J’aime entre tes draps boulverser ton espace,
changer ta lassitude en autant d’audace,
te faire rugir, ouvrir de nouvelles traces,
Toi si féline mi docile mi catain
oubliant ta sagesse, salope en satin,
Pour mieux m'entreprendre et crier grace enfin.
Tu as au fond de toi en ce corps enlassant,
une femme révoltée contre les malbaisants,
De relations précoces en amours mendiant,
Tu n’a jamais cédé quitte à jouer en faux,
face à ces idalgos brandissant leur foureau,
refusant leur offrandes, snobant leurs cadeaux.
#324
ravachol a écrit :
Debout ! les damnés du Sancerre !
Debout ! les forçats du Chignin !
Le raisin tonne en son cratère,
C’est l’éruption de la fin.
De l' Evian faisons table rase,
Foule esclave, et glou ! et glou !
Le monde va changer de base :
Nous ne sommes rien, soyons saouls !
[size=15]C'est la flûte finale ??? [/size]
#325
C'est la flûte finale
Vous avez tout bouffé
Bande de morfales
Vous me faites chier.
#326
La rue d'Alger vois tu est une rue bien calme
Qui descend vers le port où mouillent les vaisseaux
On y voit quelques vieux mais plus de belles dames
Qui sont parties plus loin, dans le vieux Chicago
#327
J'ai entendu tantôt sur Fréquence Basquie
Qu'un quidam aviné et de forte prestance
Avait été trouvé par la gendarmerie
Criant "Vive Bigaulle le sauveur de la Frane"
#328
J'habite un quartier sans cible
La peau lisse me prend pour cible
La Marseillaise je la nique
Comme Anelka j'suis cynique
Mais pas vraiment courageux
Toujours je planque mes yeux
Mon chien se nomme Hortefeux
Aux bagnoles je mets le feu
Les filles sont toutes des chaudasses
En D&G j'ai trop la classe
#329
Etant le proprio du site
Oyez le nouveau
Dorénavant tout poétiste
Devra, sur compte courant
S'acquitter de 50 Euros
Et c'est donné, c'est prix cadeau
#330
moi je connais un grand barjo
un vrai fada des bals à Jo
autrefois dans une autre vie
on l'appelait le gros Bambi...
en attendant il traine au bar
entouré d'un paquet de jobards
si jamais vous passez par chez lui
n'oubliez pas de saluer Gambi
mais pour ses foutus 5o euros
peut s'les carrer dans l'bas du dos.
#331
[size=15]Bienvenue à BERRURIER[/size]
Saluons l'arrivée de l'ami Berrurier
Fidèle à sa devise, dégueu et mal rasé
Le site c'est certain a fait la bonne affaire
Avec cet asticot aux allures grossières.
Ces écrits puent le vin et le mauvais alcool
Me rappelant beaucoup l'odeur de Ravachol
Ou celle de La Sup au fumier de mouton
Au pays des crados, c'est bon, nous t'acceptons.
Vicomte Amédée de Gambistorty. Poèteauxpiedssales
Dernière modification par Gambistorti (30/12/2010 18:08:10)
#332
Parlez-moi d'amateurs et non pas d'pros pédants
L'rugby pro me dégoute et m'fait grincer les dents
Le jeu léché me met en rage
Car le plus grand amour qui m'fut donné sur terr'
Je l'dois à l'ovalie bénévole, je l'dois à Jupiler*
Sur un pré sans tribunes où on bade les plaquages
bibu plagieurbrassensophile
*
#333
Gambistorti a écrit :
[size=15]Bienvenue à BERRURIER[/size]
Saluons l'arrivée de l'ami Berrurier
Fidèle à sa devise, dégueu et mal rasé
Le site c'est certain a fait la bonne affaire
Avec cet asticot aux allures grossières.
Ces écrits puent le vin et le mauvais alcool
Me rappelant beaucoup l'odeur de Ravachol
Ou celle de La Sup au fumier de mouton
Au pays des crados, c'est bon, nous t'acceptons.
Vicomte Amédée de Gambistorty. Poèteauxpiedssales
Y'a belle lurette que j'ai plus de moutons,
Je les ai becté car j'avais plus un rond.
Cinq bestiaux ingurgités, c'était bon,
Mais léger, ils étaient pas bien gironds !
#334
Un an de plus....
Dans mon livre du temps j'ai tourné une page.
Puisqu'il tire à sa fin mon calepin de vie
Il pourtant joli dans ses beaux paysages
Car vivre encore cent ans j'aurai la folle envie.
Je veux voir dans le champ se lever la semence
Se coucher cent soleils dans le rouge horizon,
Regarder les nuages et pleurer en silence.
Et préparé ma couche sous le joli buisson.
Comte Honoré de Gamby. Poètepaysan
#335
"Mes meilleurs vœux vous souhaitant, en ce jour de nouvel an ;
Bonheur amour santé, que ces mots soient exaucés."
Citation de Maxalexis ; poème Mes meilleurs vœux - 2006.
#336
Censure staliniste
Ne parlez plus de foot, non plus de politique
nous ordonne Bibu de son lointain Jura
Discutez de rugby et pas de gymnastique
Ou je vais ici bas vous parler syndicat.
Et voilà que j'avais un scoop sur Ségolène
Que j'ai rencontré hier en faisant mon marché
Puis on a bu un coup sur le port de La Seyne
Mais stop!!! j'arrête ici, Bibu va me gronder.
:lol::lol: