C'est quand même une merde sans nom ça... pfff... c'était pas plus simple de faire ds CRABOS B qui suivent les CRABOS A ?? Moi cette fédé... elle me tue....

c est du tres grand n importe quoi !!!!....esperons qu il jouront le jeu jusqu a la fin de saison

ruck 64 a écrit :

Victoire des Bayonnais 61 à 0 face à une valeureuse équipe de Bordeaux.

le Stade Bordelais à été très valeureux sur ce match mais n'y a t il pas eu un problème de licence du côté de Bayonne !!!!

Coter balandrade IDF un score vient d'arriver avec une victoire Balbynienne (ACB93) face à Arras 24/17 je crois.

eravacel a écrit :

RCT-10 a écrit :

eravacel a écrit :

Je n'y crois pas. Ce qui joueront cette année en Balandrade sont ceux pour lesquels le club pro s'est trompé ou des gauderman montant qui ne sont pas et ne seront jamais au niveau.

Je ne crois pas à ce que tu dis... Je pense qu'il y a aussi les 98 licences BJ... qui sont difficiles à incorporer au groupe CRABOS actuel... mais qui peuvent être de très bon niveau... et jouer en CRABOS l'année prochaine...

Possible en province mais certainement pas en IDF que je connais bien. D'ailleurs le STF ne s'engage pas contrairement au Racing et à Massy qui font beaucoup plus dans la masse afin d'être certain de ne pas rater l'oiseau rare. En idf, les bons 98 jouent en Crabos.

Oui, sauf si tu en as trop, tu es obligé de faire tourner. Pour leur temps de jeu, je trouve la bascule chez les balandrades moins pire qu'une seule équipe Crabos ou les joueurs ne joueraient qu'un match sur 2 voire 3.Maintenant oui, je trouve que la refonte des catégories est une belle bêtise.

RCT-10 a écrit :

Samsy a écrit :

eravacel a écrit :

Possible en province mais certainement pas en IDF que je connais bien. D'ailleurs le STF ne s'engage pas contrairement au Racing et à Massy qui font beaucoup plus dans la masse afin d'être certain de ne pas rater l'oiseau rare. En idf, les bons 98 jouent en Crabos.

Oui, sauf si tu en as trop, tu es obligé de faire tourner. Pour leur temps de jeu, je trouve la bascule chez les balandrades moins pire qu'une seule équipe Crabos ou les joueurs ne joueraient qu'un match sur 2 voire 3.Maintenant oui, je trouve que la refonte des catégories est une belle bêtise.

Les meilleurs 98 jouent.... s'ils sont bons... ? pas seulement ! s'ils sont bons et s'ils ont pas une licence B/J !

Aussi... voir l'article scandaleux de Duzan a ce propos dans le midol du 26/9...

L'article : Les courriers sont partis la semaine dernière, depuis les centres de formation des clubs professionnels vers la FFR et la LNR. Objet du courroux : la réglementation concernant les mutations des joueurs cadets et Crabos, via les licences blanches-jaunes et qui, couplée à la réforme des catégories d’âge, « devient impossible à digérer pour tous les clubs », assure Freddy Maso, responsable de la formation à Clermont. « À Toulouse, il y a longtemps que nous dénoncions l’imbécillité de cette réglementation ! », renchérit Philippe Rougé-Thomas, son penchant dans la Haute-Garonne. « Maintenant que tous les autres clubs sont embarrassés, ils se réveillent. Alors nous sommes solidaires. À quoi sert cette règle ? Nous n’avons jamais compris. » Afin de limiter le recrutement massif des clubs professionnels déshabillant leurs voisins amateurs, la FFR a mis en place, il y a cinq ans, un système de licences à couleur : blanches pour les joueurs au club depuis deux ans ou plus ; oranges pour les débutants ; blanches-jaunes pour les joueurs ayant muté au club depuis moins de deux ans. Avec la possibilité d’établir des tutorats : le joueur reste licencié dans son club d’origine et peut, chaque week-end, évoluer avec un des deux clubs signataires du tutorat. Le problème - et c’est là que le bât blesse - est que des quotas sont venus s’ajouter à ce système : pour les catégories cadets et Crabos, pas plus de quatre joueurs mutés « blancs-jaunes » et cinq tutorés par feuille de match. « Le but est de limiter le nombre des mutés. Pourquoi pas ? L’idée se défend, reconnaît Freddy Maso. Mais cette réglementation ne fait aucune distinction entre un jeune recruté à l’autre bout de la France et un autre de notre bassin, où le recrutement se fait en bonne entente entre les deux clubs. Résultats : nous avons chaque week-end des jeunes qui sont sur la touche alors qu’ils sont en Pôle espoir, dans les filières fédérales et qu’ils auraient besoin de temps de jeu. C’est une aberration. » La porte ouverte aux étrangers ? Une « aberration » que certains ont décidé d’ignorer. Ainsi, Oyonnax, club jeune dans l’élite du rugby français au système de formation naissant, aligne cette saison, en Crabos, des équipes présentant quinze ou dix-sept joueurs « blancs-jaunes » sur la feuille de match. Assumant d’avoir leur match perdu sur tapis vert et de payer une amende par week-end (2 000 euros), au profit du temps de jeu offert aux jeunes. Le club de l’Ain a toutefois décidé de porter l’affaire devant le CNOSF. « Car ce n’est pas nouveau, justifie Christophe Urios. L’année dernière, nos espoirs, qui avaient pourtant effectué une saison remarquable en se hissant en demi-finale, avaient été disqualifiés en raison de ces problèmes de licences. À cette époque, nous nous étions tournés vers le CNOSF qui nous avait répondu qu’il était trop tard pour agir et que nous devrions, à l’avenir, le faire plus tôt. C’est donc ce que nous avons fait cette année. » Autre effet pervers pointé du doigt : cette limitation risque de faire les beaux jours du recrutement de jeunes joueurs étrangers, qui sont enregistrés sous licence orange et donc soumis à aucun quota sur les feuilles. « C’est hallucinant pour une Fédération !, regrette Freddy Maso. Elle nous place dans une situation où nous ne pouvons pas faire jouer tous nos jeunes français. Par contre, nous pouvons aligner 22 jeunes étrangers sur une feuille de match, cela ne pose aucun problème ! » Dernier contrecoup avancé par les clubs : un recrutement toujours plus jeune. Pour contourner les quotas, les clubs pourraient être tentés de recruter dès les minimes, ce qui permettrait aux jeunes de passer deux années au club et de bénéficier d’une licence blanche au moment d’arriver en cadets, lorsque les quotas entrent en vigueur. Soit l’effet contraire à celui recherché par la Fédération : éviter un déracinement précoce et massif des jeunes.