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Tu parles de xixon ?
Oh putain, le bordel ! J'ouvre un sujet pour qu'on se fende un peu la pipe..... et voilà-t-y pas qu'Olivier se prend pour Victor Hugo depuis qu'il a lu "Année funeste" à Aubin Résultat, suicide collectif sur RF, ce soir je me demande s'il restera assez de forumeurs pour faire un tarot ! ASMissimo, par pitié, viens nous faire rire, y a plus de Prozac en pharmacie
olivier a écrit :Tu parles de xixon ?
Non, de Merjac, parce que l'année ou nous avons rencontré Castanet en Playdown, nous nous étions salués et cette rencontre sympathique (comme bien d'autres) illustre bien ton propos, qu'il donne un avis différents sur un sujet il ne mérite pas pour autant de se faire envoyer bouler, enfin c'est mon avis, qui n'engage que moi étant bien d'accord sur le fait que les rencontres faites grâce à RF permettent souvent un dialogue plus nuancé. Bises les gros.
Je pense que Merjac ne parle pas le Decazevillain. Quand La Sup dit : Est ce bien nécessaire ??? Que dire à un mongolien qui réfute le règlement de la fédé ? Mais qui s'en sert si le besoin s'en fait sentir ! Il voulait dire en Castagnette : Pour compléter ma réponse, je voulais dire à mon sympathique interlocuteur qu'il ne doit pas ignorer le règlement fédéral car il se pourrait qu'il en ait besoin un jour. Pareil pour Merjac, quand il écrit en castagnette : Restez poli dans votre commentaire cher monsieur,je n'ai agressé personne,je ne fais que constater,le mieux c'est de supprimer carément les mélées et de jouer tout simplement à la baballe..... Il voulait dire en Decazevillain : Ferme ton clapmerde, je t'ai pas insulté, pauvre tache, si t'aime pas que les gros se futent dessus, t'as qu'à faire du rugby féminin ! C'est un problème de préhension.
.Pas mieux !
la sup a écrit :.Pas mieux !
Serait-ce volontairement qu'Olivier a "oublié" le préfixe à préhension ?
olivier a écrit :Parce qu'on m'en a reparlé ce weekend, petit souvenir avant le match retour Laissez moi vous conter une histoire. Une histoire qui vous replongera dans les rêves de ce rugby que l’on aime. De ce rugby où les anecdotes font l’histoire, et l’histoire développe l’amour d’une ville pour son club. Cette histoire est celle d’un club né de la mine et qui a su grandir pour devenir éternel au sein d’une ville qui compta en son temps, plus de 15 000 habitants et 6000 aujourd’hui. C’est un rugby fait de vaillance, d’honneur, de tradition et de transmission des valeurs, qui garde le côté coquin propre à chaque joueur dont l’identité même révèle cette ambiguïté entre la loyauté et la liberté. La loyauté, dans ce sport, est la valeur qui fait grandir, qui fait que chaque personne peut se regarder dans la glace le matin. Mais c’est aussi la loyauté envers les valeurs que sont la fraternité, la camaraderie, le don de soit et le respect des anciens. A Decazeville, cette loyauté fait foi, c’est celle des joueurs envers les habitants et celle des habitants envers le club. La mémoire collective n’est pas une leçon, elle est devenue une force. Lorsque vous rentrez sur le terrain, il y a les fantômes des gueules noires sous la chaleur des hauts fourneaux. Les âmes du passé hantent les tribunes et les vestiaires. Tout le monde pousse en mélée, tout le monde rit aux victoires et pleure aux défaites. La liberté, c’est celle de la rébellion, comme l’année du titre où la FFR s’en prenait au club. On retrouvera cet esprit pendant l’hiver 61/62 où 1500 mineurs ont fait grève en restant 2 mois dans la mine. C’est aussi la liberté de vivre et de faire ce que l’on veut, de jouer avec un plâtre, d’une belle mort dans les tribunes un jour de finale, de transformer l’entrainement en chasse au lièvre et de le déguster ensemble. Etre decazevillois, c’est être libre. De surcroît, si vous passez par là, vous vous laisserez séduire par l’accueil et la gentillesse des gens. Comme un paradoxe des sentiments, plus le travail y a été pénible, dangereux et exténuant, plus les gens, à l’instar des corons vous ouvrent leur coeur. Ils ne vous connaissent pas, les Robert, les Joël et les Nathalie, les Momo et les Lolo, les Christian, les