Tout comme la majorité d'entre-nous, je dis sans retenue : notre club a besoin de M. Bruno Lallemant tout de suite ! je crois ne pas être le seul a espérer qu'il prenne la direction du club nazairien. (Poutant je suis devenu frileux quant à l'avènement d'homme-providence).
Puisse-t-il s'entourer de compétences.
Ceci-étant dit, je livre mon analyse personnelle à tous ceux qui interviennent sur le post du SNR car d'autres ici la connaissent depuis longtemps:
- La très délicate situation financière du club est due principalement à la très lourde sanction URSSAFF elle même résultant de choix d'une gestion financière personnalisés d'un récent passé. A la différence d'autres formes de créances cette administration n'accepte pas de règlement échelonné. Je ne suis pas expert-comptable mais je crois est que ceux qui ont récupéré un bébé "Zika" (2 ans !) et ses frères, ont oeuvré pour "traiter" leur santé le moins mal possible.
Je sais aussi que nombre de dirigeants d'ailleurs bichonnent leurs "Zika": attention au dopage car l'amende peut les conduire à des remakes !
St.Nazaire n'est pas le vilain petit cannard comme certains intervenants semblent vouloir le laisser penser.
C'est la lassitude d'un combat administratif trop long et épuisant qui les a conduit à jeter l'éponge, d'autant que leur successeur, inactif déjà en coulisses depuis 2 ans , seul candidat, après des annonces fracassantes, se désintéressait de la situation: avait-il la capacité à l'appréhender ?
C'est sur ce point que nos clubs doivent se doter de moyens statutaires en particuliers, pour éviter que l'orgueuil, la mégalomanie et le manque d'envergure parviennent au pouvoir.
Enfin, Bernard tu dédouanes la fédé de toutes responsabilités, prétendre qu'elle n'est responsable en rien de certaines situations et qu'elle ne peut rien quant aux choix hazardeux de clubs, je ne suis pas d'accord: si l'heure n'était pas à la gravité je sourirais car, structure féodale de "droit divin" elle sait imposer, légiférer, trancher quand elle le veut pourvu que çà soigne l'intérêt de ceux qui s'en sentent propriétaires.