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Le Prout ( Pompé sur le net ) Un jeune prout s’éprend d’une injuste rafale Aimant la chair fragile et de souples cheveux ; Un moment ! sur la voie ouverte et triomphale Le pet naïf s’élance et se perd en aveux
arnaud anguera a écrit :Le Prout ( Pompé sur le net ) Un jeune prout s’éprend d’une injuste rafale Aimant la chair fragile et de souples cheveux ; Un moment ! sur la voie ouverte et triomphale Le pet naïf s’élance et se perd en aveux
Moralité. SAUVE QUI PEuT
.LIVINHAC Coin de terre enchanté, perdu comme un sourire. Parmi l'entassement tourmenté de nos monts, Toi, la fraîche oasis, le joyau des vallons, O Livinhac, je t'aime et je veux te le dire. Car n 'est tu pas dis moi, l'Eden délicieux Ou mon âme d'enfant, en s'ouvrant à la vie, Modula tendrement sa première harmonie, Son hymne au créateur, à la lumière, aux cieux... Je vois encor le bourg coquettement posé Comme une ruche ardente au dessus de la plaine, Le clocher le domine et sa flêche hautaine Jette sur l'horizon son profil ardoisé... En bas, la plaine étend sa grasse alluvion Foyer d'activité de tout un petit monde, Grenier ou chacun puise et nourrice féconde Qui fait verdir la plaine et jaunir la moisson. Cependant qu'à son pied, comme un Dieu qui sommeille, Le Lot, calme et profond, roule en ses bords cachés Sous les longs peupliers et les saules penchés, Ses eaux vers le couchant que le soir ensoleille. Les collines là bas, où la voix du torrent S'élève en mugissant, des gorges évasées Dressent leurs flancs abrupts et leurs crêtes boisées Et bornent l'horizon au seuil de l'Occident Livinhac 1906... Poème de Achille ALFARIC ..
la sup a écrit :.LIVINHAC Coin de terre enchanté, perdu comme un sourire. Parmi l'entassement tourmenté de nos monts, Toi, la fraîche oasis, le joyau des vallons, O Livinhac, je t'aime et je veux te le dire. Car n 'est tu pas dis moi, l'Eden délicieux Ou mon âme d'enfant, en s'ouvrant à la vie, Modula tendrement sa première harmonie, Son hymne au créateur, à la lumière, aux cieux... Je vois encor le bourg coquettement posé Comme une ruche ardente au dessus de la plaine, Le clocher le domine et sa flêche hautaine Jette sur l'horizon son profil ardoisé... En bas, la plaine étend sa grasse alluvion Foyer d'activité de tout un petit monde, Grenier ou chacun puise et nourrice féconde Qui fait verdir la plaine et jaunir la moisson. Cependant qu'à son pied, comme un Dieu qui sommeille, Le Lot, calme et profond, roule en ses bords cachés Sous les longs peupliers et les saules penchés, Ses eaux vers le couchant que le soir ensoleille. Les collines là bas, où la voix du torrent S'élève en mugissant, des gorges évasées Dressent leurs flancs abrupts et leurs crêtes boisées Et bornent l'horizon au seuil de l'Occident Livinhac 1906... Poème de Achille ALFARIC ..
C'est beau. J'apprécie, bravo
Dans cet hiver froideux Chichon s'en est parti Parait-il qu'on l'a vu, marchant sur Compostelle Ses proches pleurent, à genoux d'autres prient Il va par les sentiers, les chemins et venelles. Sa besace alourdie par ses nombreux péchés Qu'il compte présenter à la vierge Marie Mais le sac est trop lourd, il a trop blasphémé Et Marie lui a dit, revenez cher ami. Chichon est reparti sur la route basquiste Et de triste retour, et en mine attérée Il s'en est revenu en Basquie l'âme triste. Chichon remplis ton sac, il faut recommencer. Archevêque Ignace de Gambistorty Futur pape
aiguille a écrit :la sup a écrit :.LIVINHAC Coin de terre enchanté, perdu comme un sourire. Parmi l'entassement tourmenté de nos monts, Toi, la fraîche oasis, le joyau des vallons, O Livinhac, je t'aime et je veux te le dire. Car n 'est tu pas dis moi, l'Eden délicieux Ou mon âme d'enfant, en s'ouvrant à la vie, Modula tendrement sa première harmonie, Son hymne au créateur, à la lumière, aux cieux... Je vois encor le bourg coquettement posé Comme une ruche ardente au dessus de la plaine, Le clocher le domine et sa flêche hautaine Jette sur l'horizon son profil ardoisé... En bas, la plaine étend sa grasse alluvion Foyer d'activité de tout un petit monde, Grenier ou chacun puise et nourrice féconde Qui fait verdir la plaine et jaunir la moisson. Cependant qu'à son pied, comme un Dieu qui sommeille, Le Lot, calme et profond, roule en ses bords cachés Sous les longs peupliers et les saules penchés, Ses eaux vers le couchant que le soir ensoleille. Les collines là bas, où la voix du torrent S'élève en mugissant, des gorges évasées Dressent leurs flancs abrupts et leurs crêtes boisées Et bornent l'horizon au seuil de l'Occident Livinhac 1906... Poème de Achille ALFARIC ..
