Billet SVP. RAVACHOL
Depuis ce triste jour où vinrent les nimistes
Le temps s'est arrêté dans mon joli pays
Les fleurs ne poussent plus, tout est devenu triste
Et même le soleil a mis ses rayons gris.
Mon corps réclame en vain les malheureuses frites
Offertes à ce mendiant qui mangeait prés de moi
Et ce vin que Billet me bû à l'improviste,
Vidant sec mon godet pendant que je parlois.
Ignace de Gambistorti. Manque de rime en OI
#590
Gambistorti a écrit :
Ignace de Gambistorti. Manque de rime en OI
Pour les ceusses que tu reçus tu avais: discourtois, putois, pantois, narquois, poix, surpoids, inadéquat (?), soudoie, de guingois, anchois, déchois, renvoi, fourvoie, grivois, rabat-joie.... et tant d'autres mots qui rêvèrent mais furent déçus de ne point figurer en bout de ligne d'un vers de verre du sieur Gambi.
"Vidant sec mon godet et ce pov' rince-doigts."
ou bien
"Vidant sec mon godet, on eu dit un nîmois."
#591
Ravachol a écrit :
Nous emmerder ? jamais ! la crise nous évite
elle a si peur de nous, attablés de concert,
qu' elle prefère s' enfuir au pays où habitent,
les tristes compassés ignorants de Cythère .
Depuis ce repas à La Seyne BILLET SVP a disparu. J'ai prévenu la police, peut être a t'il été empoisonné. En tout cas la police seynoise le recherche partout.
#592
En tout cas, la petite fiancée est super charmante et rigolote en plus. Elle s'est bien adaptée dans ce milieu de vieux.
#593
Les élites
J’ai vu dans les cieux, dépassants les nuages,
Passé goguenard un troupeau de jeunes veaux,
Les plus vieux invitant les minots à être sages,
Leur montrant le moyen de voler au plus haut.
Qu’il a fière allure ce troupeau sans vertige !
Ils se tiennent par la queue, comme nous par la main.
Les voici à présent révisant la voltige
Au signal donné ils joueront un looping inhumain.
En bas sur la colline le maître pavane tout ému.
L’heure venue vers le ciel le signal il envoie
Et les veaux tout heureux se croyant soutenus
A l’aventure se lancent et bientôt se fourvoient.
Qu’il a piètre allure ce mécréant fiévreux !
Courant à droite, courant à gauche, courant tout court,
Faisant des bonds, se tirant les ultimes cheveux,
Le con vocifère, et insulte les veaux sans détours.
Le troupeau en chute libre se rapproche du sol !
Notre énarque s’est planté, pour lui c’est bien peu,
Mais les veaux innocents ne sont pas bénévoles
Pour courser les avions et les stratus fameux.
Par bonheur c’est sur lui que s’écrasent bientôt
Les milles bêtes, le troupeau incongru,
Et l’énarque englouti y perdit et la vie et l’ego,
Lui qui ne su enfanter qu’une idée farfelue.
Du troupeau décimé s’élèvent les regrets,
Les songes des taureaux aux cornes acérées
Empalant sans vergogne de l’ena les légions
Leur plantant pour de bon la corne dans le fion.
Et la terre compatit. De la faune à la flore.
Venant des oiseaux, une complainte ressort
Le bruissement des feuilles se fait avocat
Et le chant se répand « ça viendra, ça viendra »,
« ça viendra, de tous les coins de la terre et du ciel,
« Les foules se lèveront et le cœur léger
« Renverront au rencard les pales élites de fiel,
« Bousculant les peurs et les chaînes brisées.
#594
Ce triste vendredi commence à me gonfler,
Que vienne samedi le plus rapidement
Car je m'emmerde dur, plus, je me fais chier
Je veux quatre godets et du pastis dedans
#595
Riennnnnnnnnnnnnn ! c'est juste pour faire avancer le schmil........blick
#596
Le grand Jacques ne m'en voudra pas, c'est pour faire avancer le post à Gambi.
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Il faut m'oublier
Tu peux m'oublier
Et t'enfuir de là.
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
A savoir comment
Oublier ces heurts
Qui tuaient parfois
A coups de parois
Le bras du voleur
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Moi je m'offrirai
Tes liasses de billets
Venues de pays
Où ils n'imposent pas
Je creuserai la terre
Jusque près du fort
Pour ouvrir ton coffre
D'or et plein de pierres
Je prendrai une semaine
Où le labour sera roi
Où le labour sera choix
Où tu criera chienne
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Moi j'inventerai
Des mots insensés
Que l' flic comprendras
Je leur parlerai
De ces matins-là
Qui t'ont vu deux fois
Le pétard dégainer
Je leur raconterai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Su te balancer
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
On a ouïe souvent
Retentir les feux
D'un ancien battant
Qu'on jugeait trop vieux
Il est paraît-il
Des banques brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le choix
Pour qu'un ciel flamboie
La courge et l'anchois
Ne s'éloignent-ils pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Je ne vais plus pleurer
Je vais leur parler
Je les cacherai là
On va te regarder
Clamser et pourrir
Et à t'écouter
Geindre et puis pire
Laisse-moi prévenir
Les ombres de ces ombres
L'ombre de ces malins
L'ombre de ces chiens
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
Ne m'étripe pas
#597
Ah! quelle belle équipe réunie ce jour là
C'était aux temps lointains ou nageaient les oiseaux
La table étaient garnie de joyeux darnagas
Et le vin semblait doux au gais godelureaux.
#598
Je remonte ce post, à la fois merveilleux,
Super intelligent dans ce désert foireux
Car excepté Gambi et ces phrases jolies
Personne n'est de taille à lutter avec lui.
Ravachol le nimois s'y est bien essayé
Mais trés rapidement il a abandonné
Normal, car illettré il doit d'abord apprendre,
A reviser ses cours et l'alphabet reprendre.
Ignace deGamby Poète de cité
#599
Juste pour remonter le sujet
#600
Gambistorti a écrit :
Juste pour remonter le sujet
Sans verbe ni complément ?
Tu ne mérites aucun compliment !
#601
[size=10]Qu’est devenu le « Cercle des poèmes disparus »[/size]
Et oui ce sujet comme « xixon » aura-t-il bientôt disparu?
Poètes en manque d’idée trop vieux seraient ils devenus ?
Réveillez vous ! S’il le faut de l’étui sortez vos lunettes
Ecrivez de vos plumes d’oies toutes sortes de sornettesJe commencerai pour ce qui est le plus important
La fête à toutes celles qui sont ou seront mamans
Suivi par l’appel à celui qui œuvre à l’animation
De conneries il fournit abondamment la récréation Une belle pensée pour nos douces et tendres femmes
Tous les jours nous devons leur déclarer notre flamme !
Grâce a elles nos chers bambins ont pût voir le jour
Aimons les toujours car elles leurs prodiguent l’amour !Sir « Gambi » ce sujet tu l’as ouvert il y a quelque temps
Des chevaliers du stylo y faisaient allégeance souvent
A toi de le relancer avec des vers à l’endroit, à l’envers
Afin que nous puissions répondre et remettre le couvert Cracks : Poètpèredudevue
#602
mmhmmm...
Un jour la petite huguette
tripote moi la bite avec les doigts
un jour la petite huguette
s'en allait dans les bois
Et il vous en prie...