ADIEU.............
Adieu écrits du coeur, vous voilà envolés
Pour la deuxième fois. Je suis triste à pleurer.
Les larmes de mon corps coulant sur mon clavier
Mouillent mes belles lettres. Maudit soit Olivier.
Perdue la communion des poètes maudits
Perdue à tout jamais les mots bleus si jolis
Qui repeignaient en rose ce site du rugby.
Adieu phrases fleuries, adieu mes conneries.
Les larmes de mon corps coulent sur le clavier,
Mon petit chat aussi à la mine éplorée
Pareil à Ravachol quand Nimes a déconné
Et qu'un Xixon chauvin glorifie les lyonnais.
Ignace de Gamby. Poètepourchassé. (lol)
Rien ne sert de pleurer, il faut rimer à temps,
Il est difficile en ces jours de se croire poète.
La misère nous cerne et on se sent impotent,
y'a plus d'argent pour réparer la mobylette.
La poèsie hélas, jamais ne rendit riche
Et le pastis est cher, épi faut des glaçons,
Alors, c'est pas en prenant un ticket de bourriche
Que Gambi offrira à Germaine un vison!
La sup, poète fauché et solidaire....
#562
Je renouvelle l'idée que j'avais formulé il y a k temps. Il faudrait choisir les plus beaux poèmes et leS éditer.
[size=24]Chichon , dégote nous une idée.[/size]
Je sais qu'il faudra former un comité de lecture pour faire le choix.
Dernière modification par Gambistorti (04/10/2011 08:48:30)
#563
Pour la 14ème année consécutive, le Cercle Poétique de Sainte Victoire organise un Concours National de Poésie, dont les résultats seront proclamés dans le cadre des XIVèmes Rencontres Poétiques de Sainte Victoire, au mois de mai 2012.
Ce concours a pour objectif d’encourager et de promouvoir l'écriture poétique. Il est ouvert à toutes les personnes d'expression française, sans distinction d'âge ou de nationalité, réparties en quatre catégories correspondant à l'âge des candidats :
-1- Adultes
-2- Lycéens et étudiants
-3- Collégiens
-4- Ecoliers
Depuis 1999, la progression constante du nombre de participants atteste du succès du concours ; nous espérons vivement que vous nous ferez cette année l’honneur de concourir.
A cet effet, nous vous adressons ci-joint une fiche d’inscription ainsi que le règlement du concours.
Vous pouvez aussi trouver cette fiche sur notre site :
Dans l’attente de lire bientôt vos poèmes et de vous accueillir au mois de mai 2012 à l’occasion des XIVèmes Rencontres Poétiques de Sainte Victoire, tous les membres du Cercle Poétique de sainte Victoire vous adressent leurs salutations poétiques.
#564
Rimailleur peut être, con coureur certes non,
Et puis qui sont ces juges qui vont lire mes rimes ?
Sont ils fils de Verlaine ou de Lautréamont ?
Ont ils tant de talent pour placer sur les cimes
Les doux versicoteurs devant eux attachés
A sagement aligner des phrases imbéciles
Avec pour seul orgueil du Podium approcher ?
Celà m'ennuit déjà et m'apparaît futile !
La sup poèteindomptable ]:D
#565
Une pensée profonde pour ce vieux voyageur
Qui est parti de Nîmes vêtu de peaux de bêtes
Pour rejoindre bien loin le Népal de son coeur
Et son Yéti cousin qui règne sur les crêtes.
Bien des gens vont sourire en regardant ces lignes
Mais non, l'histoire est vraie ce n'est pas un mirage
Car notre Ravachol, c'est de ce nom qu'il signe
Grimpe sur des sommets entourés de nuages.
Isidore de Gambystorty. Poètedéfroqué.
#566
Je ne vois plus ici de ferveur populaire,
De rimes enjouées qui font aimer l'hiver.
Les auteurs se sont tus et leur plume a séché,
Délaissant leur pupitre et l'encrier vidé.
La poésie perdue, que reste t-il alors ?
Pour chasser notre ennui, embellir le décor,
Continuer sans flamme un chemin de labeur,
Et redonner un sens à la quête au bonheur.
Je ne peux te laisser ainsi seul en errance,
Tel un bien si précieux tombé en déshérence,
Je viens juste un instant briser ta solitude,
Calmer ton impatience, te redonner quiétude.
Quand je vais au jardin humer l'arbre et la terre,
Écouter le vent froid balayer nos misères,
Je ne peux m'empêcher de penser à ceux qui,
Bientôt grelotteront dans les nuits sans abri.
Tinou 11/11/2011
#567
MAGNIFIQUE
#568
Poème d'Olivier Interdit aux moins de 18 ans
#569
LA SEYNE vers 1930 et en chanson. Tamaris est un quartier de La Seyne
Cliquez pour trouver la chanson
Dernière modification par Gambistorti (08/12/2011 17:20:16)
#570
Ce soir je suis un peu triste et songeur
Une grande dame est morte j'en ai peur
Cesaria du Cap vert et son fado
Se sont barrés ce n'est pas un cadeau
Et puis pour nous rendre l'âme plus Lourde
S'en est partit monsieur havel
Il n'avait pas construit son pays a la truelle
Mais son départ ressemble a une bourde
Pourquoi faut ils qu'ils disparaissent
Pour que nous arrêtions de parler de fesses
Pourquoi devons nous être en peine
Pour arrêter nos discours de haine
#571
Je lui offre ce merveilleux poème d'Aragon chanté par Francesca Solleville
#572
Sonnez les cors et résonnez trompettes
Sortez vos carafons et vos accordéons
Car en ce jour c'est Armand que l'on fête
Buvons à sa santé, jusqu'à devenir ronds.
#573
L'hiver s'est invité paré de ses atours,
Poussé par le blizzard balayant les faubourgs,
Venant gifler l'aurore de ses glaces si dures,
Recouvrant l'horizon d'un manteau blanc nature.
Nous resterons blottis près de l'âtre éclairé,
Crépitant, s'égayant de flammèches dorées,
S'embaumant des essences de bois sec et joyeux,
Se laissant transporter dans nos rêves heureux.
Mais le contraste est fort et j'en suis mal à l'aise,
De savoir que dehors d'autres peinent et se taisent,
Transis, gelés, gercés, marqués par tous les temps,
Et à jamais blessés par la froideur des gens.
Comment imaginer dans ce monde en sursis,
Que certains soient choyés mais que rien n'assouvit,
Laissant dans la misère, le vide et la souffrance,
Ceux que la vie aura condamnés au silence.
Tinou 27-12-2011
#574
TINOU54 a écrit :
L'hiver s'est invité paré de ses atours,
Poussé par le blizzard balayant les faubourgs,
Venant gifler l'aurore de ses glaces si dures,
Recouvrant l'horizon d'un manteau blanc nature.
Nous resterons blottis près de l'âtre éclairé,
Crépitant, s'égayant de flammèches dorées,
S'embaumant des essences de bois sec et joyeux,
Se laissant transporter dans nos rêves heureux.
Mais le contraste est fort et j'en suis mal à l'aise,
De savoir que dehors d'autres peinent et se taisent,
Transis, gelés, gercés, marqués par tous les temps,
Et à jamais blessés par la froideur des gens.
Comment imaginer dans ce monde en sursis,
Que certains soient choyés mais que rien n'assouvit,
Laissant dans la misère, le vide et la souffrance,
Ceux que la vie aura condamnés au silence.
Tinou 27-12-2011