astalavista a écrit :

la sup a écrit :

Non, ce n'est dit nulle part et pourtant c'est ce qui se passe depuis toujours... La religion tue depuis toujours !!!

Les hommes tuent toujours, pas la religion. Tu regardes le communisme, qui au départ est plutôt une idée généreuse et humaniste, dans chaque pays où il a été appliqué les hommes en ont fait une interprétation terrifiante, il en est de même avec la religion.

Effectivement ; si Marx revenait sur Terre, il serait Marxien et pas Marxiste (je ne sais plus où je l'ai lu ou entendu)

Non, je ne "prie pas pour Paris ". Ni ce dieu, ni un autre. Je ne prie pas d'abord parce que je ne crois pas. La France, mon pays, non plus ne prie pas; elle, parce qu'elle ne reconnaît aucun culte, aucune chapelle, aucun livre saint dont les sentences définitives soient supérieures à ses propres lois. Je ne prie pas non plus parce que je ne me laisserais pas enfermé dans une guerre de religion: leur dieu, au nom duquel ils nous tuent, contre un dieu au nom duquel nous les tuerons. Les guerres de religion ont déjà donné chez nous le massacre de la Saint-Barthelemy, où des français chrétiens ont massacré des français chrétiens; je n'ose imaginer ce qu'il adviendra aux français musulmans si ce flots de haine contre eux, que certains n'ont même plus honte de vomir en place publique, leur bave de rage dégoulinant aux commissures des lèvres, ne se tarit pas rapidement. Je ne prie pas parce que Ni dieu. Ma photo de profil n'est pas recouverte des couleurs du drapeau national. Et je refuse le droit à quiconque de mettre en cause de quelque manière qui soit mon sentiment d'appartenance à la nation. Je ne m'associerai pas aux soit-disant "patriotes" qui deversent leur logorrhée puante sur tous ceux qui pensent différemment, ou qui aurait eu le malheur de ne pas naître français. Ils ne m'obligeront pas penser, ou à laisser croire, qu'être français par acquisition de la nationalité, ou avoir une deuxième nationalité en plus de celle que j'ai, en fait des citoyens de deuxième zone que l'ont peut montrer du doigt, stigmatiser, refouler hors de la communauté nationale pour les renvoyer dans un hypothétique "chez eux", ailleurs. Ils sont français, leur chez eux c'est la France, mon pays, notre pays. Je ne m'associe pas aux "patriotes " qui se disent, et peut-être même qu'ils y croient, les seuls à savoir aimer et défendre la France. Justement, j'aime dans ce pays tout ce qu'ils detestent. Personne ne me forcera à participer à cette mascarade grotesque du "plus patriote que moi, tu meurs", comme quand j'étais gamin je ne participais pas aux concours de celui qui pisse le plus loin. Tous ces prophètes autoproclamés, ne me feront pas penser comme eux, et leur nombre, leur cris de fureur ne m'empêcheront pas de penser tout court. Je n'exhibe pas les couleurs nationales parce que Ni Maître. Je ne lance pas l'opprobre et l'anathème sur sur les réfugiés venant chercher ici ce qu'ils n'ont pas chez eux et que nous sommes fiers d'exposer à la vue du monde entier: la paix, la joie de vivre et la confiance que nous avons dans l'avènement d'un monde meilleur ; ou ces devises que nous avons gravé aux fronton de nos mairies: liberté, égalité, fraternité. Liberté de chacun, égalité pour tous, fraternité entre les Hommes. Une heure de barbarie indicible au coeur de notre pays me fait ressentir la réalité concrète de leur quotidien dans leur pays, qu'ils fuient parce qu'ils y subissent tous les jours cette terreur. Je n'oublie pas que je suis descendant d'immigré: un grand père yougoslave né en Yougoslavie, un arrière grand père espagnol né en Espagne. Je porte également un nom allemand, et je ne pense pas que mes amis, ou même ceux qui ne me connaissent qu'à peine me perçoivent comme moins français qu'eux; du moins s'ils le pensent, aucun n'a pour le moment eu le courage de me le dire. Il n'y a aucune raison objective à ce que la vague migratoire actuelle, tout comme celles prcedentes des italiens, des espagnols, des polonais, detruise notre pays. La peur n'est certes pas rationnelle, et en ce sens je n'accable pas ceux qui l'éprouvent, mais je condamne ceux qui par facilité, par haine de son prochain ou pire par soif de sang ou calcul politique à la petite semaine , refusent de la combattre.

