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Attention : retrouvez les sujets de vos équipes préférées dans le forum clubs.

Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.

3° mi-temps

Le 2 Mai La Sup débarque à Nîmes et le 17 à Gaillac !

#365

kelval a écrit :
olivier a écrit :
kelval a écrit :

Les voyous qui reçoivent la France profonde, ça promet!

Voyous, c'est vite dit. A l'aller, c'est Decaze qui déclenche.

Certainement suite à une provocation Nîmiste!

désolé, à la vitesse où l'on a enchainé les temps de jeu, on n'avait pas le temps de provoquer !

#366

Mais c'est qu'il me prendrait au sérieux! Allons, allons messieurs! J'attends mieux de vous!

#367

kelval a écrit :

Mais c'est qu'il me prendrait au sérieux! Allons, allons messieurs! J'attends mieux de vous!

Il n'y a qu' Olivier qui te prend au sérieux, l'atavisme d'une éducation luthérienne ! A moins qu'il n'ait fait des progrès et qu'il te chambre dans le même voyage que les 12istes. A toi de voir.

C'était mieux au stade de l'Isle.

 

#368

Ataviste toi-même, et puis j'ai rien d'un luthier moi môssieu. Mais j'aime bien faire peur à Kelval. Autre chose, tu remarqueras qu'aucun Decazevillain n'est venu contredire mes propos sur ceux qui ont déclenché. Comme quoi...

#369

Je ne savais pas qu'Olivier avait fréquenté les caveaux de St Germain des Prés de la grande époque c'est peut être là qu'il a connu Claude ?

fidèle supporter de la tribune NORD de l'USM ( celle ou l'hiver nous ne sommes que 4 ou 5) peu mais de qualité, le froid conserve. ALLEZ LES PETITS VERTS

#370

olivier a écrit :

Ataviste toi-même, et puis j'ai rien d'un luthier moi môssieu. Mais j'aime bien faire peur à Kelval. Autre chose, tu remarqueras qu'aucun Decazevillain n'est venu contredire mes propos sur ceux qui ont déclenché. Comme quoi...

Je remarque que tu es intervenu lorsque j'ai traité les Nîmistes de voyous, mais pas quand j'ai traité les Decazevillains de bouseux... Deux poids deux mesures, à ce que je vois!

#371

normandsavoie a écrit :

Je ne savais pas qu'Olivier avait fréquenté les caveaux de St Germain des Prés de la grande époque c'est peut être là qu'il a connu Claude ?

Non, c'est un yéyé, Olivier. Olivier-ier. Ca je sais qu'il va faire "pfffffffffffffffffff" , alors j'y vais gaiement big_smile

C'était mieux au stade de l'Isle.

 

#372

Pfffffff !

