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arnaud anguera a écrit :
Ha!! ben on va vraiment passer pour des beaufs avec ça!!!
Xicon64 a écrit :arnaud anguera a écrit :Ha!! ben on va vraiment passer pour des beaufs avec ça!!!
Nous ? NON Toi ???????
Cette "alerte-réforme-de-merde" tout flan(bi) qu'elle a été, a eu le mérite d'inciter à la créativité..
Bartassaïre a écrit :Cette "alerte-réforme-de-merde" tout flan(bi) qu'elle a été, a eu le mérite d'inciter à la créativité..
Tres franchement,je pense qu'il y a vraiment,mais vraiment bien plus urgent à faire que de s'occuper d'une reformette à la con sur le vocabulaire... le principe de tout ça c'est des écrans de fumées bien opaques pour masquer l'essentiel,l'incompétence notoire et définitif des gouvernements actuels ,le tout bien orchestré par des journaleux à la botte du pouvoir je dirais meme des pouvoirs...!! bouffer à la gamelle,c'est ça le journalisme actuel!!
Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
Déjà, si à la base il n'était pas question de "s'étriper", mais parvenir à échanger, s'ouvrir à la discussion pour au final dialoguer; personne ne se sentirait en nécessité de maltraiter les diptères. "Quand l'ego s'affirme, les ergots s'affutent". (ce n'est pas du Grégoire IX, ni dans la bulle Vox in Rama) & par l'action du pet-troll, le nuage de la pensée devient enfumage
Claude a écrit :Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
Non, maintenant, on doit écrire : Je ne suce donc jamais.
Elle a bien fait la secrétaire de mairie, elle n' a fait qu' appliquer le bon vieil adage de Victor Hugo : " La forme, c'est le fond qui remonte à la surface ". Epicetou !
Claude a écrit :Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
S'enfumer, c'est pabien. En appeler 'alla' n'est pas des + pertinents, non plus, par les temps qui courent. Le reste, g pâ pigé, ya dé con jus gai zon ke ge kon né pas.
Bartassaïre a écrit :Claude a écrit :Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
S'enfumer, c'est pabien. En appeler 'alla' n'est pas des + pertinents, non plus, par les temps qui courent. Le reste, g pâ pigé, ya dé con jus gai zon ke ge kon né pas.
Je n'en attendais pas moins d'Armand. Je voulais juste exprimer que pour certains la maîtrise de l'orthographe leur donne des oeillères et que c'est dommage. Pour eux !
Claude a écrit :Bartassaïre a écrit :Claude a écrit :Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
S'enfumer, c'est pabien. En appeler 'alla' n'est pas des + pertinents, non plus, par les temps qui courent. Le reste, g pâ pigé, ya dé con jus gai zon ke ge kon né pas.
Je n'en attendais pas moins d'Armand. Je voulais juste exprimer que pour certains la maîtrise de l'orthographe leur donne des oeillères et que c'est dommage. Pour eux !
Claude, si je peux me permettre : Leur donnait des oeufs, hier
LOUIS2 a écrit :Claude a écrit :Bartassaïre a écrit :S'enfumer, c'est pabien. En appeler 'alla' n'est pas des + pertinents, non plus, par les temps qui courent. Le reste, g pâ pigé, ya dé con jus gai zon ke ge kon né pas.
Je n'en attendais pas moins d'Armand. Je voulais juste exprimer que pour certains la maîtrise de l'orthographe leur donne des oeillères et que c'est dommage. Pour eux !
Claude, si je peux me permettre : Leur donnait des oeufs, hier
Don't understand, sorry ! Pour les puristes Nicht verstanden, entschuldigung.
Claude a écrit :Bartassaïre a écrit :Claude a écrit :Il me revient, à retardement (le début de la fin déjà ?), une anecdote datant d'une bonne quinzaine d'années. Les élèves des Moussières, Les Bouchoux, La Pesse avaient participé à un projet sur l'eau sous toute ses formes avec un séjour en classe transplantée à l'issue de laquelle une exposition avait été réalisée. Les élèves avaient vraiment bossé et proposé des choses intéressantes. Lors de l'inauguration, Mme V s'approcha de moi, consternée : un élève des Moussières où elle habitait avait fait une faute dans son exposé. Vous comprenez, en tant qu'ancienne secrétaire de mairie... Dans le tumulte et le brouhaha des sollicitations, l'échange n'alla pas plus loin. Je n'eus pas le loisir de la questionner sur le contenu. Aujourd'hui encore je me demande ce qui la motiva. Regretter l'époque bénie où tout le monde écrivait sans faute, constater avec dépit que tout fout le camp, déplorer que les enseignants aient laissé passer une faute, qu'elle, secrétaire de mairie, avait vu. Je ne sus donc jamais son avis sur le contenu mais c'est bien de la forme dont elle choisit de me parler. Avant toute chose. Cette orthographe que peu possèdent finalement est donc un totem sacré. Qui prime sur tout, vous catalogue en deux accents trois accords tout individu. L'orthographe fait l'homme. Au point de faire perdre tout accès au travail réalisé, au coeur mis. Comment s'étonner alors que pour quelques accents circonflexes nous nous étripions. Si la volonté de l'écran de fumée est réelle (elle reste à démontrer) elle n'a pas besoin de la complicité des journalistes. Nous sommes suffisamment atteints pour nous enfumer sans eux.
S'enfumer, c'est pabien. En appeler 'alla' n'est pas des + pertinents, non plus, par les temps qui courent. Le reste, g pâ pigé, ya dé con jus gai zon ke ge kon né pas.
Je n'en attendais pas moins d'Armand. Je voulais juste exprimer que pour certains la maîtrise de l'orthographe leur donne des oeillères et que c'est dommage. Pour eux !
C' est l'homme de la pampa qui se vautre dans la phonétique, pas moi Je ne veux pas porter porter le chapeau pour ce sombre héros des rôts et des rots de l'Hérault.
Claude a écrit :LOUIS2 a écrit :Claude a écrit :Je n'en attendais pas moins d'Armand. Je voulais juste exprimer que pour certains la maîtrise de l'orthographe leur donne des oeillères et que c'est dommage. Pour eux !
Claude, si je peux me permettre : Leur donnait des oeufs, hier
Don't understand, sorry ! Pour les puristes Nicht verstanden, entschuldigung.
Je pense que Louis2 a un peu transformé des mots de ta dernière phrase adressée à Armand V.
Dernière modification par captainchoc (18/02/2016 09:14:48)