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Rappelons toutounefois que cette modification a été faite sous l'ère Mitterand. Nous aura fait chier jusqu'au bout celui là.
olivier a écrit :Rappelons toutounefois que cette modification a été faite sous l'ère Mitterand. Nous aura fait chier jusqu'au bout celui là.
Même au delà... apparement !
RCT-10 a écrit :olivier a écrit :Rappelons toutounefois que cette modification a été faite sous l'ère Mitterand. Nous aura fait chier jusqu'au bout celui là.
Même au delà... apparement !
ça dépend le bout de qui
captainchoc a écrit :Claude a écrit :LOUIS2 a écrit :Claude, si je peux me permettre : Leur donnait des oeufs, hier
Don't understand, sorry ! Pour les puristes Nicht verstanden, entschuldigung.
Je pense que Louis2 a un peu transformé des mots de ta dernière phrase adressée à Armand V.
Ce Louis II il rêvait d' être secrétaire de mairie au Martinet, il a fini cantonnier au Marron, c'est ce qui explique sa dérive philologique.
Claude a écrit :Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
Agréable à lire en tout cas ...
olivier a écrit :Rappelons toutounefois que cette modification a été faite sous l'ère Mitterand. Nous aura fait chier jusqu'au bout celui là.
C’était sous une autre R ...................
Armand v. a écrit :captainchoc a écrit :Claude a écrit :Don't understand, sorry ! Pour les puristes Nicht verstanden, entschuldigung.
Je pense que Louis2 a un peu transformé des mots de ta dernière phrase adressée à Armand V.
Ce Louis II il rêvait d' être secrétaire de mairie au Martinet, il a fini cantonnier au Marron, c'est ce qui explique sa dérive philologique.
Louis II ça doit être un converti à la langue de Molière, c'est pas possible ! Il voit des fautes d’orthographe là où il y a, à peine, une faute de frappe ! le relou fini ! Et pis, pour donner son nom à un stade... faut avoir un bourrichon gros comme ça !
Xicon64 a écrit :Claude a écrit :Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
Agréable à lire en tout cas ...
Ben relit le.... n'hésite pas à utiliser ton onguent préféré...le cas échéant !
RCT-10 a écrit :Xicon64 a écrit :Claude a écrit :Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
Agréable à lire en tout cas ...
Ben relit le.... n'hésite pas à utiliser ton onguent préféré...le cas échéant !
Attention, le relou relit
RCT-10 a écrit :Armand v. a écrit :captainchoc a écrit :Je pense que Louis2 a un peu transformé des mots de ta dernière phrase adressée à Armand V.
Ce Louis II il rêvait d' être secrétaire de mairie au Martinet, il a fini cantonnier au Marron, c'est ce qui explique sa dérive philologique.
Louis II ça doit être un converti à la langue de Molière, c'est pas possible ! Il voit des fautes d’orthographe là où il y a, à peine, une faute de frappe ! le relou fini ! Et pis, pour donner son nom à un stade... faut avoir un bourrichon gros comme ça !
Louis II, le bas Varois, khôno !
Armand v. a écrit :RCT-10 a écrit :Armand v. a écrit :Ce Louis II il rêvait d' être secrétaire de mairie au Martinet, il a fini cantonnier au Marron, c'est ce qui explique sa dérive philologique.
Louis II ça doit être un converti à la langue de Molière, c'est pas possible ! Il voit des fautes d’orthographe là où il y a, à peine, une faute de frappe ! le relou fini ! Et pis, pour donner son nom à un stade... faut avoir un bourrichon gros comme ça !
Louis II, le bas Varois, khôno !
Malheureusement, que trop peu souvent
LOUIS2 a écrit :Armand v. a écrit :RCT-10 a écrit :Louis II ça doit être un converti à la langue de Molière, c'est pas possible ! Il voit des fautes d’orthographe là où il y a, à peine, une faute de frappe ! le relou fini ! Et pis, pour donner son nom à un stade... faut avoir un bourrichon gros comme ça !
Louis II, le bas Varois, khôno !
Malheureusement, que trop peu souvent
C'est ce qui t'a rendu timbré ?
Armand v. a écrit :RCT-10 a écrit :Armand v. a écrit :Ce Louis II il rêvait d' être secrétaire de mairie au Martinet, il a fini cantonnier au Marron, c'est ce qui explique sa dérive philologique.
Louis II ça doit être un converti à la langue de Molière, c'est pas possible ! Il voit des fautes d’orthographe là où il y a, à peine, une faute de frappe ! le relou fini ! Et pis, pour donner son nom à un stade... faut avoir un bourrichon gros comme ça !
Louis II, le bas Varois, khôno !
Ludwig quoi Si visconti para bel homme.
Claude a écrit :Armand v. a écrit :RCT-10 a écrit :Louis II ça doit être un converti à la langue de Molière, c'est pas possible ! Il voit des fautes d’orthographe là où il y a, à peine, une faute de frappe ! le relou fini ! Et pis, pour donner son nom à un stade... faut avoir un bourrichon gros comme ça !
Louis II, le bas Varois, khôno !
Ludwig quoi Si visconti para bel homme.
Superbe ce film ( qui ne m'a pas rendu Wagner plus sympathique ). Superbe comme tous les films de Visconti d'ailleurs.