Philippe, les Jean-Luc, sans compter les 200 bénévoles qui se sont proposés sans qu’on leur demande… Et pourtant, pas d’à priori, on vous accepte tels que vous êtes autour d’un verre consigné de l’amitié. Le problème est que tout le monde veut vous offrir un verre et qu’à l’arrivée, les brumes de l’alcool vous ramènent à la simplicité de la vie et du partage. Dimanche soir, un spectacle était organisé avec la diffusion d’un film sur le centenaire du club. Nous les gars de la ville, on se disait : encore un film réalisé avec les moyens du bord qui sera bien sympathique. Nous avons simplement pris une grosse claque de bonheur et à l’heure où j’écris ces lignes, j’en ai encore des frissons. Je revois ces anciens nous conter l’histoire du club, la création qui se décide en 5 minutes, les difficultés à trouver un terrain. Puis 5 minutes d’images des équipes sur le son des cornemuses… L’émotion monte dans le stade, certains reconnaissent leurs anciens et les applaudissent, quelques petits rires se font discrets sur le jeu des acteurs hésitants, mais au combien attachants. Les regards… Ces regards de vieux comblés par une vie dédiée à la ville et au club. Et puis le titre de champion de 1937 qui apparait en apothéose accompagné de feux d’artifice, les applaudissements de l’audience et des images, encore des images de liesse dans les rues de la ville lors des grands moments, les derbys, les photos en noir et blanc des anciens et enfin l’avenir avec les minots ballons en main qui assurent l’avenir. Et à la fin, après tellement d’applaudissements, la tribune se met à chanter en l’honneur de tout ce qui s’est fait. Car Decazeville, ce n’est pas le passé, c’est l’avenir du rugby. Quand l’argent ne sera plus là pour assurer la mégalomanie de certains clubs, il restera ces clubs, aux couleurs et aux noms inchangés, ces clubs dont les instants de gloire éphémères permettent de les situer sur une carte et d’imposer le respect. Alors effectivement, aujourd’hui c’est Decazeville, mais regardez autour de vous, il y a des clubs, qui avec peu de moyens font vibrer les poteaux chaque dimanche sans pour autant faire parler d’eux à longueur d’année. Prenez les temps d’aller boire une bière avec les bénévoles, partagez les repas, bougez et continuez à faire vivre le rugby que l’on aime. Ne restez pas trop sur le forum, prenez rendez-vous entre supporteurs lors des matches, ripaillez, chantez, applaudissez, buvez les verres de l’amitié, au diable les règles, soyez libres de vivre tant que vous le pouvez ! C’est le message simple que m’ont rappelé mes amis decazevillois ce weekend. Je suis sur que ceux qui m’ont accompagné ce weekend ont aujourd’hui une place en bleu et blanc dans le coeur.
Dans la lignée du texte que tu avais écrit après le 100tenaire . Mais c'est comme la soupe de campagne, c'est encore meilleur réchauffé.
C'est LE texte...
la sup a écrit :C'est LE texte...
et d'après toi, pourquoi je parle de la soupe de campagne ?
2.28 fois - que la sup a écrit :la sup a écrit :C'est LE texte...
et d'après toi, pourquoi je parle de la soupe de campagne ?
A cause des légumes ?
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et d'après toi, pourquoi je parle de la soupe de campagne ?
Ah oui, t'as raison...
la sup a écrit :2.28 fois - que la sup a écrit :la sup a écrit :C'est LE texte...
et d'après toi, pourquoi je parle de la soupe de campagne ?
Ah oui, t'as raison...
Ca sent le réchauffé "Olive" mais c'est beau loin mais beau et ne pas confondre Mineur et Nîmeur A Decaze ils sont riches !! ( plus qu'à Viviez ou Carmaux )
Oui, mais moins qu'à Nîmes... Epi, même dans un trou perdu au Sahara, ils sont plus riches qu'à Viviez !
Dernière modification par la sup (29/04/2015 19:30:21)
Armand v. a écrit :la sup a écrit :.Pas mieux !
Serait-ce volontairement qu'Olivier a "oublié" le préfixe à préhension ?
"Qu'on" ..............se le dise une bonne fois pour toute. Article 1 : le chef a toujours raison. Article 2 : en cas de doute, se référer à l'article 1 Donc, il n'a pas omis ! Il a généreusement laissé le préfixe en libre circulation pour ceux qui pourraient se sentir .............."cernés".