Tu as raison PAPA. je partage avec toi toutes tes remarques... Pourtant oui, je pense que notre société s'est fractionné. Oui, il y a plusieurs type de citoyens. Ces fractures, bien sur, ne sont pas religieuses et encore moins ethniques (réelles ou supposées). D'ailleurs je refuse de me faire enfermé dans ce carcan où ils veulent me mettre : je refuse de parler de religion. En premier lieu parce que je m'en cague complet des religions, je suis un non croyant. En second lieu parce que des Musulmans m'ont expliqué que leur religion et le respect de ses préceptes est totalement compatible avec notre société. Et j'ai choisi de les croire, puisqu'ils me le démontrent tous les jours. Mais ces fractures sont philosophiques et idéologiques. Il existe parmi nous des gens qui ne supportent pas notre façon de vivre, notre façon de concevoir la société, notre façon de concevoir la démocratie. Ils ne supportent pas notre façon de placer l'humain, la liberté, l'égalité, au dessus de toute considération religieuse ou mystique. Ils veulent nous imposer par la terreur des choses dont nous ne voulons pas. Nous devons nous débarrasser et nous protéger de ces gens là, d'une façon ou d'une autre, ils doivent partir.

astalavista a écrit :

papajoxet a écrit :

Non, je ne "prie pas pour Paris ". Ni ce dieu, ni un autre. Je ne prie pas d'abord parce que je ne crois pas. La France, mon pays, non plus ne prie pas; elle, parce qu'elle ne reconnaît aucun culte, aucune chapelle, aucun livre saint dont les sentences définitives soient supérieures à ses propres lois. Je ne prie pas non plus parce que je ne me laisserais pas enfermé dans une guerre de religion: leur dieu, au nom duquel ils nous tuent, contre un dieu au nom duquel nous les tuerons. Les guerres de religion ont déjà donné chez nous le massacre de la Saint-Barthelemy, où des français chrétiens ont massacré des français chrétiens; je n'ose imaginer ce qu'il adviendra aux français musulmans si ce flots de haine contre eux, que certains n'ont même plus honte de vomir en place publique, leur bave de rage dégoulinant aux commissures des lèvres, ne se tarit pas rapidement. Je ne prie pas parce que Ni dieu. Ma photo de profil n'est pas recouverte des couleurs du drapeau national. Et je refuse le droit à quiconque de mettre en cause de quelque manière qui soit mon sentiment d'appartenance à la nation. Je ne m'associerai pas aux soit-disant "patriotes" qui deversent leur logorrhée puante sur tous ceux qui pensent différemment, ou qui aurait eu le malheur de ne pas naître français. Ils ne m'obligeront pas penser, ou à laisser croire, qu'être français par acquisition de la nationalité, ou avoir une deuxième nationalité en plus de celle que j'ai, en fait des citoyens de deuxième zone que l'ont peut montrer du doigt, stigmatiser, refouler hors de la communauté nationale pour les renvoyer dans un hypothétique "chez eux", ailleurs. Ils sont français, leur chez eux c'est la France, mon pays, notre pays. Je ne m'associe pas aux "patriotes " qui se disent, et peut-être même qu'ils y croient, les seuls à savoir aimer et défendre la France. Justement, j'aime dans ce pays tout ce qu'ils detestent. Personne ne me forcera à participer à cette mascarade grotesque du "plus patriote que moi, tu meurs", comme quand j'étais gamin je ne participais pas aux concours de celui qui pisse le plus loin. Tous ces prophètes autoproclamés, ne me feront pas penser comme eux, et leur nombre, leur cris de fureur ne m'empêcheront pas de penser tout court. Je n'exhibe pas les couleurs nationales parce que Ni Maître. Je ne lance pas l'opprobre et l'anathème sur sur les réfugiés venant chercher ici ce qu'ils n'ont pas chez eux et que nous sommes fiers d'exposer à la vue du monde entier: la paix, la joie de vivre et la confiance que nous avons dans l'avènement d'un monde meilleur ; ou ces devises que nous avons gravé aux fronton de nos mairies: liberté, égalité, fraternité. Liberté de chacun, égalité pour tous, fraternité entre les Hommes. Une heure de barbarie indicible au coeur de notre pays me fait ressentir la réalité concrète de leur quotidien dans leur pays, qu'ils fuient parce qu'ils y subissent tous les jours cette terreur. Je n'oublie pas que je suis descendant d'immigré: un grand père yougoslave né en Yougoslavie, un arrière grand père espagnol né en Espagne. Je porte également un nom allemand, et je ne pense pas que mes amis, ou même ceux qui ne me connaissent qu'à peine me perçoivent comme moins français qu'eux; du moins s'ils le pensent, aucun n'a pour le moment eu le courage de me le dire. Il n'y a aucune raison objective à ce que la vague migratoire actuelle, tout comme celles prcedentes des italiens, des espagnols, des polonais, detruise notre pays. La peur n'est certes pas rationnelle, et en ce sens je n'accable pas ceux qui l'éprouvent, mais je condamne ceux qui par facilité, par haine de son prochain ou pire par soif de sang ou calcul politique à la petite semaine , refusent de la combattre.

