la meroje a écrit :

Shreck a écrit :

la meroje a écrit :

et alors????? quel rapport avec la poule ou les matches reportés a au fait pour les sceptiques du report a saverdun ce matin 3 cm de neige et maintenant il flotte autrement dit un temps superbe pour jouer au rugby pas vrai schreck;

Ah u con!!! 3cm!!! Quel ''nébas'' comme on dit chez nous!!! Rapelle toi l'an dernier il faisait un temps similaire et le match avait bien eu lieu, le nombre d'absents n'était certainement pas du même coté... Le rugby est un sport d'hiver, et puis un peu de boue n'a jamais tué personne, bref c'est de bonne guerre

tu sais shreck le comité midi pyrénées a annulé toutes les rencontres de series territoriales surement par complaisance pour les clubs qui recevaient..;L'an dernier par un temps similaire vous aviez perdu que je sache donc le principe que vous seriez avantagé tombe un peu a l'eau en suite pour ce qui est des absents en une y en a pas a part un centre et en ce qui concerne ta conception du rugby qui serait un sport hivernal je ne la partage pas m'enfin si tu aimes voir des hommes plein de boue en cherchant bien tu devrait trouver ton bonheur sur certains sites specialisés....

Salut La Meroje, Lis bien ce qui est écrit, l'an passé les absents n'étaient certainement pas du même coté ( sans discuter le match ou il n'y avait pas eu photo ) je pense que si vous étiez complets pour demain et si nous avions quelques absents, le match aurait bien eu lieu, je me repette c'est de bonne guerre, on va pas en faire une farine. Ps : tu devrais savoir que Shreck vit dans les marais d'ou ma complaisance pour les combats de boue, par contre je peux t'assurer que je préfère non pas les hommes mais bien les femmes!!! Amicalement

Le derby Saverdun-Pamiers serait reportés au 3 février...D'après les dires. Allez Juju...Demain les crêpes!

Lorsqu'on regarde la météo de la semaine qui vient, je crains que les terrains ne s'assèchent pas rapidement. Il ne m'étonnerait pas que les matchs du dimanche 27 soient eux aussi incertains. Les crêpes ça va un peu ..... vivement du bon rugby avec l'accueil du Stade Navarrais.....

la meroje a écrit :

shreck tu as de l'humour j'aime ça pour le match n'en faisons pas une farine comme tu dis s'il est reporté au trois les conditions seront les memes a mon avis donc pas de souci voit un point positif vous recevrez navarrenx en pleine forme au moins....

Le week-end prochain, week-end de foire agricole à Navarrenx donc dur dur pour les organismes!

Aupasn a écrit :

nemo09 a écrit :

Lorsqu'on regarde la météo de la semaine qui vient, je crains que les terrains ne s'assèchent pas rapidement. Il ne m'étonnerait pas que les matchs du dimanche 27 soient eux aussi incertains. Les crêpes ça va un peu ..... vivement du bon rugby avec l'accueil du Stade Navarrais.....

Je ne suis pas encore rentrer dans ce debat pourri autour de l'accueil de Navarrenx à Pamiers, mais j'espere une seule chose c'est que les personnes qui mettent le feu au poudre sur ce forum soit egalement en chaussette a 15h30 dimanche prochain... Attiser sachant tres bien qu'on ne prend pas de risque je trouve sa moyen... Alors si tu y es Nemo09, j'espere que ton pseudo indique ton numero de dimanche !!!!

Tu n'y es pas du tout Aupasn, il te faut relire et prendre au 1er degrés ce que j'écris. C'est pas parce que dans mon post il y a le mot crêpe que de suite tu dois comprendre agression. Quant à mon numéro sur mon pseudo , tu l'as pas compris (c'est pourtant pas compliqué) mais c'est le numéro de mon département. De plus il y a un petit moment que je ne joue plus ,maintenant je foule les terrains sur le bord de touche en m'occupant des jeunes. J'espère que c'est ce que tu feras et là tu comprendras qu'être agressif ou attiser l'adversaire est exclus du langage de l'éducateur. Ne crains rien, sois rassuré, Pamiers n'a aucun intéret à perdre des joueurs sur cartons rouges et encore moins le match par esprit revanchard. Tu peux venir tranquile !

J'ai trouvé ce texte sur un autre site. Cela n'a rien à voir avec notre poule...Mais comme il y a beaucoup d'Ariégeois... Un hommage à ERIC BECHU...Salut l'ami. J’ai peur de vivre… Publié le 16 janvier 2013 par olivier Je prends mon sac et me dirige vers le vestiaire. Je sens la vieille odeur de camphre et commence à me préparer. Le coach me met dans le 15 de départ et je suis content. Mais j’angoisse aussi, j’ai peur de ne pas être à la hauteur, de tomber sur plus fort que moi, de me débiner. Je rentre sur le terrain et j’ai peur, jusqu’à ce que le 10 donne le coup d’envoi et là je deviens un homme. Je vois cette fille au loin qui me plait. Je réfléchis à ce que je pourrais lui dire, l’inviter à prendre un café, la faire sourire. J’espère que je lui plais. Je sais que c’est elle que je veux et j’ai peur qu’elle me rejette. Elle me regarde et me souris et là je deviens un homme. Je suis à la maternité, tout se passe bien, mais au fond, je sais que je vais devenir papa et j’angoisse à l’idée de perdre ce petit bout de vie, de le casser. Et puis s’il est malade, comment saurais-je quoi faire ? Pour la première fois je le le prends dans mes bras et là je deviens un homme. Je ne lâche pas le regard du médecin qui semble inquiet, il se redresse et m’annonce la nouvelle. Le monde tel que je l’ai connu s’effondre et soudain, le temps passe vite. Je pleure le fait que je vais devoir quitter ceux que j’aime. J’aurais aimé avoir plus de temps pour leur dire combien je les aime. Les prendre dans mes bras, mais on a jamais assez de temps. Je n’ai pas peur de mourir, j’ai peur du regard des autres et de la pitié. Puis je dis non, je vais me battre, je regarde le docteur et prend en espoir et colère le faible pourcentage de succès qu’il me donne. Je sors et je craque… Et là je deviens un homme. Je suis sur ce lit d’hôpital à sentir la vie qui s’en va. Cette vie n’aura pas été si mal, j’aurais vécu de ma passion, sous les encouragements, les applaudissements, à voir des choses que peu de personnes pourront connaitre. J’aurais eu l’amour des miens, cette chaleur qui nous prend sans compter et nous laisse accroché à de merveilleux souvenirs. Qu’importe si je meurs à 53, 60 ou 80 ans, je dois mourir, mais je n’ai pas laissé la vie décider à ma place ce que je devais être et qui je devais être. Demain, il y aura surement des larmes, ces larmes qui font comprendre que l’absence est douloureuse et que l’on ne sait pas tout dit. Nous allons regretter les mots qui sont allés trop loin, nous demanderons pardon. Et puis nous finirons par rire des bons moments, de ces souvenirs qui se fadent et se transforment pour devenir des instants uniques. Je ferme les yeux… Et là je deviens un homme. A Eric Béchu (1960-2013) qui aura prouvé à chaque instant que tout est possible.