Crack le vagabond........
Je vais vous raconter ce qui m'est apparu
Dans un matin froideux d'un Janvier finissant.
Arrivant, titubant, et tout de blanc velu
Un pauvre hère doublé d'un triste individu.
Il a sonné chez moi, parlé à l'interphone
[font=Arial]J'ai faim mon cher monsieur, ouvrez moi s'il vous plait [/font]
- Fout le camp vagabond, moi je n'ouvre à personne -
Mais Germaine avait vu, elle a tourné la clef -
Je suis Crack nous dit t-il en patois grenadien
Et je pars pour la Corse où je vais me cacher
La bas j'ai des amis qui me recevront bien
Une simple cabane pour moi et c'est le pied.
J'ai eu pitié du gars, je suis un type si bon
Mais après son départ en rangeant mes tiroirs
J'ai vu qu'il m'avait pris ma belle argenterie
Oh! Crack si tu reviens, évite ma maison.
#394
Réponse à « Gambi du net » pas net !!Croyez-vous ce vieux fou qui vous narre conte de Noël ?
Cracks s’est dirigé par hasard chez lui au gré du vent
Mais quelle surprise ne fut pas de l’accueil du mécréant
Il me chassa en m’envoyant de vils mots pas du tout naturels Heureusement l’accueil de « Germaine » fut d’un autre acabit
Et m’a supplié plusieurs fois de l’amener bien loin de ce bandit
Disant à qui veut l’entendre qu’impossible était de vivre avec lui
Qu’il la retenait depuis contre son gré en la menaçant d’un fusilJe suis donc rentré dans l’antre du monstre voulant le sermonner
Hélas même le verre d’eau qu’il m’a offert était complètement souillé
Il buvait du Coca le bougre mélangé avec l’Armagnac hors d’âge
Je suis donc reparti sans Germaine et ce faisant j’ai fait le ménageEspèce d’escroc à l’assurance dans ses tiroirs en fait d’argenterie
Je n’ai en réalité ramassé et vu après coup que le la quincaillerie
Dans un coin du hall trainait un très vieux parapluie étiqueté « Bocho »
Ne sachant qu’en faire je l’ai laissé au propriétaire dans son vieux pot Croyez vous qu’un jour nos chemins se recroiseront ?
Pourquoi pas me direz vous ? Que je lui rende raison
Germaine t’es une sainte à supporter ce compagnon
Merci @ vous deux pour l’accueil je vous bise sur le front Cracks : PoètGrenadoseynois
#395
ravachol a écrit :
Tinou, je te sens, si j' ose dire, énamouré,
Tu ne dois pas risquer ta vie à chaque instant,
Continue comme ça, et ton coeur va flancher,
Jamais tu ne verras refleurir le Printemps.
De la vie chaque instant j'aimerais profiter,
Quitte à mourir avant que ne vienne l'été,
Et si le doux printemps ne peut pas patienter,
Qu'importe le moment j'ai besoin de rêver.
#396
ravachol a écrit :
TINOU54 a écrit :
ravachol a écrit :
Tinou, je te sens, si j' ose dire, énamouré,
Tu ne dois pas risquer ta vie à chaque instant,
Continue comme ça, et ton coeur va flancher,
Jamais tu ne verras refleurir le Printemps.
De la vie chaque instant j'aimerais profiter,
Quitte à mourir avant que ne vienne l'été,
Et si le doux printemps ne peut pas patienter,
Qu'importe le moment j'ai besoin de rêver.
Intermittent frileux d' un désamour fugace,
A te voir envoler tu sais que la donzelle
Un jour finira bien par se sentir lasse
Et te laissera choir au fond de la poubelle.
La fille est généreuse, ce qui me plait en elle,
D'autant qu'elle est dotée d'une jolie cervelle,
Pourquoi ne pas le dire, elle est si spontanée,
Que les hommes ne peuvent qu'en être amourachés.
