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Attention : retrouvez les sujets de vos équipes préférées dans le forum clubs.
Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.
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cessez donc gentlemen ces vaines querelles allez donc chenapan taquiner vos belles rangez au grenier vos armures et épées crack et ravachol vos douces sont affamées
Dernière modification par fabien (16/02/2011 11:51:01)
Demain sera donc jour de fête dans le pays Mîmois De part les orgies et festoyades sous tous les toits ! Cracks et Ravachol seront d'alcool tout estourbis Et enfin boirons le verre de l'amitié jusqu'à la lie!
ravachol a écrit :Crois-tu Fabien que tels ce langoureux Tinou, Nous allons prendre luth pour en pincer les cordes, Chat de gouttière hurlant des milliers de miaou Aux pieds de l' Alsacienne succombant sous la horde
avec l'age venant, la paix du calebard a engourdi sournoisement, notre Tinou finies les gateries adieu le carambar bonjour les chamalos et les roudoudous
ravachol a écrit :Un texte assez peu connu de Victor Hugo qui s' applique tellement bien à nombre de nos élus......... Quand l’honneur est tombé, rien ne reste debout. On s’avilit, qu’importe ! on s’accoutume à tout, Aux lâches actions comme aux paroles louches. On laisse aller son nom au hasard dans les bouches. On descend chaque jour, sans remords, sans appuis, Plus bas, un peu plus bas, toujours plus bas, et puis On ne s’aperçoit plus qu’on monte ou qu’on descende. Il arrive un moment où la honte est si grande Qu’on ne fait même pas d’efforts pour en sortir. C’est le dernier degré de ne la plus sentir. Quand on ne rougit plus et lorsqu’on rit sans cesse, C’est que l’on a touché le fond de la bassesse ; C’est qu’on se trouvé là comme sur un plancher, Et qu’on est satisfait d’y vivre et d’y marcher. - Alors tout est fini. Plus d’espoir, plus de crainte. La dernière lueur des âmes est éteinte. On est naïvement un monstrueux gredin. - L’opprobre ; le dégoût, le mépris, le dédain, - Devient si naturel aux hommes comme aux femmes Qu’ils en sont à ne plus savoir qu’ils sont infâmes !
Je ne savais fichtre point Que le Grand Victor Hugo, Et ce même de très loin Ait connu le petit Nico. Et pourtant, s'il faut en croire La description précédente, Soit se répète l'histoire, Soit les nabots se réinventent. C'était Naboléon hier, C'est juste Nabot tout court Aujourd'hui. Pas de quoi être fier, Le progrès, çà marche pas toujours ! La sup poète historique...
Gambistorti a écrit :Gambi en colère... Pendant que les conos s'en vont tous à la plage Moi, je suis condamné à me faire chier, Attendant sagement ces mots plus ou moins sages Qui viennent se jeter sur mon écran d'été. Je trouve ces mots beaux et m'étonne toujours Qu'un homme comme moi perde avec vous son temps Je mérite bien mieux que ce forum de fous Mais que fais je avec vous qui êtes ignorants ? Ben oui, je le répète je m'ennuie à chier Même pas un Chichon pour emmerder un peu Même pas Givordine pour des mots, échanger J'en ai marre de vous, vous jouez pas le jeu. Je vous vois, le cul nu au bord de vos piscines Ou prenant le soleil en sirotant des bières D'autres roulant du torse pour mater les copines Qui offrent leurs seins nus, dont elles sont trés fières. Et pendant ce temps là, Gambi n'existe plus Oublié le vieux bouc, envolé le rugby Finies les empignades, les coups les plus tordus Mais c'est l'été Papy, ton rugby c'est fini. Ignace de Gamby...Poètedelemmerdement.:lol: PS. J'ai écrit "EMPIGNADE" par errer, mais le mot me plait.[size=15] EMPIGNADE [/size]c'est mieux qu'EMPOIGNADE C'est juste pour faire avancer le shilmmilimiblic
Il faudra bien t'y faire à cette solitude, Pauvre coeur insensé, tout prêt à se rouvrir, Qui sait si mal aimer et sait si bien souffrir. Il faudra bien t'y faire ; et sois sûr que l'étude, La veille et le travail ne pourront te guérir. Tu vas, pendant longtemps, faire un métier bien rude, Toi, pauvre enfant gâté, qui n'as pas l'habitude D'attendre vainement et sans rien voir venir. Et pourtant, ô mon coeur, quand tu l'auras perdue, Si tu vas quelque part attendre sa venue, Sur la plage déserte en vain tu l'attendras. Car c'est toi qu'elle fuit de contrée en contrée, Cherchant sur cette terre une tombe ignorée, Dans quelque triste lieu qu'on ne te dira pas. d'alfred à george
Je ne perd plus mon temps à zieuter vos fadaises Sottes banalités, sonnets de platitudes, Arrêtez je vous prie ou je fais un malaise Reprenez le chemin de vos pâles études. Elève Ravachol tu auras un zéro Tinou ce n'est pas mieux un deux te suffira Quant à toi petit Cracks, essuies donc le tableau Et Chichon quant à toi je t'en prie, ferme la.