Désolé Papa, je ne sais pas d'où tu tiens ce texte et donc je ne connais pas l'auteur, mais pour moi ce propos, sous couvert d'universalité, participe exactement à la situation actuelle et de plus il porte les germes de ce qu'il prétend dénoncé.

C'est un pote qui l'a écrit et j'adhère à 92,5%

Nous sommes affligés, déboussolés, en colère, n'avons pas la même interprétation des textes intéressants publiés ici soumis à notre réflexion. Chacun se débrouille comme il peut. Et puis on lit des énormités : qu'à l'école on n'apprend plus à ne pas avoir la haine de l'autre et là je ne comprends plus ce qui se passe.

Xicon64 a écrit :

astalavista a écrit :

papajoxet a écrit :

Non, je ne "prie pas pour Paris ". Ni ce dieu, ni un autre. Je ne prie pas d'abord parce que je ne crois pas. La France, mon pays, non plus ne prie pas; elle, parce qu'elle ne reconnaît aucun culte, aucune chapelle, aucun livre saint dont les sentences définitives soient supérieures à ses propres lois. Je ne prie pas non plus parce que je ne me laisserais pas enfermé dans une guerre de religion: leur dieu, au nom duquel ils nous tuent, contre un dieu au nom duquel nous les tuerons. Les guerres de religion ont déjà donné chez nous le massacre de la Saint-Barthelemy, où des français chrétiens ont massacré des français chrétiens; je n'ose imaginer ce qu'il adviendra aux français musulmans si ce flots de haine contre eux, que certains n'ont même plus honte de vomir en place publique, leur bave de rage dégoulinant aux commissures des lèvres, ne se tarit pas rapidement. Je ne prie pas parce que Ni dieu. Ma photo de profil n'est pas recouverte des couleurs du drapeau national. Et je refuse le droit à quiconque de mettre en cause de quelque manière qui soit mon sentiment d'appartenance à la nation. Je ne m'associerai pas aux soit-disant "patriotes" qui deversent leur logorrhée puante sur tous ceux qui pensent différemment, ou qui aurait eu le malheur de ne pas naître français. Ils ne m'obligeront pas penser, ou à laisser croire, qu'être français par acquisition de la nationalité, ou avoir une deuxième nationalité en plus de celle que j'ai, en fait des citoyens de deuxième zone que l'ont peut montrer du doigt, stigmatiser, refouler hors de la communauté nationale pour les renvoyer dans un hypothétique "chez eux", ailleurs. Ils sont français, leur chez eux c'est la France, mon pays, notre pays. Je ne m'associe pas aux "patriotes " qui se disent, et peut-être même qu'ils y croient, les seuls à savoir aimer et défendre la France. Justement, j'aime dans ce pays tout ce qu'ils detestent. Personne ne me forcera à participer à cette mascarade grotesque du "plus patriote que moi, tu meurs", comme quand j'étais gamin je ne participais pas aux concours de celui qui pisse le plus loin. Tous ces prophètes autoproclamés, ne me feront pas penser comme eux, et leur nombre, leur cris de fureur ne m'empêcheront pas de penser tout court. Je n'exhibe pas les couleurs nationales parce que Ni Maître. Je ne lance pas l'opprobre et l'anathème sur sur les réfugiés venant chercher ici ce qu'ils n'ont pas chez eux et que nous sommes fiers d'exposer à la vue du monde entier: la paix, la joie de vivre et la confiance que nous avons dans l'avènement d'un monde meilleur ; ou ces devises que nous avons gravé aux fronton de nos mairies: liberté, égalité, fraternité. Liberté de chacun, égalité pour tous, fraternité entre les Hommes. Une heure de barbarie indicible au coeur de notre pays me fait ressentir la réalité concrète de leur quotidien dans leur pays, qu'ils fuient parce qu'ils y subissent tous les jours cette terreur. Je n'oublie pas que je suis descendant d'immigré: un grand père yougoslave né en Yougoslavie, un arrière grand père espagnol né en Espagne. Je porte également un nom allemand, et je ne pense pas que mes amis, ou même ceux qui ne me connaissent qu'à peine me perçoivent comme moins français qu'eux; du moins s'ils le pensent, aucun n'a pour le moment eu le courage de me le dire. Il n'y a aucune raison objective à ce que la vague migratoire actuelle, tout comme celles prcedentes des italiens, des espagnols, des polonais, detruise notre pays. La peur n'est certes pas rationnelle, et en ce sens je n'accable pas ceux qui l'éprouvent, mais je condamne ceux qui par facilité, par haine de son prochain ou pire par soif de sang ou calcul politique à la petite semaine , refusent de la combattre.