#373

Parce qu'on m'en a reparlé ce weekend, petit souvenir avant le match retour Laissez moi vous conter une histoire. Une histoire qui vous replongera dans les rêves de ce rugby que l’on aime. De ce rugby où les anecdotes font l’histoire, et l’histoire développe l’amour d’une ville pour son club. Cette histoire est celle d’un club né de la mine et qui a su grandir pour devenir éternel au sein d’une ville qui compta en son temps, plus de 15 000 habitants et 6000 aujourd’hui. C’est un rugby fait de vaillance, d’honneur, de tradition et de transmission des valeurs, qui garde le côté coquin propre à chaque joueur dont l’identité même révèle cette ambiguïté entre la loyauté et la liberté. La loyauté, dans ce sport, est la valeur qui fait grandir, qui fait que chaque personne peut se regarder dans la glace le matin. Mais c’est aussi la loyauté envers les valeurs que sont la fraternité, la camaraderie, le don de soit et le respect des anciens. A Decazeville, cette loyauté fait foi, c’est celle des joueurs envers les habitants et celle des habitants envers le club. La mémoire collective n’est pas une leçon, elle est devenue une force. Lorsque vous rentrez sur le terrain, il y a les fantômes des gueules noires sous la chaleur des hauts fourneaux. Les âmes du passé hantent les tribunes et les vestiaires. Tout le monde pousse en mélée, tout le monde rit aux victoires et pleure aux défaites. La liberté, c’est celle de la rébellion, comme l’année du titre où la FFR s’en prenait au club. On retrouvera cet esprit pendant l’hiver 61/62 où 1500 mineurs ont fait grève en restant 2 mois dans la mine. C’est aussi la liberté de vivre et de faire ce que l’on veut, de jouer avec un plâtre, d’une belle mort dans les tribunes un jour de finale, de transformer l’entrainement en chasse au lièvre et de le déguster ensemble. Etre decazevillois, c’est être libre. De surcroît, si vous passez par là, vous vous laisserez séduire par l’accueil et la gentillesse des gens. Comme un paradoxe des sentiments, plus le travail y a été pénible, dangereux et exténuant, plus les gens, à l’instar des corons vous ouvrent leur coeur. Ils ne vous connaissent pas, les Robert, les Joël et les Nathalie, les Momo et les Lolo, les Christian, les Philippe, les Jean-Luc, sans compter les 200 bénévoles qui se sont proposés sans qu’on leur demande… Et pourtant, pas d’à priori, on vous accepte tels que vous êtes autour d’un verre consigné de l’amitié. Le problème est que tout le monde veut vous offrir un verre et qu’à l’arrivée, les brumes de l’alcool vous ramènent à la simplicité de la vie et du partage. Dimanche soir, un spectacle était organisé avec la diffusion d’un film sur le centenaire du club. Nous les gars de la ville, on se disait : encore un film réalisé avec les moyens du bord qui sera bien sympathique. Nous avons simplement pris une grosse claque de bonheur et à l’heure où j’écris ces lignes, j’en ai encore des frissons. Je revois ces anciens nous conter l’histoire du club, la création qui se décide en 5 minutes, les difficultés à trouver un terrain. Puis 5 minutes d’images des équipes sur le son des cornemuses… L’émotion monte dans le stade, certains reconnaissent leurs anciens et les applaudissent, quelques petits rires se font discrets sur le jeu des acteurs hésitants, mais au combien attachants. Les regards… Ces regards de vieux comblés par une vie dédiée à la ville et au club. Et puis le titre de champion de 1937 qui apparait en apothéose accompagné de feux d’artifice, les applaudissements de l’audience et des images, encore des images de liesse dans les rues de la ville lors des grands moments, les derbys, les photos en noir et blanc des anciens et enfin l’avenir avec les minots ballons en main qui assurent l’avenir. Et à la fin, après tellement d’applaudissements, la tribune se met à chanter en l’honneur de tout ce qui s’est fait. Car Decazeville, ce n’est pas le passé, c’est l’avenir du rugby. Quand l’argent ne sera plus là pour assurer la mégalomanie de certains clubs, il restera ces clubs, aux couleurs et aux noms inchangés, ces clubs dont les instants de gloire éphémères permettent de les situer sur une carte et d’imposer le respect. Alors effectivement, aujourd’hui c’est Decazeville, mais regardez autour de vous, il y a des clubs, qui avec peu de moyens font vibrer les poteaux chaque dimanche sans pour autant faire parler d’eux à longueur d’année. Prenez les temps d’aller boire une bière avec les bénévoles, partagez les repas, bougez et continuez à faire vivre le rugby que l’on aime. Ne restez pas trop sur le forum, prenez rendez-vous entre supporteurs lors des matches, ripaillez, chantez, applaudissez, buvez les verres de l’amitié, au diable les règles, soyez libres de vivre tant que vous le pouvez ! C’est le message simple que m’ont rappelé mes amis decazevillois ce weekend. Je suis sur que ceux qui m’ont accompagné ce weekend ont aujourd’hui une place en bleu et blanc dans le coeur.

