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Attention : retrouvez les sujets de vos équipes préférées dans le forum clubs.
Nous allons faire évoluer les forums jusqu'au mois de septembre afin de les rendre plus interactifs.
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Adaptation : Prendre un ballon dans les mains Pour l'emmener souverain, Pour lui donner l’éclat d’un bonbon, Prendre un ballon au rebond. Prendre un ballon dans ses bras Et pour la première fois, Sécher son cuir en étouffant de joie, Prendre un ballon dans ses bras. Prendre un ballon sur la ligne Pour détaler rectiligne, Puis doucement, sans parler, ni imbu, Poser un ballon dans l’embut. Prendre un ballon dans ses bras Mais pour la première fois, Sécher son cuir en étouffant sa joie, Prendre un ballon contre soi. Prendre un ballon par la main Et lui chanter des refrains Pour qu'il s'envole à la tombée du drop, Prendre un ballon aux salopes. Prendre un ballon comme il vient Et l’enlever aux vilains, Vivre sa vie des années, puis soudain, Prendre un ballon par la main En regardant tout au bout du succès, Prendre un ballon pour l’essai. ....
Depuis Mai 2007, y'a plus d'inspiration. Le troll élyséen m'a coupé le sifflet Je suis trop occupé par ma conspiration, Avant 2012, un putsch et du balai ! Alors vous comprendrez que mes vers attendront, Les sonnets, merci bien, le temps est à la lutte. Dans un charter Hongrois, ouste le petit Néron, Le vieil avion pourri n'a pas de parachute !
Avec Xixon, tu me confonds... Tu m'en vois honoré grandement Malgré De Gaulle, il a bon fond. C'est sur et j'en fait le serment !
Pour le moins, te voilà injustement sévère. Un tamanoir me parait aussi inopportun Qu'exagéré. Xixon, même sur une civière Nous explique la vie et n'a peur de dégun !
Avocat des causes perdues ? Quel beau destin. Mais défendre le Gaulliste pourfendeur Des banquiers véreux et des grands méchants lutins Reste une belle cause et presqu'un grand honneur !
La prostate est chez moi le moins détérioré Des organes vitaux, celui qui va le mieux ! Jusqu'à cinq mètres je pisse un jet élaboré Dessinant dans la neige le visage harmonieux De Martine, la belle et vaillante héroïne Qui, comme Jeanne d'Arc pourfendant les Anglois Lutte et se défend comme une vieille gouine Pour chasser de nos terres l'usurpateur Hongrois!
Dernière modification par la sup (14/12/2010 10:49:12)
L'imparfait du subjonctif qu'il a martyrisé Ne fait pas du grincheux un homme cultivé. Du monde politique, il reste la risée Et l'année à venir sera une corvée.
A DKZ, même les mécréants sont en prière Pour que les dieux du Rugby nous offrent en pature Ces Nimois forts en gueule sans aucun caractère. Ce jour là, c'est certain, belle sera l'aventure !
Si c'est le boss qui drive, on est Champion de France. Au mois de Mai, on fera des sacs en croco. Sur les rives du Lot, on paiera la bectance. Vous serez humiliés, mais nourris d'aligot !
Le vin de par chez nous s'appelle Marcillac, Moi, je ne l'aime pas, par contre le Tavel Serait le bienvenu juste avant l'Armagnac. Puis nous irons au stade ou vous prendrez la grêle.
Dernière modification par la sup (14/12/2010 12:22:18)
J'arrête, je suis exsangue. Ma jolie muse s'est barrée. Ravachol, le fier pur sang (j'ai hésité avec orang outang pour la rime:D) L'a sans pitié rembarré !
Dernière modification par la sup (14/12/2010 13:33:35)
Quel bonheur de vous lire Messieurs rois de la plume, Et de vous rencontrer autour du jeu des rimes, Partageant l’encrier dans un élan sublime, Nourrissant ce beau livre et le sortant des brumes. Vous ferez des heureux de ce fameux détour, Comblant et rassurant le seigneur de la rade, Rêvant de poésies et d’infinies tirades, Délivré de l’ennui par ce geste d’amour. Quel plaisir il est vrai de retrouver la muse, De fredonner en elle ces airs de l’imparfait, Moi qui m’étais juré de la laisser en paix, Pour que d’autres se livrent et avec elle s’amusent. Rejoignez-nous tantôt et entrez dans la danse, Osez marier les mots, colorez votre vie, Venez sans retenue libérer vos envies, Mettre un peu de musique sur ce chemin d’errance. Tinou 14-12-2010
Excusez mon discours absent depuis des nuits Etant trop occupé à mater l'occitan Venu me guerroyer dans mon Mayol chéri Avec son air hautain et son ton suffisant. Je rejoins le bercail heureux, comblé, content Retrouver mes amis de la rime débile Ravachol et Tiinou je suis là à présent Fini le temps béni et les journées tranquilles. Le seynois est trop fier il n'a peur de personne Ni du Diable fourchu, ni du vent capricieux Il est pauvre c'est vrai, pauvre hère sans couronne Son principal défaut, c"est d'être courageux. Et VLAN !!!!!!
Un seynois en bordée Gambi est devenu muet. Dieu m'est témoin, Jamais je n'aurais cru que çà put arriver. Et pourtant du seynois rimailleur, il n'y a point : Je parie ma retraite qu'il boit, le dépravé ! Dans un rade toulonnais avec d'accortes brunes, Le coquin toujours vert boit fort et s'encanaille Pendant que sa Germaine gémit son infortune Dans son logis désert, pleurant ses épousailles. Mais le Gambi sirote et puis aussi pelote Ce qu'il a sous la main et même sur ses genoux Il finit au Mc Do devant une entrecôte. Le retour est délicat, il implore Vishnou, Allah, le gros Bouddha. Mais Germaine est faché. Que dire ? Qu'inventer ? C'est la faute à Ravachol !!!! Voilà ! C'est bien çà ! Le nimois l'a débauché, Lui, le gentil mari à perdu sa boussole !
Dernière modification par la sup (15/12/2010 17:44:40)