Désolé Papa, je ne sais pas d'où tu tiens ce texte et donc je ne connais pas l'auteur, mais pour moi ce propos, sous couvert d'universalité, participe exactement à la situation actuelle et de plus il porte les germes de ce qu'il prétend dénoncé.

Pour etre un humain responsable et qui donc réfléchit ,il faut impérativement passer par la case "éducation",parents,grands-parents et/ou école,voir tout à la fois,mais c'est bien """ l'école de la république""" qui est le meilleur rempart à la connerie,c'est tellement vraie que tous les dictateurs,on peur du savoir et exécute tout c'qui concerne l'éducation avec un grand "N" interdiction d'aller à l'école,interdiction d'enseigner,flinguage des intellectuels,des penseurs des écrivains,la fameuse peur des livres et de leurs contenus... Qu'apprends t'on à l'école depuis 30/35 ans ???? On peut avoir la haine envers les politiques surtout quand on ne nous consulte plus ou quand on le fait ,on se fout des résultats...mais on ne peut pas avoir la haine de l'autre ....et ça à l'école on ne l'apprends plus.

Tout dépend de ce que tu appelles la haine de l'autre.Mon petit fils de 3ans et demi va en maternelle dans une école "Benetton" en keke sorte, il apprend à jouer avec Sofian, Denice, etc........ les écoles sont mixtes garçons/filles et mixtes dans les confessions,dans les ethnies (pizkil faut plus dire race), l'école sans apprendre à ne pas haïr , apprend à vivre ensemble donc l'amour des autres.En primaire,collège , lycée, sont mixtes aussi et tout ce passe bien.L'université est autre chose, pizke tout le monde ne peut y rentrer et y arrivent des étudiants de tous continents...d'où une autre mixité.Les problêmes viennent après , quand il s'agit de bosser pour gagner sa croute et dépasser matériellement son voisin, ce que l'on appelle la concurrence , cette concurrence que l'on retrouve dans tout le règne animale et végétale; le monde végétale est une mine de savoir faire tant au point de vue de vie, de survie,de reproduction,dedeveloppement , de prolifération de défense, d'autodéfense, d'immunisation....et j'en passe , mais avant tout dans la concurrence !! Tu disais dans un autre post qu'aucun etre vivant dans le règne animal ne détruisait une autre espèce et ce qui est faux, aucune bestiole ne permet que l'on rentre sur son territoire.J'en ai l'exemple actuellement dans mon jardin autour d'un néflier encore en fleurs, les frelons asiatik y butinent depuis 2 mois,attaquent et bouffent la tete des abeilles, attaquent les oiseaux et viennent me froler la tete lozke je passe à proximité pour intimider.