Je l'imagine nue, offerte, langoureuse,
M'invitant de ses lèvres, de ses formes gracieuses,
A la rejoindre enfin dans un élan fiévreux,
Dans une étreinte folle, un hymne d'amoureux.
Et si elle veut de moi tout au fond de son corps,
Je saurai la guider pour qu'elle m'aime encore,
S'enivrant de plaisir jusqu'à la jouissance,
Et qu'ainsi elle chavire en s'offrant ma semence.
[size=5]Aie aie la censure ! J'assumerai seul mes dérives, et je jure sur l'honneur que personne ici ne m'y aura encouragé[/size]
#397
Chichon Hac 64 a écrit :
olivier a écrit :
je t'ouvrirai les fesses
A très grande vitesse
Et te mangerai l'oignon
en guise d'introduction
Et si tu en redemandes un peu
N'aies point peur du démonte peneux
Qui, comme un marteau pilon
fera de ta chatte une huitre belon
Baveuse tu seras,
Crémeuse tu aimeras
Baton de berger servi
Je te souhaite bon appétit
Tu vois Tinou!! t'es une guimauve à coté!!!!!!!!!!! et c'est signé The Boss.............:lol::lol::lol::lol::lol::lol::lol::lol:
Il était en forme Olivier ce jour là
#398
Les yeux sont doucement fermés
La peau est légèrement voilée
Parfum d'amour et de caresses
Qui fait naitre une tendre ivresse
Les cheveux jusqu'au bas des reins
Une mains lui frolant les seins
Le désir suscite chez elle
Quelques images passionnelles
Soudain, dans cette étreinte tendre
Le bien etre vient la surprendre
Une douce vague de plaisir
Qui vient peu à peu l'envahir
Et se termine en un soupir.
#399
Révolution sur RF.
Poétistes de tous pays, UNISSEZ VOUS
Et face à l'Olivier sortez vos pistolets
A bas le dictateur affairiste et ripoux
Pour un libre forum, osez la liberté.
Aux armes citoyens, chassons l'affreux nimiste
Devenons tunisiens, devenons égyptiens
C'est la révolution, devenons Gambiniste
C'est un chef qu'il nous faut, honnête, droit et bien
#400
Aujourd'hui, parait-il, est le jour de l'amour,
Faut-il donc un décret ou un calendrier,
Nous imposant nos choix, dictant nos sentiments,
Pour que l'on s'autorise à vivre ces moments,
En toute liberté sans culpabiliser,
Conditionnant nos vies sans nul autre recours.
#401
Il faudrait pour bien faire fête la saint Kono
Et là au moins on pourrait s'embrasser
Si tirer des patins et s'offrir des cadeaux.
Mon Xixon, mon amour, voici un beau bouquet.
#402
Moi je serai plutôt por la fête des bargeots
Des barges ici il y en a et pas que dans les canaux
Et si tu lis et regardes bien sur Rugby Fédéral
Les plus fadas sont dans le pays du mistral
#403
Nous avons, brave cracks, du soleil à revendre,
On peut t' en envoyer si tu es trop morose,
Les cathares nous dit-on ont des mines de cendre,
Nous ne voudrions pas voir s' étioler ta prose.
ce beau deal me semble juste à entendre
pas de craque sieur armand, mais de chauds rayons
reveillant notre crack qui ne saurait attendre
le printemps pour reprendre pages et crayons
#404
Sache qu'avant la Garonne à Grenade y coule la Save
Ou il est vrai avant le soleil y règne le brouillard
Mais sans nul doute le Cathare n'a point le cafard
Et attend le Nimiste pour le couler le cave
#405
Comme on dit chez moi au pays Grenadain
Il est hors de question de laisser dire un coquin !
Tremble si par malheur Ravach tu nous attaques
De Midi-Pyrénées tu essuieras une grosse claque !
#406
Tous derrière moi , et qu’importe la gloire
C’est sur nos terres que nous crierons victoire !
On te fera fléchir "Ravach" vielle canaille
Et on prendra plaisir à te livrer bataille !