ravachol a écrit :Gambi tu nous les brises à pleurer comme un veau Le malheureux Tinou a le coeur déchiré Car sa tendre Alsacienne ne lui parle plus trop Préférant je le crois ce couillon d' Olivier
Demain, je vous promet vous aurez votre compte Car il est temps pour moi d'aller me dormassier Germaine va me lire les pages d'un beau conte Tiens, ma sonnette tinte, c'est mon con d'infirmier.
Dernière modification par Gambistorti (17/02/2011 20:17:57)
ravachol a écrit :Gambi tu nous les brises à pleurer comme un veau Le malheureux Tinou a le coeur déchiré Car sa tendre Alsacienne ne lui parle plus trop Préférant je le crois ce couillon d' Olivier
Ravachol, je peux te l’affirmer Rien n’y personne ne saura remplacer Mon cher et tendre Tinou Pas même Olivier, travailleur acharné Qui de ces lieux garde si bien les clés Il faut que tu saches Ravachol Que son absence me rend folle Reviens je t’en supplie Tinou En silence j’attend tes belles paroles Pour qu’une fois de plus je décolle…
Chris XV / TINOU LIV Voila que de ce Pays bien loin de chez nous On supplie, on prie le retour de l’ami Tinou Une plainte amoureuse venant d’une belle Passe les monts et langoureusement appelle Que deviens tu toi le cinquantenaire ? Serais tu prêt à rajeunir pour plaire ? Car il te faudra pour toute jouvencelle Du baume au cœur pour ta Christelle Un temps soit peu aurais tu un sifflet sur l’épaule en tatouage En plein cœur tu toucheras la Strasbourgeoise au jeune âge Et si plus es tu adule l’équipe de France et tout son quinze L’alsacienne avouera par mots doux que pour toi elle en pince Cracks : Poètprogénérationnel O:)
Mais que cette accusation de ne pas se casser le fion est d'une grande bassesse et manque de noblesse Il en eut été autrement si ce fut un mot de Christelle ou meme celui d'une autre belle répond moi si je mens Alors Chichon a toi seulement que de ce lieu l'esprit bonenfant tu reduits et tu pourfends je te dis tu es un mécréant Néanmoins et pour l'équité Je dois toutefois avouer Que souvent tu me fais sourire et que d'autres aussi me font rire Alors toi, moi et les grabataires Continuons notre combat de style souvent epistolaire sans mettre sur notre clapet un rabat.
Dernière modification par billiardfrancais (18/02/2011 10:45:37)
Je souris de vos vers et je suis très ému, L’humour qui nous unit et vos mots qui me touchent, Aiguisant mon plaisir me voyant confondu, Devant tant d’attention sortie de saines bouches. Ces jours-ci je suis triste, j’ai perdu un ami, Parti jouer ailleurs loin du rectangle vert, Un guide à mes débuts, jeune épris de rugby, Puis devenu complice jusqu’aux pires galères. Je voudrais l’honorer d’un message d’amour, Que je déposerai pour la postérité, Et que je confierai aux témoins troubadours, Ici sur ce bon site où j’aime vous compter. Au delà de l’absence, lorsque quelqu’un vous quitte, Ce sont les souvenirs qui ravivent l’histoire, Des écarts de colère et délires frénétiques, A ces joies partagées et ces moments de gloire. Tinou 18-02-2011
Dernière modification par TINOU54 (18/02/2011 18:12:06)
chrisXV a écrit :ravachol a écrit :Gambi tu nous les brises à pleurer comme un veau Le malheureux Tinou a le coeur déchiré Car sa tendre Alsacienne ne lui parle plus trop Préférant je le crois ce couillon d' Olivier
Ravachol, je peux te l’affirmer Rien n’y personne ne saura remplacer Mon cher et tendre tigrou Pas même Olivier, besogneur acharné Qui de mon pieux darde si bien son vié Il faut que tu saches Ravachol Que ton corps me rend folle Reviens je t’en supplie mon loup En ton absence j’attend tes belles paroles Pour qu'enfin j'arrete la picole…
même pas honte d'avoir légérement transformé sa pensée