#374

Très beau texte. Monsieur 2.28, j'ai fait tirer des posters de l'équipe de 61-62, celle de la grande grève citée par Olivier, je compte bien te les remettre, ne nous fais pas faux bond smile

C'était mieux au stade de l'Isle.

 

#375

Quel plaisir de lire de telles lignes, avec des gens si humains le rugby a encore de beaux jours devant lui et le genre humain encore plus. Merci pour le plaisir que cela m'a procuré.

fidèle supporter de la tribune NORD de l'USM ( celle ou l'hiver nous ne sommes que 4 ou 5) peu mais de qualité, le froid conserve. ALLEZ LES PETITS VERTS

#376

olivier a écrit :

Parce qu'on m'en a reparlé ce weekend, petit souvenir avant le match retour Laissez moi vous conter une histoire. Une histoire qui vous replongera dans les rêves de ce rugby que l’on aime. De ce rugby où les anecdotes font l’histoire, et l’histoire développe l’amour d’une ville pour son club. Cette histoire est celle d’un club né de la mine et qui a su grandir pour devenir éternel au sein d’une ville qui compta en son temps, plus de 15 000 habitants et 6000 aujourd’hui. C’est un rugby fait de vaillance, d’honneur, de tradition et de transmission des valeurs, qui garde le côté coquin propre à chaque joueur dont l’identité même révèle cette ambiguïté entre la loyauté et la liberté. La loyauté, dans ce sport, est la valeur qui fait grandir, qui fait que chaque personne peut se regarder dans la glace le matin. Mais c’est aussi la loyauté envers les valeurs que sont la fraternité, la camaraderie, le don de soit et le respect des anciens. A Decazeville, cette loyauté fait foi, c’est celle des joueurs envers les habitants et celle des habitants envers le club. La mémoire collective n’est pas une leçon, elle est devenue une force. Lorsque vous rentrez sur le terrain, il y a les fantômes des gueules noires sous la chaleur des hauts fourneaux. Les âmes du passé hantent les tribunes et les vestiaires. Tout le monde pousse en mélée, tout le monde rit aux victoires et pleure aux défaites. La liberté, c’est celle de la rébellion, comme l’année du titre où la FFR s’en prenait au club. On retrouvera cet esprit pendant l’hiver 61/62 où 1500 mineurs ont fait grève en restant 2 mois dans la mine. C’est aussi la liberté de vivre et de faire ce que l’on veut, de jouer avec un plâtre, d’une belle mort dans les tribunes un jour de finale, de transformer l’entrainement en chasse au lièvre et de le déguster ensemble. Etre decazevillois, c’est être libre. De surcroît, si vous passez par là, vous vous laisserez séduire par l’accueil et la gentillesse des gens. Comme un paradoxe des sentiments, plus le travail y a été pénible, dangereux et exténuant, plus les gens, à l’instar des corons vous ouvrent leur coeur. Ils ne vous connaissent pas, les Robert, les Joël et les Nathalie, les Momo et les Lolo, les Christian, les Philippe, les Jean-Luc, sans compter les 200 bénévoles qui se sont proposés sans qu’on leur demande… Et pourtant, pas d’à priori, on vous accepte tels que vous êtes autour d’un verre consigné de l’amitié. Le problème est que tout le monde veut vous offrir un verre et qu’à l’arrivée, les brumes de l’alcool vous ramènent à la simplicité de la vie et du partage. Dimanche soir, un spectacle était organisé avec la diffusion d’un film sur le centenaire du club. Nous les gars de la ville, on se disait : encore un film réalisé avec les moyens du bord qui sera bien sympathique. Nous avons simplement pris une grosse claque de bonheur et à l’heure où j’écris ces lignes, j’en ai encore des frissons. Je revois ces anciens nous conter l’histoire du club, la création qui se décide en 5 minutes, les difficultés à trouver un terrain. Puis 5 minutes d’images des équipes sur le son des cornemuses… L’émotion monte dans le stade, certains reconnaissent leurs anciens et les applaudissent, quelques petits rires se font discrets sur le jeu des acteurs hésitants, mais au combien attachants. Les regards… Ces regards de vieux comblés par une vie dédiée à la ville et au club. Et puis le titre de champion de 1937 qui apparait en apothéose accompagné de feux d’artifice, les applaudissements de l’audience et des images, encore des images de liesse dans les rues de la ville lors des grands moments, les derbys, les photos en noir et blanc des anciens et enfin l’avenir avec les minots ballons en main qui assurent l’avenir. Et à la fin, après tellement d’applaudissements, la tribune se met à chanter en l’honneur de tout ce qui s’est fait. Car Decazeville, ce n’est pas le passé, c’est l’avenir du rugby. Quand l’argent ne sera plus là pour assurer la mégalomanie de certains clubs, il restera ces clubs, aux couleurs et aux noms inchangés, ces clubs dont les instants de gloire éphémères permettent de les situer sur une carte et d’imposer le respect. Alors effectivement, aujourd’hui c’est Decazeville, mais regardez autour de vous, il y a des clubs, qui avec peu de moyens font vibrer les poteaux chaque dimanche sans pour autant faire parler d’eux à longueur d’année. Prenez les temps d’aller boire une bière avec les bénévoles, partagez les repas, bougez et continuez à faire vivre le rugby que l’on aime. Ne restez pas trop sur le forum, prenez rendez-vous entre supporteurs lors des matches, ripaillez, chantez, applaudissez, buvez les verres de l’amitié, au diable les règles, soyez libres de vivre tant que vous le pouvez ! C’est le message simple que m’ont rappelé mes amis decazevillois ce weekend. Je suis sur que ceux qui m’ont accompagné ce weekend ont aujourd’hui une place en bleu et blanc dans le coeur.

