olivier a écrit :

papajoxet a écrit :

Si ça peut aider

Je suis désolé, mais se dire nutrioniste, faire l'apologie du lait en ciblant uniquement la teneur en calcium de celui-ci, sans parler des graisses saturées et autres substances qui te font du mal, c'est quand même un parti pris loin de la réalité. D'autre part, l'absorption de lait animal a un très faible impact sur la prévention de la décalcification osseuse. En revanche, les acides gras saturés font beaucoup plus de dégats sur l'organisme (choléstérol LDL-C notamment). Elle ne cite que l'orange et le chou pour dézinguer le calcium d'origine végétal, elle oublie tous les légumes verts (qui eux ne contiennent pas de graisses saturées), avec des taux d'absorption intestinale de plus de 50% lorsque le calcium du lait n'est absorbé qu'à 30%. Donc argument bidon.

Change de lecture Olive, le lait entier peut présenter des danger, mais pas le 1/2 écrémé et encore moins l'allégé.L'alcool que tu consommes t'apporte d'avantage de cholestérol que kekes produits laitiers en quantité raisonnable. namaste

olivier a écrit :

Sauf que l'alcool n'est pas vendu aujourd'hui comme un bienfait pour l'organisme alors que le lait oui. Ce qui me dérange au-delà d'être une industrie violente et en manque d'éthique, c'est qu'il y a quand même un débat controversé qui est du même ordre que les OGM sur les bienfaits du lait animal. Calcium ? Ça marche pas. On en revient donc au fait de torturer des animaux pour notre propre plaisir et au fond, c'est ça qui ne vous plait pas d'entendre. Vous dites que je veux vous interdire de tout, c'est faux, je n'ai pas clamé cela, je vous explique simplement la façon dont se passent les choses et les impacts que ça peut avoir sur le monde. Le même discours sur l'exploitation humaine vaudra à son auteur le qualificatif d'humaniste. Faites la même chose avec l'exploitation animale vous devenez extrémistes. L'homme a perdu son universalité de bonté et se cache derrière des démarches égoïstes afin de remplir sa case plaisir, parce que dans le fond, l'homme occidental n'en a rien à faire de la misère qu'elle soit humaine ou non-humaine. A la fin, ce sont juste de petites actions pour se donner bonne conscience mais jamais une réflexion de fond.

Je souscris totalement à ton propos.

J'ai pris une recette basique de crêpe, et pour chaque ingrédient j'ai tapé "danger xxx" sur google. 6 ingrédients, 6 bonnes raisons de mourir, sans compter la septième "mourir de rire" 250 g de farine 4 oeufs 1/2 l de lait 1 pincée se sel 2 cuillères à soupe de sucre 50 g de beurre fondu 6 ingrédients, 6 bonnes raisons de mourir, et encore là on n'a pas parler de la condition animale..... Ben moi je pense qu'en dehors du fait qu'il ne devrait plus y avoir depuis longtemps un seul breton vivant s'il y avait autre chose que des conneries dans les élucubrations des gourous de la diététique, ces gourous sont plus dangereux que Daesch pour la survie de l'homo occidentalis tant ils lui sapent le moral de façon permanente en répandant un catastrophisme ambiant capable de rendre parano le ravi de la crèche. Et qui dit grosse déprime dit moindre défense contre toutes les merdes qui se présentent.....

De toute façon je pense qu'il est très difficile de changer ses habitudes alimentaires. A moins d'y être contraint par nécessité, obligation ou philosophie. Les habitudes, la culture, le plaisir nous conditionnent. Après il y a les prises de conscience qui sont purement intellectuelles. Bien se connaître, savoir ce qui est bon pour soi n'est pas si simple. On peut très bien se poser des questions, sans pour autant être sous la coupe de doctrines ou de gourous. C'est pour ça qu'il est toujours intéressant de lire ce qui s'écrit sur le sujet. Sans tout prendre pour argent comptant. Je connais deux personnes atteintes de cancers qui récidivent et qui m'expliquent comment d'autres médecines, une autre façon de se nourrir en complément des soins conventionnels reçus à l'hôpital leur permettent de se sentir mieux. Pour ma part, jamais de lait si ce n'est un peu de fromage et quelques yaourts de ci de là. Des légumes frais et secs selon la saison. Des fruits tout le temps. Peu de sauces, quasiment jamais de trucs tout prêts. Cela ne m'empêche pas d'aller manger au resto du coin,comme hier à midi parce que j'avais un coup de blues, un faux filet morilles-crème-champignons.:D Faut juste être conscient de ce qu'on fait. Pour soi et à une échelle plus large. Oui je participe à la torture animale. Je pollue dès que je prends ma voiture. Je prends des douches de 15 minutes parce que j'aime la thalasso à domicile. Je ne consomme pas toujours de manière éclairée. J'essaie de réfléchir à ce que je fais. Pas toujours parce que je suis humain. Je ne me sens menacé ni par les vegan, ni par les diététiciens.

Bartassaïre a écrit :

"Après il y a les prises de conscience qui sont purement intellectuelles" Quand elles ne sont purement intellectuelles, elles sont empiriques ?

Je n'en sais rien je voulais juste exprimer l'idée que dans cette histoire il y a une sorte de lutte entre le coeur et la raison.:D

Bernard a écrit :

Bin oui, encore une fois, individuellement, a part faire au mieux selon sa conscience et ses moyens, que faire? Après collectivement c'est autre chose, difficile de fédérer sur des causes qui au jour d'aujourd'hui peuvent sembler futiles ou incompréhensibles au plus grand nombre.

Individuellement ce n'est déjà pas si simple de se libérer de certaines croyances et de certaines habitudes. Collectivement n'en parlons pas.

Claude a écrit :

De toute façon je pense qu'il est très difficile de changer ses habitudes alimentaires. A moins d'y être contraint par nécessité, obligation ou philosophie. Les habitudes, la culture, le plaisir nous conditionnent. Après il y a les prises de conscience qui sont purement intellectuelles. Bien se connaître, savoir ce qui est bon pour soi n'est pas si simple. On peut très bien se poser des questions, sans pour autant être sous la coupe de doctrines ou de gourous. C'est pour ça qu'il est toujours intéressant de lire ce qui s'écrit sur le sujet. Sans tout prendre pour argent comptant. Je connais deux personnes atteintes de cancers qui récidivent et qui m'expliquent comment d'autres médecines, une autre façon de se nourrir en complément des soins conventionnels reçus à l'hôpital leur permettent de se sentir mieux. Pour ma part, jamais de lait si ce n'est un peu de fromage et quelques yaourts de ci de là. Des légumes frais et secs selon la saison. Des fruits tout le temps. Peu de sauces, quasiment jamais de trucs tout prêts. Cela ne m'empêche pas d'aller manger au resto du coin,comme hier à midi parce que j'avais un coup de blues, un faux filet morilles-crème-champignons.:D Faut juste être conscient de ce qu'on fait. Pour soi et à une échelle plus large. Oui je participe à la torture animale. Je pollue dès que je prends ma voiture. Je prends des douches de 15 minutes parce que j'aime la thalasso à domicile. Je ne consomme pas toujours de manière éclairée. J'essaie de réfléchir à ce que je fais. Pas toujours parce que je suis humain. Je ne me sens menacé ni par les vegan, ni par les diététiciens.

Des morilles vivantes ??? Aaah mon Dieu, kelle horreur !!!