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tres bien écrit et un bel hymme à l'amitié
Bien, Gambi rejoignant ses infirmières pour quelques semaines, je propose aux amoureuses et amoureux des rimes, au fil de leur inspiration, de lui dédier un poème durant son absence, qu'il aura plaisir à lire à son retour... je me dévoue pour un premier essai, à vous d'enchaîner Gambi s’en est allé, A quitté les arènes, Et son port de La Seyne, Pour mieux se reposer. D’embruns en air marin, Des Sablettes à l’Ayguade, Le parrain de la rade, A changé de chemin.
ravachol a écrit :Ce bon Gambi jamais ne s' en va tout à fait; Partout ou sa chemin en louvoyant le mène A ses pieds se blottissent des milliers de Chimène Aveuglement guidées par son verbe follet.
Ravach', t'es pire que moi, tu ne respectes plus rien : on féminise le masculin, on se tape des règles d'élision etc
Sur la chemin, je vais. Sur le route, je roule. Je sais, c'est mauvais, C'est juste pour les boules!
Dernière modification par la sup (10/05/2010 17:31:06)
ravachol a écrit :TINOU54 a écrit :ravachol a écrit :Ce bon Gambi jamais ne s' en va tout à fait; Partout ou sa chemin en louvoyant le mène A ses pieds se blottissent des milliers de Chimène Aveuglement guidées par son verbe follet.
Ravach', t'es pire que moi, tu ne respectes plus rien : on féminise le masculin, on se tape des règles d'élision etc
Koitesse que j' ai féminisé ???? et qu' aurais-je du élider ?
je te taquine, tu fais comme tu veux :D
Dernière modification par TINOU54 (10/05/2010 18:32:40)
ravachol a écrit :TINOU54 a écrit :ravachol a écrit :Koitesse que j' ai féminisé ???? et qu' aurais-je du élider ?
je te taquine, tu fais comme tu veux :D
exact pour le chemin, j' étais parti sur "sa route" et ne me suis pas relu ( comme Rossini en quelque sorte ) mais sur le "se blottissent", j' ai vraiment besoin d' un dessin : j' entends une seule syllabe sur "tissent"
non deux théoriquement, puisque suivi d'une consonne pour le mot suivant, mais on s'en fout non ?
TINOU54 a écrit :ravachol a écrit :TINOU54 a écrit :je te taquine, tu fais comme tu veux :D
exact pour le chemin, j' étais parti sur "sa route" et ne me suis pas relu ( comme Rossini en quelque sorte ) mais sur le "se blottissent", j' ai vraiment besoin d' un dessin : j' entends une seule syllabe sur "tissent"
non deux théoriquement, puisque suivi d'une consonne pour le mot suivant, mais on s'en fout non ?
à l'inverse "zum beispiel", de se blottissent en milliers...
Sa volonté le guide, Auprès des infirmières, Pour sortir de l’ornière, Dans son grand corps valide. Que les belles résistent, Aux plus folles envies, Quand au bord de son lit, Ce coquin là insiste.
Je veux partir vers d’autres horizons, Aller nourrir les feux de mes pulsions, Pour assouvir mes envies mes passions, Et découvrir en vers ou en chansons, De vrais désirs d’intimes convictions, Que l’avenir n’est pas qu’une illusion. Je n’aurai pas la force ou bien l’audace, D’arpenter seul les pentes et les glaces, Les vallons verts ou les sombres crevasses, De tout laisser de suivre une autre trace, Et de m’enfuir comme un fou qu’on pourchasse, Dès l’aube claire au cœur des grands espaces. J’aimerais bien qu’alors tu m’accompagnes, Pour mieux ensemble affronter les montagnes, Se sentir fort comme un champion qui gagne, Que ce défit ne soit pas notre bagne, Mais au contraire ô toi douce compagne, L’heureux élan d’une vie de cocagne. Je marcherai jusqu’au bord du ruisseau, Me faufilant au milieu des roseaux, Te guiderai au doux chant des oiseaux, Nous sourirons dans les reflets de l’eau, Perles de pluie et soleil sur la peau, A la vie belle comme deux tourtereaux. Tinou 13-05-2010
De massages en caresses, Le seynois se console, Mais en perd la boussole, Et sombre dans l’ivresse. L’ivresse du désir, Nous le rend amoureux, Comme un chien si fougueux, A l’appel du plaisir. Il est choyé Gambi, Au milieu de ses dames, Qui ravivent sa flamme, Et lui donnent l’envie. Mais le médecin veille, Rassemblant ses ouailles, Et pour qu’aucune n’aille, Agiter son sommeil
Mais c'est sur que t'es bon de la plume...
je ne vois pas à qui tu fais allusion ravach
LES VENTS DE L’OLIVIER Je sens le vent de l’olivier ses effluves non dispersées souvent par une toux, cachés Relâchement du sphincter Léger déplacement d’air J’entends le chant de l’olivier, pas la vesse non partagée. bruyante et odorante tout simplement pour échanger. Je sens les vents de l’olivier cris de fesses comme un baiser, en signe de fraternité, couplets et refrains de pet. J’entends le chant de l’olivier
je parlais de l'olivier l'arbre dont le rameau est le signe de la paix au même titre que la colombe tu vois le mal partout :D