Merci Olivier... J'ai les larmes aux yeux, mais un vieux pilard qui pleure, c'est pas sérieux, alors je me retiens.

"Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles."
O.Wilde

#377

olivier a écrit :

Parce qu'on m'en a reparlé ce weekend, petit souvenir avant le match retour Laissez moi vous conter une histoire. Une histoire qui vous replongera dans les rêves de ce rugby que l’on aime. De ce rugby où les anecdotes font l’histoire, et l’histoire développe l’amour d’une ville pour son club. Cette histoire est celle d’un club né de la mine et qui a su grandir pour devenir éternel au sein d’une ville qui compta en son temps, plus de 15 000 habitants et 6000 aujourd’hui. C’est un rugby fait de vaillance, d’honneur, de tradition et de transmission des valeurs, qui garde le côté coquin propre à chaque joueur dont l’identité même révèle cette ambiguïté entre la loyauté et la liberté. La loyauté, dans ce sport, est la valeur qui fait grandir, qui fait que chaque personne peut se regarder dans la glace le matin. Mais c’est aussi la loyauté envers les valeurs que sont la fraternité, la camaraderie, le don de soit et le respect des anciens. A Decazeville, cette loyauté fait foi, c’est celle des joueurs envers les habitants et celle des habitants envers le club. La mémoire collective n’est pas une leçon, elle est devenue une force. Lorsque vous rentrez sur le terrain, il y a les fantômes des gueules noires sous la chaleur des hauts fourneaux. Les âmes du passé hantent les tribunes et les vestiaires. Tout le monde pousse en mélée, tout le monde rit aux victoires et pleure aux défaites. La liberté, c’est celle de la rébellion, comme l’année du titre où la FFR s’en prenait au club. On retrouvera cet esprit pendant l’hiver 61/62 où 1500 mineurs ont fait grève en restant 2 mois dans la mine. C’est aussi la liberté de vivre et de faire ce que l’on veut, de jouer avec un plâtre, d’une belle mort dans les tribunes un jour de finale, de transformer l’entrainement en chasse au lièvre et de le déguster ensemble. Etre decazevillois, c’est être libre. De surcroît, si vous passez par là, vous vous laisserez séduire par l’accueil et la gentillesse des gens. Comme un paradoxe des sentiments, plus le travail y a été pénible, dangereux et exténuant, plus les gens, à l’instar des corons vous ouvrent leur coeur. Ils ne vous connaissent pas, les Robert, les Joël et les Nathalie, les Momo et les Lolo, les Christian, les Philippe, les Jean-Luc, sans compter les 200 bénévoles qui se sont proposés sans qu’on leur demande… Et pourtant, pas d’à priori, on vous accepte tels que vous êtes autour d’un verre consigné de l’amitié. Le problème est que tout le monde veut vous offrir un verre et qu’à l’arrivée, les brumes de l’alcool vous ramènent à la simplicité de la vie et du partage. Dimanche soir, un spectacle