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Fly half a écrit :TINOU54 a écrit :L'hiver s'est invité paré de ses atours, Poussé par le blizzard balayant les faubourgs, Venant gifler l'aurore de ses glaces si dures, Recouvrant l'horizon d'un manteau blanc nature. Nous resterons blottis près de l'âtre éclairé, Crépitant, s'égayant de flammèches dorées, S'embaumant des essences de bois sec et joyeux, Se laissant transporter dans nos rêves heureux. Mais le contraste est fort et j'en suis mal à l'aise, De savoir que dehors d'autres peinent et se taisent, Transis, gelés, gercés, marqués par tous les temps, Et à jamais blessés par la froideur des gens. Comment imaginer dans ce monde en sursis, Que certains soient choyés mais que rien n'assouvit, Laissant dans la misère, le vide et la souffrance, Ceux que la vie aura condamnés au silence. Tinou 27-12-2011
Superbe! tu as fait math sup poésie???
un peu de ça... 
Atypique est mon parcours,
Érotique est à l'amour,
La musique au troubadour,
L'historique aux beaux discours.
TINOU54 a écrit :Fly half a écrit :TINOU54 a écrit :L'hiver s'est invité paré de ses atours, Poussé par le blizzard balayant les faubourgs, Venant gifler l'aurore de ses glaces si dures, Recouvrant l'horizon d'un manteau blanc nature. Nous resterons blottis près de l'âtre éclairé, Crépitant, s'égayant de flammèches dorées, S'embaumant des essences de bois sec et joyeux, Se laissant transporter dans nos rêves heureux. Mais le contraste est fort et j'en suis mal à l'aise, De savoir que dehors d'autres peinent et se taisent, Transis, gelés, gercés, marqués par tous les temps, Et à jamais blessés par la froideur des gens. Comment imaginer dans ce monde en sursis, Que certains soient choyés mais que rien n'assouvit, Laissant dans la misère, le vide et la souffrance, Ceux que la vie aura condamnés au silence. Tinou 27-12-2011
Superbe! tu as fait math sup poésie???
un peu de ça...
Là effectivement, tes acrostiches Nous charment, et nous aguichent.
bibu a écrit :TINOU54 a écrit :Fly half a écrit :Superbe! tu as fait math sup poésie???
un peu de ça...
Là effectivement, tes acrostiches Nous charment, et nous aguichent.
Ouais, çà ferait presque bander Si l'andropause bien malicieuse Ne venait nous réprimander En tiquant sur la malheureuse Paire de pois chiches désséchés Qui quelques années plus tôt Lors de longues nuits éméchées Emerveillaient toutes les bimbos.
Il faudrait peut être vous remuer le fion, Vous remettre à écrire de nouvelles chansons.
Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur bat pour la seyne !
petit hommage à polo verluchon
Je regrette toujours le poème que j'avais écrit sur le thème de la transfusion sanguine. C'était il y a deux ans à peu près et tout a été effacé par une malencntreuse manip d'Olivier. En regardant le sang couler das mes veines je me demandai d'où pouvait t-il venir. De gens des cités, des prisonniers incarcérés, c'était du sang africain ou pire encore, du SANG ARABE. Je me demandai si un jour LE PEN avait subi une transfusion.........et s'il avait exigé auparavant que le sang était essentiellement du sang de bon français. Dommage que ce poème se soit perdu
Fly half a écrit :TINOU54 a écrit :L'hiver s'est invité paré de ses atours, Poussé par le blizzard balayant les faubourgs, Venant gifler l'aurore de ses glaces si dures, Recouvrant l'horizon d'un manteau blanc nature. Nous resterons blottis près de l'âtre éclairé, Crépitant, s'égayant de flammèches dorées, S'embaumant des essences de bois sec et joyeux, Se laissant transporter dans nos rêves heureux. Mais le contraste est fort et j'en suis mal à l'aise, De savoir que dehors d'autres peinent et se taisent, Transis, gelés, gercés, marqués par tous les temps, Et à jamais blessés par la froideur des gens. Comment imaginer dans ce monde en sursis, Que certains soient choyés mais que rien n'assouvit, Laissant dans la misère, le vide et la souffrance, Ceux que la vie aura condamnés au silence. Tinou 27-12-2011
Superbe! tu as fait math sup poésie???
Oui, magnifique !
Ravachol a écrit :Gambistorti a écrit :Je regrette toujours le poème que j'avais écrit sur le thème de la transfusion sanguine. C'était il y a deux ans à peu près et tout a été effacé par une malencntreuse manip d'Olivier. En regardant le sang couler das mes veines je me demandai d'où pouvait t-il venir. De gens des cités, des prisonniers incarcérés, c'était du sang africain ou pire encore, du SANG ARABE. Je me demandai si un jour LE PEN avait subi une transfusion.........et s'il avait exigé auparavant que le sang était essentiellement du sang de bon français. Dommage que ce poème se soit perdu
Il ne faut pas de faire du mauvais sang pour ça.
Imagine un instant qu'on tranfuse du sang arabe ou afrikain à J M. Lepin?
Ravachol a écrit :Personnellement, j' ai toujours dit que je voulais savoir à qui je donnais mon sang. Je refuse donc les transfusions, rien qu' en pensant que ça pourrait aller à un CRS.
Soit tranquille, les CRS depuis ton (notre) jeune temps, ont appris à respecter une hygiène de vie, ils n'ont pas droit de se faire transfuser par un quidam qui flirte en permanence avec les 2 g ...
Dernière modification par bibu (17/02/2012 18:46:46)
bibu a écrit :Ravachol a écrit :Personnellement, j' ai toujours dit que je voulais savoir à qui je donnais mon sang. Je refuse donc les transfusions, rien qu' en pensant que ça pourrait aller à un CRS.
Soit tranquille, les CRS depuis ton (notre) jeune temps, ont appris à respecter une hygiène de vie, ils n'ont pas droit de se faire transfuser par un quidam qui flirte en permanence avec les 2 g ...
Ouais, en dessous de 4 g, ils rejettent ! :8
Tes mots ont ébranlé le coeur de ma Germaine Et je ne la tient plus, car il lui tarde enfin De voir un spécimen de la cité romaine. Paix à toi Ravachol et bon vent. A demain.
Ravachol a écrit :Moi je ne risque rien, je connais mes classiques, C' est plutôt pour Billet que je crains la cata, Imagine un instant qu' il balance sa chique, En plein dans la saucière, éructant son Calva
tu connais tes classiques mais mal la bienséance, car tout le repas tu as ramené ta science tout en dérobant à notre ami gambi ses frites et en te tripotant nonchalamment la b... !!!
Ravachol a écrit :Nous emmerder ? jamais ! la crise nous évite elle a si peur de nous, attablés de concert, qu' elle prefère s' enfuir au pays où habitent, les tristes compassés ignorants de Cythère .
Germaine a l'air en forme et le Gambi coquin, Ravachol et Billet sont quant à eux complices, la table fleurant bon l'ambiance et le bon vin, ne reste plus alors qu'à s’offrir un délice. Belle table les jeunots !