Magnifique. Merci La Sup Si c'était du Xixon il l'aurait appelé Divin Hac Et Claude devrait le lire à ses élèves. Coin de terre enchanté, perdu comme un sourire Parmi l’entassement tourmenté de nos monts Toi, la fraîche oasis, la perle des vallons O Livinhac, je t’aime et je veux te le dire Car n’es-tu pas dis –moi, l’Eden délicieux Où mon âme d’enfant en s’ouvrant à la vie Modula tendrement sa première harmonie Son hymne au créateur, à la lumière, aux cieux Tu formais à mes yeux, une patrie, un monde Je croyais que le ciel pesait sur tes coteaux J’ignorais qu’il était, ville, mont et cours d’eau Par de là les remparts de la conque profonde J’étais insouciant, folâtre, un peu rêveur Aimant déjà les bois, les sources, la verdure Harmonisant en moi, la voix de la nature Porté vers l’avenir dans un rêve berceur Depuis, j’ai déserté ton sol et ton village Triste et frêle jouet des caprices du sort J’ai dû comme un pilote arraché de son bord Lutter contre les flots dans l’horreur du naufrage J’ai vécu loin de toi, les jours de l’exilé Le front chargé d’ennui et de mélancolie Et, par moment le cœur plein de ta nostalgie En secret, j’ai pleuré le bonheur envolé Mais dans le flot pressé de la foule anonyme Malgré l’énervement et le bruit des cités J’ai conservé toujours vivant à mes cotés Ton charmant souvenir comme un trésor intime Je vois encore le bourg coquettement posé Comme une ruche ardente au dessus de la plaine Le clocher le domine et sa flèche hautaine Jette sur l’horizon, son profil ardoisé Tout autour les vergers, simulent un bocage Ou le printemps rieur avec ses doigts fleuris Mêle le rose au blanc, brouille les coloris Et d’un site réel, semble faire un mirage En bas la plaine étend son lit d’alluvions Foyer d’activité de tout un petit monde Grenier où chacun puise et nourrice féconde Qui fait verdir les prés et mourir la moisson Cependant qu’à ses pieds, comme un dieu qui sommeille Le Lot calme et profond roule en ses bords cachés Sous les longs peupliers et les saules penchés Ses eaux vers le couchant que le soir ensoleille Les collines là-bas où la voix du torrent S’élève en rugissant des gorges évasées Dressent leurs flancs abrupts et leurs crêtes boisées Qui bornent l’horizon au seuil de l’occident Plus prés sur les coteaux sillonnés de ravins La vigne tord gaiement ses vieux ceps reverdis Où le soleil d’été par les brûlants midi Darde ses chauds rayons sur les grappes divins Et par endroit perchés sur des verts mamelons Où semés au hasard au fond de la vallée Des villages discrets cachent dans la feuillée Leurs vieux murs décrépis ou leurs blanches maisons Heureux ! Vous qui gardez ces lieux où la nature Associe avec art l’aisance et la beauté Heureux si vous savez goûter la volupté D’une existence simple et vide de murmure Car s’il doit à la glèbe accorder sa sueur L’homme des champs du moins connaît l’indépendance Libre quand il lui plait de chanter sa romance De donner son amour et de garder son cœur Tandis qu’à ses cotés, dans le trouble des villes Règnent la vie intense et l’effort enfiévré Il médite à l’écart sous un toit ignoré Pour chaque jour qui naît, de nouvelles idylles Que sont pour lui le luxe et le fracas mondain Le désir de paraître et le besoin de plaire ? De son calme labeur qui pourrait le distraire Et que demande-t-il pourvu qu’il ait son pain ? Il creuse le sillon et jette la semence Attendant que le cours alterné des saisons Mûrisse le raisin, les fruits et les moissons Qu’il confie à la terre et à la providence Trop fortuné mortel qui vit en souverain Dans un cadre idéal parmi les fleurs écloses Son âme communie avec l’âme des choses Et peut voir sans effroi venir le lendemain Il a reçu le don d’un bonheur qui s’ignore Il passe sans désir et s’étend sans regret Comme la fleur des bois qui naît dans le secret Grandit, s’effeuille et meut au retour de l’aurore. Achille Alfaric (02 Décembre 1906)
Merci...
Je ne sais pas quoi dire Bon, je ferme ma bouche Je ne sais plus écrire C'est bon, je tape en touche. Bonne nuit les enfants Enfilez votre pyjama Un bisou à maman Et vite sous les draps
Puting demain je m'y remet Ce soir j'suis trop fatigué Et je vais plonger dans mon lit. A demain...si je suis en vie
Aujourd'hui c'est jeudi et je suis ensuqué Mais demain vendredi c'est promis, je me soigne La Sup et Ravachol aussi sont dérangés Et de ces mecs jobards il faut que je m'éloigne.
AVIS A LA POPULATION Le secrétariat de M° GAMBI vous communique que le Maître sera absent du site du 22 Mai jusqu'au 14 Juin. Les cadeaux et dons sont reçus à son domicile.
Et voila! Sieur Gambi va repartir en Vacances Laissant là à Marquet Germaine Dame Vaillance Tout çà pour draguer de l'infirmière à outrance Pour revenir plus tard en demandant clémence
Pensons à nous mes frères, enfin débarassé Du ronchon acariatre parti régénérer Un neurone affaibli en donnant des fessées A des infirmières dréssées pour être honorées !
Dernière modification par la sup (17/05/2013 19:42:33)
Gambistorti a écrit :AVIS A LA POPULATION Le secrétariat de M° GAMBI vous communique que le Maître sera absent du site du 22 Mai jusqu'au 14 Juin. Les cadeaux et dons sont reçus à son domicile.
Prend soin de toi
J'aurai un portable mais saurai je m'en servir ?