était organisé avec la diffusion d’un film sur le centenaire du club. Nous les gars de la ville, on se disait : encore un film réalisé avec les moyens du bord qui sera bien sympathique. Nous avons simplement pris une grosse claque de bonheur et à l’heure où j’écris ces lignes, j’en ai encore des frissons. Je revois ces anciens nous conter l’histoire du club, la création qui se décide en 5 minutes, les difficultés à trouver un terrain. Puis 5 minutes d’images des équipes sur le son des cornemuses… L’émotion monte dans le stade, certains reconnaissent leurs anciens et les applaudissent, quelques petits rires se font discrets sur le jeu des acteurs hésitants, mais au combien attachants. Les regards… Ces regards de vieux comblés par une vie dédiée à la ville et au club. Et puis le titre de champion de 1937 qui apparait en apothéose accompagné de feux d’artifice, les applaudissements de l’audience et des images, encore des images de liesse dans les rues de la ville lors des grands moments, les derbys, les photos en noir et blanc des anciens et enfin l’avenir avec les minots ballons en main qui assurent l’avenir. Et à la fin, après tellement d’applaudissements, la tribune se met à chanter en l’honneur de tout ce qui s’est fait. Car Decazeville, ce n’est pas le passé, c’est l’avenir du rugby. Quand l’argent ne sera plus là pour assurer la mégalomanie de certains clubs, il restera ces clubs, aux couleurs et aux noms inchangés, ces clubs dont les instants de gloire éphémères permettent de les situer sur une carte et d’imposer le respect. Alors effectivement, aujourd’hui c’est Decazeville, mais regardez autour de vous, il y a des clubs, qui avec peu de moyens font vibrer les poteaux chaque dimanche sans pour autant faire parler d’eux à longueur d’année. Prenez les temps d’aller boire une bière avec les bénévoles, partagez les repas, bougez et continuez à faire vivre le rugby que l’on aime. Ne restez pas trop sur le forum, prenez rendez-vous entre supporteurs lors des matches, ripaillez, chantez, applaudissez, buvez les verres de l’amitié, au diable les règles, soyez libres de vivre tant que vous le pouvez ! C’est le message simple que m’ont rappelé mes amis decazevillois ce weekend. Je suis sur que ceux qui m’ont accompagné ce weekend ont aujourd’hui une place en bleu et blanc dans le coeur.

Tout simplement BRAVO et MERCI pour ce texte. smile

Bien coacher c'est "l'Art des Choix"

#378

ouaih, bin faudrait aussi l'appliquer avec un certain forumeur qui ne mérite pas qu'on le juge sans le connaitre ne serait-ce qu'un peu, comme il est dit dans ce texte, "Ne restez pas trop sur le forum, prenez rendez-vous entre supporteurs lors des matches, ripaillez, chantez, applaudissez, buvez les verres de l’amitié, au diable les règles, soyez libres de vivre tant que vous le pouvez !" hmm

3° mi-temps