscrive sereinement dans le projet du club. Le rêve de Pro D2 ne l'effraye pas. « On a toujours envie de voir comment ça se passe au-dessus. » « Compétiteur dans l'âme », avait-il dit... Rémy Sauer
Munkoï a écrit :omom67 a écrit :j'ai pas trouve l'article dans les dna depuis qu'il on refait leur site, tu trouve pas la moitie des articles
DNA >> Sport Local >> Sport Divers Et tous les articles du dimanche sont dans se dossier ! Salutation
merci petit scarabee
omom67 a écrit :Munkoï a écrit :omom67 a écrit :j'ai pas trouve l'article dans les dna depuis qu'il on refait leur site, tu trouve pas la moitie des articles
DNA >> Sport Local >> Sport Divers Et tous les articles du dimanche sont dans se dossier ! Salutation
merci petit scarabee
De rien, honorable vieillard (et ne dit pas que tu ne m'a pas tendu la perche )
Munkoï a écrit :omom67 a écrit :Munkoï a écrit :DNA >> Sport Local >> Sport Divers Et tous les articles du dimanche sont dans se dossier ! Salutation
merci petit scarabee
De rien, honorable vieillard (et ne dit pas que tu ne m'a pas tendu la perche )
no problemo mais ce matin et a cause de mon grand age, je me suis leve avec des meaux de tete :D
Demain MEAUXTIVÉ MEAUXTIVÉ, il faut se MEAUTIVÉÉÉ !!
Riesling a écrit :Demain MEAUXTIVÉ MEAUXTIVÉ, il faut se MEAUTIVÉÉÉ !!
Et pas en retard à la gare.....
p243151 a écrit :Riesling a écrit :Demain MEAUXTIVÉ MEAUXTIVÉ, il faut se MEAUTIVÉÉÉ !!
Et pas en retard à la gare.....
oui pas de retard car la loco meaux tive n'attend pas :lol:
arretez de faire vos meaux rice :lol:
ne soyez pas meaux dit ramenez nous la victoire
En parlant de malédiction ...
18- 16 pour la 1 et 10-15 pour la B !!!
L'Alsace de se jour ... Fédérale 3 Cruelle défaite Meaux — Colmar 18-16. Mi-temps : 3-10. Arbitre : M. Royer (Bourgogne). Spectateurs : 100 environ. Temps pluvieux. Meaux : essais : Soudan (51 e), Habib (78 e) ; transformation : Habib (52 e) ; pénalités : Ezaru (10 e), Habib (55 e). Colmar : essais : essai collectif (13 e), Benoist (25 e) ; pénalités : Colotte (54 e et 69 e). Colmar : Gasser, Demouge, Lecacheux, Benoist, Heymans, Coitg, Steib, Grandemange, Brech, Munshi, Pollonni, Lolotte, Judith, Stoll, Deleglise. Sont entrés en jeu : Spanagel, Compagnat, Salomon, Zammer, Vollerin. Les Alsaciens sont passés tout près de leur 1 re victoire de la saison. Menant à deux minutes de la fin, Colmar a fini par craquer et encaisse là sa 7 e défaite en autant de matchs joués. Petite consolation néanmoins avec le gain du 1 er point grâce au bonus défensif. Le début de match était difficile pour les deux équipes, chacune commettant des erreurs dues à un terrain glissant. Les locaux ouvraient le score grâce à une pénalité d’Ezaru (3-0). Colmar ne tardait pas à réagir et sur sa 1 re action franche, inscrivait un essai grâce à une action menée par les avants (3-5). Sous pression, la défense colmarienne commençait à subir les assauts franciliens et concédait deux nouvelles pénalités. Mais le buteur de Meaux connaissait deux échecs. Les Colmariens affichaient un réalisme stupéfiant en inscrivant un 2 e essai sur leur 2 e véritable occasion par Benoist. Munschi ratait une nouvelle fois le cadre (3-10). De retour sur le terrain, le Francilien Soudan profitait des errements défensifs et d’un rebond à son avantage pour inscrire le 1 er essai de son équipe entre les poteaux, facilitant la transformation de Habib (10-10). Mais l’Alsacien Colotte réussissait une pénalité qui permettait à Colmar de repasser devant (10-13). De courte durée puisque dans la minute suivante, Habib lui répliquait (13-13). À dix minutes de la fin, les visiteurs obtenaient une nouvelle pénalité et Colotte inscrivait trois nouveaux points cruciaux (13-16). Sur une mêlée à cinq mètres en faveur de Colmar, les Parisiens menaient toutefois un contre foudroyant et Habib inscrivait l’essai en bout de course (18-16). Malgré une dernière pénalité de 45 mètres s’échouant devant les poteaux à la dernière seconde, les Alsaciens pouvaient être abattus par ce résultat final, même si le contenu de ce match est encourageant pour la suite. Claude Moreau