nico45 a écrit :

pascal45 a écrit :

De qui parles tu??

Vous aurez le plaisir de voir arbitrer David ATTOUB.

Si tu parle de David Attoub le pilier du SF, il est convoqué dans le groupe pour Prato ( Italie) ce samedi.

Changement de programme: Les stadistes étant coincés en Italie, changement d'arbitre.

kidmix a écrit :

nico45 a écrit :

pascal45 a écrit :

De qui parles tu??

Vous aurez le plaisir de voir arbitrer David ATTOUB.

Si tu parle de David Attoub le pilier du SF, il est convoqué dans le groupe pour Prato ( Italie) ce samedi.

Nogent VS Orléans : Equipe A Nogent 12-24 RC Orléans. Apparament Loic est sorti blesser, espérons que ses pas bien grave... Equipe B Nogent 00-53 RC Orléans. Bravo aux 2 équipes !!

Résumé du match a Nogent.

actu : L'association RUGBY CLUB ORLÉANS (RCO) a engagé pour la saison 2009/2010 un entraîneur (Monsieur Didier Nourault) pour son équipe première évoluant alors en Fédérale 1. Les fonctions de cet entraineur se sont poursuivies au-delà du terme, si bien que son contrat s’est transformé en CDI. Licencié pour motif économique le 10 octobre 2011, le salarié a saisi le Conseil de Prud’hommes de plusieurs demandes à l'encontre de l'association RUGBY CLUB ORLÉANS. Par jugement du 28 novembre 2012, ladite juridiction a condamné le Club au paiement des sommes suivantes : - 1390 euros d'indemnité de requalification du CDD en CDI - 9000 euros de dommages-intérêts pour licenciement infondé - 30.000 euros de remboursement de frais en 2009-2010 - 1500 euros en application de l'article 700 du code de procédure civile L'association RUGBY CLUB ORLÉANS a interjeté appel de ce jugement devant la Cour d’Appel d’Orléans. Par arrêt du 17 octobre dernier, la Cour s’est tout d’abord prononcée sur la demande de requalification formulée par l’entraîneur. Ainsi, s’il n’est pas contesté qu’un salarié est en droit de solliciter la requalification d’un CDD en CDI, encore faut-il démontrer l’irrégularité du CDD initial. En l’espèce, la Cour considère que le Club avait tout le loisir de recourir au CDD d’usage pour employer, l’espace d’une saison, un entraîneur pour son équipe première. Le jugement de première instance est en conséquence infirmé sur ce point. Sur le motif du licenciement, la Cour rappelle tout d’abord que : - le club a connu des difficultés économiques sérieuses et durables à compter de l’année 2010 ; - l'exercice clos le 30 juin 2010 a fait ressortir une perte de 447.000 euros et une situation nette de – 387.000 euros ; - les efforts pour redresser la situation se sont avérés insuffisants et le risque de rétrogradation par la DNACG élevé. Toutefois, en procédant à une simple comparaison des bilans et comptes de résultats pour les années 2009/2010 et 2010/2011, la Cour constate que la situation financière du Club s’était nettement redressée d’une année sur l’autre. La Cour relève ensuite que la suppression de l'emploi d’entraîneur privait le club de ressources très supérieures à l'économie qui en résultait. En effet, l’organisme gérant le centre de formation des apprentis des métiers du sport a dû mettre fin au partenariat dans la mesure où seul Monsieur Nourault disposait des diplômes et des compétences requises pour permettre ce partenariat. Ainsi, pour la Cour : « Cette suppression de poste était donc plus qu'inefficace : elle était néfaste pour la santé financière du club. Le licenciement est infondé ». Le jugement rendu par le Conseil de Prud’hommes d’Orléans est en conséquence confirmé sur le caractère infondé du licenciement. En revanche, il est infirmé sur le montant des condamnations prononcées à l’encontre du Club. Les dommages intérêts pour licenciement infondé sont tout d’abord ramenés de 9000 à 8340 euros L’association RUGBY CLUB ORLÉANS est en outre condamnée à payer à son ancien salarié les sommes complémentaires suivantes : -1515 euros nets de solde de salaire -212 euros de congés payés afférents -2779 euros de préavis -389 euros de congés payés afférents -558 euros d'indemnité de licenciement - 45.870 euros 14 de solde de frais -1000 euros supplémentaires en application de l'article 700 du code de procédure civile La Cour ordonne enfin le remboursement par l'association RUGBY CLUB ORLÉANS aux organismes concernés des indemnités de chômage payées au salarié du jour de la rupture, dans la limite de 3 mois d'indemnités.

Et oui mon cher pascal, le pognons est bien rentré dans le rugby professionnel ( y'a cas regardé les dirigeant des écurie du top 14 ) et malheureusement touche aussi le sport amateur.